Servando Marenco Reja - Les Français Libres

Les Français Libres, de juin 1940 à juillet 1943

 
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Servando Marenco Reja



Naissance : 21 mars 1890 - Cadix, Espagne

Nationalité : Espagnol

Engagement dans la France Libre : en septembre 1941

Dossier administratif de résistant : GR 16 P 393239

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PARDO SAN GIL, Juan: “Marinos vascos en las Fuerzas Navales
Francesas Libres”, Itsas Memoria. Revista de Estudios
Marítimos del País Vasco, 7, Untzi Museoa-Museo Naval,
Donostia-San Sebastián, 2012, pp. 547-577.

Servando MARENCO DELGADO era hijo de Servando Marenco Reja, nacido en Motril en 1921. En la Guerra Civil había sido alférez de Infantería, sirviendo en la Inspección General de Movilización y en los batallones de ametralladoras. Aspirante de las FNFL (Sep-41). Acompañó a su padre en la misión especial en África

laurent le lundi 04 janvier 2016 - Demander un contact

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PARDO SAN GIL, Juan: “Marinos vascos en las Fuerzas Navales
Francesas Libres”, Itsas Memoria. Revista de Estudios
Marítimos del País Vasco, 7, Untzi Museoa-Museo Naval,
Donostia-San Sebastián, 2012, pp. 547-577.

Servando MARENCO REJA, nacido el 21-3-1890 en Motril (Málaga). Era oficial del Cuerpo de Intervención Militar. Amigo de Galán, era el jefe militar de la sublevación de diciembre de 1930 en Lérida. Durante la Guerra Civil fue director de la Comandancia Militar de Milicias y luego Inspector General de los Centros de Reclutamiento, Instrucción y Movilización, ascendiendo el grado de coronel de infantería. A punto de concluir la guerra civil era Inspector General de los Batallones de Ametralladoras, con los que cubrió la retirada de Cataluña. Capitán de Corbeta de las FNFL (Sep-41) y primer jefe del batallón. Luego fue destinado a una misión especial en África.

laurent le lundi 04 janvier 2016 - Demander un contact

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Marinos vascos en las Fuerzas Navales Francesas Libres
Juan Pardo San Gil



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laurent le lundi 04 janvier 2016 - Demander un contact

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Marinos vascos en las Fuerzas Navales Francesas Libres

Juan Pardo San Gil

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laurent le lundi 04 janvier 2016 - Demander un contact

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Su padre fue el general de División Sevando Marenco Walker.Gobernado militar de Zaragoza.Falleció en accidente de trafico en 1921 entre Barbastro y Huesca.
Servando Marenco Reja, su hijo, era militar de carrera habia ingresado en 1908 en la Academía de Caballería, simpatizante y colaborador del golpe o Rebelión de Jaca.

Se presentó al menos una vez a las elecciones a Cortes Constituyentes 1931 por el Partido Republicano Radical Socialista

Luego fue nombrado, comandante general de milicias, y mas adelante al ascender a Teniente Coronel fue destinado como Inspector general del CRIM (Centro de Reclutamiento e Instrucción Militar)en Barcelona. 1938.
Fue el jefe encargado de cubrir la retirada de los republicanos por la Junquera a Francia.

No tengo mas datos, tampoco se cuando falleció.

Antonio Merino Mora le samedi 12 novembre 2011 - Demander un contact

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"Servando Marenco Reja

Oficial del Cuerpo de Intervención Militar. Fue nombrado inspector general de Milicias y luego de los CRIM. Al acabar la guerra mandaba un batallón de ametralladoras que cubrió la retirada de Cataluña. Después de la guerra mandó el batallón vasco autónomo de las Fuerzas francesas libres con base en Londres y posteriormente en Brazzaville. "

www.sbhac.net 

Laurent Laloup le lundi 01 juin 2009 - Demander un contact

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secretdefense.blogs.liberation.fr 

" Nous avons publié hier la première partie d'extraits du remarquable travail, en grande partie inédit, de René Estienne, conservateur au Service historique de la Défense, sur Philippe Kieffer, créateur du commando du même nom.

(...) Par l’inévitable conflit qui s’ensuit avec le commandant Marenco, chef du 3ème bataillon, il contrecarre les objectifs de Moret qui tacitement, lors d’un entretien à trois puis d’un tête à tête téléphonique, ne prend pas son parti. En réaction, Kieffer, remarquablement noté par le major West, chef de l’école de Browndown, n’hésite pas le 26 octobre à demander à être relevé de ses responsabilités. Il achève la lettre personnelle et confidentielle qu’il dépose directement le jour même auprès de l’officier de garde à Londres, conservant avec soin le reçu qu’il demande en cette occasion, par les mots suivants : « J’ai laissé une situation brillante pour m’engager dès le début de la guerre à 42 ans. (...) Je ne suis pas un officier de carrière et après la victoire, je retournerai à la vie civile. Je fais mon devoir envers mon pays et c’est tout. Je vous rends donc compte (...) qu’il est préférable, vu mon incompétence en la circonstance, d’être relevé immédiatement de cette tâche difficile et pénible ». Lors d’une entrevue orageuse, le 31 octobre, Kieffer joue son atout majeur de pouvoir à tout moment choisir de travailler directement chez les Britanniques, si ses responsabilités au sein des forces françaises ne lui donnent plus satisfaction ... "

Laurent Laloup le lundi 01 juin 2009 - Demander un contact

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Les Forces navales françaises libres, de Michel Bertrand :

". LE 3e BATAILLON DE FUSILIERS MARINS
Cette unité "pittoresque" a été créée à la suite d'un accord inter­venu le 17 mai 1941 entre le pro­fesseur René Cassin et un repré­sentant du Conseil national Bas­que. Le 3e B.F.M. est donc com­posé uniquement de volontaires espagnols, recrutés essentielle­ment en Amérique du Sud. Un ancien officier basque républi­cain, le colonel Marenco reçoit à cet effet une commission tempo­raire de capitaine de corvette. En janvier 1942, une compagnie d'une centaine d'hommes est for­mée dont le commandement est confié au lieutenant de vaisseau Pineiroa.
Le 14 février 1942, le chef d'État-Major des F.N.F.L., le comman­dant Moret remet son insigne à cette unité au camp de Camber-ley et fait reconnaître le lieute­nant de vaisseau Pineiroa comme commandant du premier élément du 3er B.F.M. en opérations.
Cependant la constitution de cette unité, composée d'éléments non français, est considérée par les Britanniques comme contraire..."

Laurent Laloup le mardi 23 décembre 2008 - Demander un contact

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Dernière mise à jour le lundi 04 janvier 2016

 

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