|  | | | | Un Français Libre parmi 63400 | | | Louis Pierre Claude Gendron | |
Naissance : 3 octobre 1917 - Paris 14e
Activité antérieure : liberal / cadre
Point de départ vers la France Libre : Nord Afrique
Engagement dans la France Libre : Tunisie en juin 1943
Affectation principale : Terre Leclerc - Afrique / spahis
Grade atteint pendant la guerre et spécialité : lieutenant
Dossier administratif de résistant : GR 16 P 250043
Dans la liste d'Henri Ecochard V40 : ligne 20987 |
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De Giraud à de Gaulle, de Romain DURAND, L'Harmattan " Remis de ses blessures de Kef Zilia, Félix Tilly a aussitôt rallié les FFL . Il a été affecté au 1er régiment de marche des spahis marocains qui l'a désigné pour faire partie de l'encadrement de son 10e escadron, garde personnelle chargée de la sécurité du chef de la France Libre et du décorum sans lequel on n'est rien sous le ciel d'Afrique. Le 1er RMSM avait aussi accueilli deux autres aspirants du CFA de la première heure, les lieutenants Gendron et Aynes." Laurent Laloup le jeudi 12 septembre 2019 - Demander un contact La page d'origine de cette contribution Recherche sur cette contribution | |
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" En marge de l'histoire : 1. Anecdotes mémorables d'un tour du monde en quatre-vingts ans
Publication : Paris : Le Laurier, 1998
Ancien étudiant de HEC, sympathisant de l’Action Française, Louis Gendron faisait son service militaire et venait juste de sortir de l’Ecole de Saumur avec le grade d’aspirant lorsque la guerre a éclaté. En juin 1940, il guerroie à la tête d’un regroupement hétéroclite dans la région parisienne, puis passe en Algérie, où il prend une part active au complot qui livre Alger aux Américains en novembre 1942, et dont un membre, son ami Bonnier, va assassiner Darlan. Désormais fervent gaulliste, il rejoint en Libye une unité de spahis des FFL, bientôt intégrée, au Maroc, à la 2e DB. Le lieutenant Gendron débarque en France, participe à la Libération de Paris, et est blessé lors de la prise du Mont-Valérien. Au début d’octobre 1944, en avant-garde avec ses autos-mitrailleuses dans un village lorrain près de Baccarat, il est sérieusement blessé et fait prisonnier. Il vit les derniers mois éprouvants de la guerre dans un oflag de Pologne, puis de la région de Berlin, avant d’être libéré par les Russes.
René Rioul"
Laurent Laloup le vendredi 15 septembre 2017 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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"Etat Major du Régiment
Commandt du régiment
Command Car :Colonel Rémy blessé le 26-08-44 puis lieutnant colonel Roumiantzoff puis Colonel Rémy à partir du 19-09-44
Commandant en second
Command Car du commandant : Lieutnant Colonel Roumiantzoff quitte le 15-09-44 puis capitaine Gudin du Pavillon quitte ke 01-09-44
Jeep Commandant Morel Deville puis capitaine Astier le 12-09-44 puis capitaine Richard de Soultrait puis lieutnant Zinguerevitch (officier auto)
Jeep Lieutnant Gendron muté au 3ème esc le 22-09-44 (officier renseignement)
Jeep Commandant Blary (officier du train)
Jeep aspirant Painault (peloton de commandement)
Ford M8 aspirant Painault (peloton de commandement)
Ford M20 aspirant Painault (peloton de commandement)
Jeep aspirant Bergamain (peloton commandement escorte)"
armorinfrance.buygoo.net  Laurent Laloup le lundi 22 décembre 2008 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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