|  | | | | Un Français Libre parmi 63400 | | | Louis Marie Gaulard | |
Naissance : 26 novembre 1907 - Eygurande (19)
Activité antérieure : militaire
Point de départ vers la France Libre : Afrique
Engagement dans la France Libre : AEF en aout 1940
Affectation principale : Terre Leclerc - Afrique / RTST
Grade atteint pendant la guerre et spécialité : commandant
Décès à 95 ans - 28 mai 2003 - Nice (06)
Dossier administratif de résistant : GR 16 P 246759
Dans la liste d'Henri Ecochard V40 : ligne 20731 |
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Louis Marie Gaulard - son Livre ouvert !
Bernard et Dany Gaulard , ou leurs descendants ,ou leur famille et amis , peuvent-ils me contacter à l'adresse ci-dessous ??
En souvenir de notre enfance à Fort-lamy et à Beyrouth en 1941 et1943 .
clocazenave@yahoo.fr
MEMBRAT CLAUDE le samedi 26 février 2011 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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j'ai connu Louis Gaulard à Fort-Lamy , en 1941 .
j'aimerais contacter ses deux fils : Bernard et Dany avec qui je jouais , et que j'ai retrouvés à Beyrouth ,en 1943 , notamment au Bain Militaire............ MEMBRAT CLAUDE le mardi 24 mars 2009 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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Souvenirs d'un officier d'artillerie coloniale, de Paul Morlon " Le 25 février 1944, le Sous-Lieutenant Francis ROUGE (le plus jeune frère de Pierre) puis, le 21 mars, son camarade MANTOUX, nous rejoignent. Ayant quitté la promotion 1941 de l'Ecole Polytechnique, ils sont passés en ESPAGNE, y furent internés un certain temps, rejoignirent l'Afrique du Nord, puis le régiment. MANTOUX est affecté à la 5e batterie, ROUGE à la 4". Je retrouve en lui la prestance, le caractère entier et l'écriture de Pierre. Passé également par l'ESPAGNE, le central ien Gérard FAUL, frère aîné de Michel qui sera affecté au groupe comme officier de transmissions. Peu après, à la suite d'un court passage à l'AD, l'Aspirant LOUBOUTIN est affecté à la 5e batterie. Je touche également un excellent Maré-chal-des-Logis chef, LAVERGNE (VANDENESCH), un des évadés d'ALLEMAGNE par la RUSSIE avec le Capitaine BILLOTTE.
Ces arrivées constituent un renfort de qualité qui bouche les vides dus à certains départs. En effet, toute cette réorganisation du régiment ne se fait pas sans certains grincements de dents. Entre autres, EMBERGER pensait bien recevoir le commandement d'une batterie, tous les "anciens" estimaient qu'il le méritait largement. Après les affectations, il quitta le 1er RA pour aller à ALGER. Le Lieutenant Michel FAUL devient Lieutenant de Tir de la 4e batterie. Le Chef d'Escadron GAULARD espérait être nommé commandant du 3e groupe ; ne l'ayant pas obtenu, il partit pour le Levant." Laurent Laloup le vendredi 27 février 2009 - Demander un contact La page d'origine de cette contribution Recherche sur cette contribution | |
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Souvenirs d'un officier d'artillerie coloniale, de Paul Morlon " Le 3 novembre, LAURENT-CHAMPROSAY envoie son adjoint le Commandant GAULARD (que j'avais connu au TCHAD comme Capitaine d'une compagnie de transport automobile) en reconnaissance de nouvelles positions, avec les quatre Capitaines de batterie de 25 pounders. Les cinq officiers montent dans une jeep conduite par GAULARD. Reconnaissance difficile.
Une fois terminée, un des camarades suggère d'aller rendre une visite de politesse à l'État-Major de l'unité britannique qui occupe le secteur ; proposition adoptée. Les officiers anglais nous invitent gentiment à prendre un pot à leur popote. Nous ne pouvons refuser. Nous nous attardons un peu. Du coup, ils nous invitent à dîner. QUIROT et moi sommes très réticents. CHAVANAC et RIVIÉ entraînent GAULARD. Nous restons donc.
Quand il s'agit de repartir, la nuit sans lune est déjà bien noire, aux étoiles près. Par ailleurs, elle est très fraîche et nous sommes en tenue légère de jour. Je porte mes lunettes correctives noires du TCHAD et, personnellement, je n'y voit goutte.
Assez rapidement nous nous apercevons que nous sommes paumés. Arrêt pour tenir conseil. Il est décidé que les quatre camarades partiront à pied, chacun sur un point cardinal pour faire un aller et retour de 2 km. C'est bien le diable si l'un d'eux ne trouve pas un repère. Les voilà partis, se guidant à la boussole et aux étoiles. Je suis chargé de garder la voiture.
Au bout d'un certain temps, enlevant mes lunettes de soleil, je devine, malgré ma myopie, une colline sur la droite de la voiture avec un téton au sommet.
je m'y rends en marchant près de 100 mètres et je trouve au sommet une borne géodésique, comportant les fûts superposés avec les indications habituelles. Revenu à la jeep, en m'éclairant discrètement à la lampe torche, je retrouve la borne sur la carte.
Au bout d'une heure, les quatre camarades reviennent, bredouilles. Je devine les mines déconfites ! Après l'arrivée du dernier, je prends la parole :
«- Eh bien, vous n'avez rien trouvé, mais MORLON, avec sa vue basse et ses lunettes noires, vous montre la borne Z !» - que je pointe du doigt.
«- Vous me devez un pot.»
L'un d'eux alla contrôler les coordonnées et l'on repart vers le régiment où nous arrivons au petit jour. Nous trouvons les positions vides. CAULARD prend alors la direction des nouvelles positions.
L'accueil du Patron est plutôt froid. LAURENT-CHAMPROSAY avait donné l'ordre de mouvement des quatre unités, faisant lui-même une reconnaissance préalable très rapide des emplacements de pièces.
GAULARD, après notre départ vers les batteries, puis vers nos observatoires respectifs, dut recevoir un savon... mémorable !" Laurent Laloup le jeudi 26 février 2009 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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"3 novembre 1942
…L'ennemi est en retraite, tirs jusqu'à 9 h sur quelques groupes de fantassins. L'observatoire est abandonné, le commandant de batterie suivant les fantassins dans leur progression en avant. La batterie quitte son emplacement et vient prendre position à l'observatoire, la progression de nos éléments d'infanterie est ralentie par de nombreuses mines et pièges.
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Après un séjour fastidieux à Gambut, le Régiment quitte cette région pour la Tunisie à la fin d'avril 1943, et le 7 mai, sous les ordres du chef d'escadron Gaulard qui le commande par intérim, il prend position à Bir Ali-ben- Slimane, devant le dernier verrou constitué par le rocher de Takrouna dans la région de Sousse."
www.francaislibres.net  Laurent Laloup le samedi 18 août 2007 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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