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| Jacques Furet | |
Naissance : 1er avril 1921 - Taulé (29)
Activité antérieure : étudiant / scolaire
Point de départ vers la France Libre : Metropole
Engagement dans la France Libre : Londres en juillet 1940
Affectation principale : FAFL / parachutistes
Grade atteint pendant la guerre et spécialité : capitaine
Décès à 90 ans - 2 mai 2011 - Brest (29)
Dossier administratif de résistant : GR 16 P 237008
Dans la liste d'Henri Ecochard V40 : ligne 19962 |
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Parachutage de Jacques Furet Dans un de ses rapports issus des archives du SHD Vincennes (GR 28 P 4 158-17), Louis Richard alias Ronsard mentionne qu'il a été parachuté en même temps que Jacques Furet pseudo Jacques Mercier dans la nuit du 11/09/1941. Tillet le jeudi 28 avril 2016 Recherche sur cette contribution | |
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La Protestation - 23 août 1942 / Yves Belaubre / Au vif de l'Histoire / Nicolas Eybalin ...par hasard ou plutôt malchance, la police n'avait intercepté quelques jours plus tard, place Esquirol, un jeune homme d'une vingtaine d'années répondant au nom de Jacques Furet. Furet prétend alors être étudiant en médecine, mais il porte sur lui un pistolet Colt chargé, et divers messages conventionnels et chiffrés évoquant des parachutages anglais de matériel et d'armes. De plus, dans sa chambre d'hôtel, un émetteur radio est découvert. Le jeune homme, incapable évidemment de justifier l'existence de ce matériel et subissant un long interrogatoire policier, aurait lâché deux noms: Henri Labit, agent lié à l'Intelligence Service anglais, parachuté par la RAF dans la région il y a quelques mois, et Georges Daubèze, vétérinaire à Auch, un de nos amis du Parti démocrate et excellent patriote. Henri Labit s'avérant, assez mystérieusement, introuvable, les policiers usèrent de ruse pour démasquer le vétérinaire: forts des renseignements tirés des messages radios, deux civils se présentèrent chez Georges Daubèze sous couvert de vérifier le balisage d'un terrain d'atterrissage repéré dans le Gers, tout cela au nom des services anglais. Daubèze, naïvement, les y conduit et en est confondu. Seconde malchance, au même moment, sur dénonciation au Bureau des menées antinationales (BMA) par une tenancière d'hôtel d'Agen– une femme qui prend certainement à coeur certains prêches douteux de l'évêque de cette ville...-, deux hommes, le radio René Périou et Alexandre Herter, sont, interpellé pour le premier, et filé pour le second qui conduit, le lendemain, les pandores jusqu'à Pierre Desmedt, son contact à Toulouse. Montané le samedi 28 février 2015 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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Opération Fabulous Bonjour,
D'après la bibliographie de l'Ordre de la Libération d'Henri Labit, celui-ci n'aurait pas été parachuté avec Jacques Furet dans la nuit du 10 au 11/09/1941 (Opération Fabulous) dont voici un extrait "Henri Labit est volontaire pour l'opération "Torture". Il est parachuté, dans la nuit du 8 au 9 juillet 1941, accompagné d'un opérateur radio, Jean-Louis Cartigny, dans la région de Caen. Sa mission consiste en la création, dans le département du Calvados, d'un réseau de renseignements et la mise en place d'équipes de sabotage, en liaison avec Londres. Malheureusement, les deux hommes sont dénoncés peu de temps après et le radio est arrêté (il sera fusillé en février 1942) alors que Henri Labit réussit à s'échapper. Il rejoint Toulouse, en zone non occupée, où il monte un réseau "Action R4". Pendant les quelques mois de ce premier séjour en France, ses activités sont intenses : on le retrouve successivement à Marseille, à Toulouse, à Bordeaux, à Montpellier, à Paris. Henri Labit est désigné pour être affecté à l'Etat-major particulier du général de Gaulle ; il rejoint Londres le 14 janvier 1942 et est promu lieutenant le 19. Il devient aussi instructeur dans une école de formation d'agents : son expérience est très précieuse dans ces premières années de la guerre."
Qui pourrait confirmer cette information, svp?
Remerciements TILLET Pierre le mardi 16 juillet 2013 Recherche sur cette contribution | |
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Les Français libres / Jean-François Muracciole Furet (Jacques) : né en 1921, BCRA, rallié en juin 1940, capitaine. Arrêté par la police française en novembre 1941, condamné à dix ans de prison, livré aux Allemands en février 1944 et déporté à Buchenwald. Médecin après la guerre. Laurent le mercredi 02 décembre 2009 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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"Les Français libres, l'autre Résistance" par Jean-François Muracciole " Jacques Furet eut plus de chance. Né en 1921, ce fils de médecin breton est lui-même étudiant en médecine à Rennes à la veille de la guerre. Il gagne l'Angleterre par mer dès juin 1940 et s'engage dans les FFL à 19 ans. Affecté au BCRA, il suit un stage de parachutiste et il est envoyé en France. Arrêté par la police de Vichy en novembre 1941, il est condamné à dix ans de prison, avant d'être livré aux Allemands à Paris, en février 1944, et déporté à I Juchenwald, d'où il sera libéré par les Américains en avril 1945 " Laurent le dimanche 29 novembre 2009 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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Les services secrets du général de Gaulle / Sébastien Albertelli " Depuis le succès de Joséphine B, ce dernier se livrait à un travail de prospection en France. Il plaça Labit auprès d'une organisation avec laquelle il était entré en contact à Toulouse. Le SR chargea alors Labit d'organiser un atterrissage clandestin qui devait permettre de lui envoyer un nouvel opérateur (Furet) avec son poste et de ramener Forman à Londres, mais cette opération échoua. En septembre, les renseignements rapportés par Forman, finalement passé par l'Espagne, permirent d'envoyer à Labit son radio et de nouvelles instructions : il devait préparer l'arrivée d'autres équipes et mener auprès du groupe de Toulouse le travail d'organisation en quatre branches défini dans son ordre de mission initial. Le 30 septembre, Furet établit le premier contact radio : l'organisation de Toulouse prospérait et Labit posait les bases de plusieurs organisations analogues. " Laurent le samedi 17 octobre 2009 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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"Mémoires du chef des services secrets de la France libre", colonel PASSY, ed. Odile Jacob "En septembre, nous envoyâmes deux missions : la première, « Dastard », accomplie par Laverdet (dit Red) et son radio (pseudo Red X), nous urit en contact avec des éléments résistants de la région parisienne ; la seconde « Fabulous », eut pour objet d'envoyer à Berteaux, à Toulouse, un agent de liaison muni de moyens de transmission. Labit et son radio Furet furent chargés de cette mission et parachutés dans la nuit du 10 au 11 septembre . Ces deux équipes réussirent à entrer en contact avec nous par radio dans les derniers jours du mois et montèrent aussitôt quelques parachutages d'armes et d'explosifs." Laurent Laloup le dimanche 25 janvier 2009 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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NOGUERES Henri, Histoire de la Résistance en France tome 1, Ed Robert Laffont 1972 "Le chef de mission de Fabulous, malgré son extrême jeunesse, n'est pas un débutant dans le métier : il y a un mois jour pour jour, il franchissait la frontière espagnole pour regagner l'Angleterre, après avoir été parachuté en France une première fois et y être resté trente-six jours. Il s'agit, en effet, d'Henri Labit, qui saute cette fois, dans la nuit du 10 au 11 septembre, en compagnie d'un opérateur radio, Furet , pour retrouver, à Toulouse, Bertaux et son petit groupe de résistants franco-italiens. Ceux-ci, qui avaient été déjà en rapport, le mois précédent, avec Forman et Labit, s'étaient efforcés, en prévision de cette reprise du contact qui leur avait été formellement promise, d'articuler et d'étoffer leur organisation. Bertaux a pris avec lui, comme agent de liaison, un garçon de trente-cinq ans qui paraît actif et courageux, bien qu'un peu mythomane, Fernand Bernard" Laurent Laloup le lundi 06 octobre 2008 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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