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| Henri Louis Honoré d'Estienne d'Orves | |
Naissance : 5 juin 1901 - Verrieres le Buisson (91)
Activité antérieure : militaire
Point de départ vers la France Libre : Moyen Orient
Engagement dans la France Libre : Egypte en aout 1940
Affectation principale : FNFL / BCRAE M Londres, BCRA en mission en France arrêté le 22 01 1941
Grade atteint pendant la guerre et spécialité : Capitaine de frégate
Décès à 40 ans - 29 aout 1941 - Suresnes (92)
Mort pour la France Cousin germain d'Henri Levêque de Vilmorin
Oncle de David Regnier
Dossier administratif de résistant : GR 16 P 181152
Dans la liste de l'amiral Chaline : ligne 4835
Dans la liste d'Henri Ecochard V40 : ligne 15158 / ligne 17858 |
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Henri Louis Honoré d'Estienne d'Orves - son Livre ouvert ! Titre(s) : Les réseaux de résistance de la France combattante [Texte imprimé] : dictionnaire historique / [Service historique de la défense] ; [rédigé par] Stéphane Longuet, Mathilde Meyer-Pajou, Béatrice Grand... [et al.] ; sous la direction de Stéphane Longuet et Nathalie Genet-Rouffiac ; préface d'Olivier Wieviorka
Publication : [Vincennes] : SHD, Service historique de la défense ; [Paris] : Economica, DL 2013
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Laurent Laloup le jeudi 30 novembre 2023 - Demander un contact La page d'origine de cette contribution Recherche sur cette contribution | |
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"... Le 25 décembre, après le repas de Noël pris en famille et en présence d'un voisin, Jean Le Gigan, directeur des achats aux chantiers Dubigeon qui doit diriger le groupe pour toute la Bretagne, D'Estienne d'Orves, Barlier et Marty montent l'appareil radio qu'ils ont apporté d’Angleterre. A 13 h 30, ils établissent la première liaison radio entre la France occupée et Londres. D’autres transmissions suivront au rythme de quatre à cinq par semaine. Les renseignements transmis à Londres comprennent le QG allemands dans les châteaux des environs de Nantes, les emplacements précis des dépôts de carburants, le terrain d'aviation de Château-Bougon, celui de Meucon, les positions des batteries côtières, les plans du réseau de distribution d'énergie électrique de la région Ouest, la liste des sous-marins relevée à l'arsenal de Lorient, la construction de la base sous-marine de Saint-Nazaire. Pour ne pas attirer l'attention, Léon Setout a trouvé pour Marty un emploi de dessinateur auprès de l'architecte de la ville, André Chauvet..."
resistance-44.fr Laurent Laloup le mercredi 05 janvier 2022 - Demander un contact La page d'origine de cette contribution Recherche sur cette contribution Réponse : "Alfred Gaessler (né le 21 novembre 1919 à Schiltigheim dans le Bas-Rhin et mort en février 1945) est un agent double connu pour avoir trahi Nemrod, le premier réseau de résistance intérieure française (d'inspiration gaulliste). [...] Il est recruté à l'âge de 20 ans en 1940 par Honoré d'Estienne d'Orves comme opérateur radio sous l'alias « Georges Marty »"
GR 16 P 238180 | GAESSLER (Alfred) | 1919-11-21 | Schiltigheim | Bas-Rhin | FRANCE pas d'homologation
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"Le château de Paron (anciennement château Regnier ou château de Verrières) 37 rue de Paron
Le château de Paron dont le corps principal remonte à la fin du XVII siècle est agrémenté de deux avant-corps saillants. Il évoque par sa rigueur le style Mansard. Des adjonctions de part et d’autre ont été faites à la fin du XIXe siècle.
Il appartint notamment à Jean-Baptiste Laffitte (de la famille du célèbre banquier) puis en 1850 à Constant-André Say (de la famille Say qui s’allia plus tard aux Beghin), dont le père Louis avait participé, tout comme les Vilmorin, à la mise en valeur de la betterave sucrière, suite au blocus de l’époque napoléonienne.
Il fut racheté par Monsieur Couderc, notaire à Villefranche d’Aveyron pour sa fille religieuse qui voulait y créer un pensionnat de jeunes filles.
A partir de 1890, la congrégation de la Sainte Famille de Villefranche-de-Rouergue, y installa un pensionnat de jeunes filles qui dut quitter la place en 1905 en raison de la séparation des biens de l’Eglise et de l’Etat.
La propriété a alors été rachetée par le Comte Marc d’Estienne d’Orves, directeur de la maison Vilmorin, époux de Elisabeth Lévèque de Vilmorin. Elle abrita leur fils Honoré (1901-1941) et leur petit-neveu David Régnier (1925-1944), tous deux héros de la Résistance.
Une aile du château est toujours occupée par la famille Régnier, le reste de la propriété étant divisée en lots.
L’actuel parc Régnier et l’emplacement de la résidence « le clos de Verrières » faisaient partie intégrante du parc du château.
Les anciens communs du château furent remaniés pour y installer une fabrique de bougies, qui ne dura qu’un temps. Restaurés au XXème Siècle puis rénovés par la ville en 1995, ces bâtiments abritent maintenant des logements."
siv2i-verriereslebuisson.com Laurent Laloup le dimanche 26 juillet 2020 - Demander un contact La page d'origine de cette contribution Recherche sur cette contribution | |
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" Louis Honoré d’Estienne d’Orves arrive à Londres en septembre 1940, après un long périple à travers l'Afrique. Il est promu capitaine de frégate et nommé à la tête du 2e bureau des Forces navales françaises libres, puis affecté à l’Amirauté britannique, où il est chargé de développer le renseignement sur le territoire français à partir du réseau « Nemrod » en formation.
Passé en France en décembre 1940, d’Estienne d’Orves prend contact avec Jean-François Follice, patron-pêcheur, né en 1905 sur l’île de Sein (Finistère). Son bateau, « La Marie-Louise », est chargé d’effectuer des rotations entre la France et l’Angleterre, afin de faire passer des agents. Les services du Special Operations Executive (SOE) comptent d’ailleurs installer un émetteur-récepteur en relation constante avec Londres. Il semble que la trahison du radio soit à l’origine du démantèlement du réseau. Les arrestations commencent en janvier 1941, entre le 21 et le 29, dans la région de Nantes. Au moins 4 agents sont déportés de la prison de Fresnes vers la prison de Berlin-Moabit, dès janvier 1941.
Un mois plus tard, le 15 février 1941, une vedette de la Kriegsmarine arraisonne « La Marie-Louise » au large d’Ouessant : les 5 marins, ainsi qu’un agent du SOE, sont interpellés. Les Allemands décident alors de ramener les prisonniers de Berlin vers Paris pour les juger avec l’ensemble du groupe. Le procès a lieu devant le tribunal du Gross Paris entre le 13 et le 26 mai 1941. Le commandant d’Estienne d’Orves, Maurice Barlier et Yves Doornik sont condamnés à mort et fusillés au mont-Valérien le 29 août 1941. Les autres, dont Jean-François Follic, sont condamnés à de lourdes peines de travaux forcés pour « espionnage », « aide à l’ennemi » et « intelligence avec l’ennemi » et sont déportés le 16 octobre 1941.
Leur peine est en fait commuée en détention à perpétuité, mais les Allemands leur imposent le régime du secret lié à la condition de déporté «NN». Transférés dans plusieurs prisons en Allemagne, Jean-François Follic est finalement libéré le 7 avril 1945 et rentre en France."
www.ac-creteil.fr Laurent Laloup le samedi 23 février 2008 - Demander un contact Recherche sur cette contribution Réponse : Ce ne s'agit pas d'Yves Doornik mais de Jan
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" Le 23 janvier, c’est au tour des époux Setout et de Chauvet. Tous sont emmenés à Berlin. Marty ayant fourni tous les renseignements et le code aux Allemands, ceux-ci continuent à correspondre avec le 2e bureau du général de Gaulle (dénommé S.R. à la date du 12 avril 1941, et B.C.R.A., à partir du 7 janvier 1942) qui décide l’envoi d’un deuxième radio : Jean-Jacques Leprince. Après une première tentative qui échoue par suite du compas déréglé et de la brume, Jean-Jacques Leprince, muni d’un poste émetteur, s’embarque à Newlyn, le 14 février.
Le 15 février 1941, au large de Brest, deux patrouilleurs allemands arraisonnent le bateau et emmènent à Brest équipage et passagers qui, toutefois, ont pu détruire le poste et les papiers du bord. Sur les indications de Marty et parfois sous sa conduite, les arrestations continuent. Enfin, le 13 mai 1941, le procès s’ouvre à Paris et le 26 mai, c’est le verdict. Sont condamnés à mort : le commandant d'Estienne d'Orves, Maurice Barlier, Jean Doornick, Jean Le Gigan, André Clément, Mme Clément, Jean-Jacques Leprince, Follic et Cornet. Les autres s’en tirent avec des peines de prison"
www.france-libre.net Laurent Laloup le mercredi 29 août 2007 - Demander un contact La page d'origine de cette contribution Recherche sur cette contribution | |
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