| | | | | Un Français Libre parmi 62958 | | | Jean Rémy Alfred Closse | |
Naissance : 13 mars 1920 - Margut (08)
Activité antérieure : étudiant / scolaire
Point de départ vers la France Libre : Metropole
Engagement dans la France Libre : en décembre 1942
Affectation principale : Terre - Londres /
Grade atteint pendant la guerre et spécialité : sous-lieutenant
Décès à 88 ans - 28 février 2009 - Bergerac (24)
Dossier administratif de résistant : GR 16 P 134279 |
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Jean Rémy Alfred Closse - son Livre ouvert ! Nom : CLOSSE
Prénom : Jean Remy Alfred
Sexe : M
Jour de naissance : 13
Mois de naissance : 03
Année de naissance : 1920
Code insee naissance : 08276
Commune de naissance : Margut
Pays de naissance : FRANCE
Jour de décès : 28
Mois de décès : 02
Année de décès : 2009
Code insee deces : 24037
Commune de décès : Bergerac
Pays de décès : FRANCE
Fichiers des personnes décédées établi par l'INSEE
Association du Souvenir des Cadets de la France Libre Jean-Rémy CLOSSE (1920-2009) Evasion et campagne d'Italie
" A partir de 1942 un certain nombre d'évènements font craindre une dégradation de l'avenir de la jeunesse en particulier. Un rappel historique des événements justifie cette crainte. Le 16 juin 1942 : Laval accepte le principe d'une « relève » : les français vont travailler en Allemagne en échange de la libération de prisonniers de guerre. Le STO est créé (Service de Travail Obligatoire). Le 4 septembre 1942 : la loi de mobilisation entre en vigueur pour les jeunes de 21 à 35 ans. A signaler le 11 août, l'arrivée en France des premiers prisonniers libérés au titre de la relève. Le 11 novembre 1942 : le sud de la France est occupée par l'armée allemande – plus de zone libre. Il faut renoncer au passage par l'Espagne. Ces événements illustrent le bien fondé de mes inquiétudes même si mon travail à l'usine suit normalement son cours. Fin avril 1943, je reçois une convocation pour passer une visite médicale au titre du STO à Limoges. Je dois me présenter "avec quelques affaires personnelles" début juin dans un dépôt de la gare, près de Limoges. Le 27 novembre 1942 : la flotte française se saborde à Toulon. Réflexion faite... je me présente dans ce dépôt... à l'heure indiquée. Déjà le train de « voyageurs » est là... attendant ses clients ! Je n'ai pris aucune affaire personnelle. Je me présente à la visite ! Je suis reconnu « bon pour le STO ». Je repars donc en ville mais me fait arrêter, dans le camp, par une sentinelle française : Où allez-vous ? Je m'arrête, en justifiant mon retour pour aller chercher « mes affaires » promettant de revenir ! (ce que je fis mais dans un autre sens !)..."
cadetfrancelibre.fr Laurent Laloup le vendredi 13 mars 2020 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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