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| Julien Emile Chabert | |
Naissance : 9 janvier 1905 - Saint-Dié-des-Vosges (88)
Activité antérieure : agriculteur
Point de départ vers la France Libre : Afrique
Engagement dans la France Libre : AEF en aout 1940
Affectation principale : Terre DFL - Moyen Orient / BM4
Grade atteint pendant la guerre et spécialité : capitaine
Décès à 73 ans - 26 juillet 1978 - Bourgoin-Jallieu (38)
Dossier administratif de résistant : GR 16 P 115902
Dans la liste d'Henri Ecochard V40 : ligne 10245 |
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Julien Emile Chabert - son Livre ouvert ! Mon Tonton, tutu,
Très jeune impliqué sur les travaux mécanisé de la ferme, Tutu m'a beaucoup appris, l'entretien des machines toutes le vidanges d'un tracteur, m'a appris à labouré et ma donné mes premiers souvenir de vendanges et du travail du vin avec la descente des tonneaux à la cave. Je me rappelle encore tous les mystères qu'il entretenait sur la fermentation, je me souviens de ces marcs sous le pressoir que je lui aidais à tourner le cliquet, mais plus encore, ces odeurs de marcs pressés et les gâteaux une fois les cages enlevées. je me souviens encore de Tutu râlant avec le Kiki en train d'uriner devant la maison alors qu'il partait traiter la vigne... Mais à bien y penser, c'est aussi Tutu qui m'a mis sur une philosophie de travail très respectueuse de la terre et de ce qu'elle donne. Malheureusement, sa discrétion sur son passé militaire et davantage de son expérience, auront été écourté par mon départ pour le Québec à la veille de mon âge de jeune adulte. Mais je garde un profond souvenir de sa rigueur et de la richesse de ce qu'il m'a enseigné Vincent Chabert le vendredi 14 avril 2017 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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Revue de la France Libre N°57 Septembre 2015 
"J’en reviens à ma photo. Elle fut prise par l’aspirant Pierre Robédat à Béni Khiar, où le BM 4 hivernait sous la tente, dans le cap Bon, en Tunisie, devant la popote de la compagnie d’accompagnement (CA), au début de 1944. Y figurent, de façon très décontractée, mais qui me semble très naturelle, devant, de gauche à droite : le sous-lieutenant Henri Beaugé, le lieutenant Georges Eckert, le capitaine Henri Brisbarre, le capitaine Albert Chareyre et le capitaine Julien Chabert ; au milieu : le sous-lieutenant Renaud ; derrière : le lieutenant de Mareschal (deuxième en partant de la gauche), le sous-lieutenant Philippe Fratacci et le capitaine Georges Jeanperrin.
Soit, sur neuf personnages identifiés, cinq compagnons de la Libération : les capitaines Jeanperrin, Chareyre et Chabert, les lieutenants Beaugé et Fratacci." 
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Jacques Ghémard le samedi 04 juin 2016 - Demander un contact La page d'origine de cette contribution Recherche sur cette contribution | |
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Pierre Deveaux - LE BATAILLON DE CHAMBARAN. PUG « Résistances »1994 Avril 1944 - Alpes Maritimes
Et puis les troupes d'attaque seront plus concentrées que le 10 avril. La lre compagnie en entier doit s'emparer de la Cime du Bosc et de la Croix de Cougoule. Une compagnie du 22e BMNA doit venir la remplacer entre Paola et Termini pour stopper une éventuelle intervention ennemie venue de l'Est. De plus, la moitié de la 3e compagnie du capitaine CHABERT doit occuper la cote 1090 et les pentes ouest du Bosc. Quant à l'ouvrage du Brouis, on s'en occupera plus tard. Un point noir: les mines. Nous savons que les Allemands en ont beaucoup posé ces derniers jours. Il y a trois sortes de mines: l/ celles qui sont reliées à un fil tendu à hauteur d'homme, 2/ les Schuhminen qui éclatent sous les pieds et 3/les anti-chars foudroyantes.
Le jour J est fixé un dimanche 15 avril. Ce jour-là à 4 h 30, la lre compagnie effectue la marche d'approche vers le col de Termini.
A 6 heures précises, préparation d'artillerie comme convenu. Le premier échelon suit au plus près le barrage roulant pour ne pas laisser aux Allemands le temps de se ressaisir et nous grimpons rapidement la dénivellation de 250 mètres. Nous subissons des pertes du fait des mines et de la riposte de l'artillerie adverse. A 6 h 30 notre artillerie cesse le tir de préparation mais harcèle les pentes nord du Bosc. A 6 h 37 nous atteignons la cote 1126 et nous couronnons la Cime du Bosc. Nous apercevons des traces de sang laissées par l'ennemi. Après une accalmie, celui-ci réagit par des tirs de mortiers, puis d'artillerie.
Sur un terrain très miné, la progression continue vers l'ouvrage de la Croix de Cougoule dont nous nous emparons et plus tard vers la Chapelle de la Madone de Grâce que nous occupons.
Nous apprenons que, pendant ce temps, les éléments du capitaine CHABERT ont atteint et dépassé leur objectif, la cote 1090 et que, sur leur lancée, ils se sont emparés de l'ouvrage du Fort du Brouis. ROUMEGUERE le jeudi 11 février 2016 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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Le Bataillon de Marche n°4 a été formé au Cameroun avec des cadres dont la majorité, officiers et sous-officiers, venaient de la Haute-Volta, et aussi du Niger, de la Côte d'Ivoire et du Dahomey. Tels étaient par exemple parmi les officiers : les Capitaines Bouillon, Fougerat, Lieutenants Despian, Brisbarre, Geoffroy, Jeanperrin, Beruyer, Chabert, Revault d'Allonnes, Courant, Ibrahima Diallo, Médecin-Capitaine Robin, Médecin-Lieutenant Charmot. Et, parmi les sous-officiers : Plantevin, Le Forestier, Genoseau, Payet, Leclerc, Victorin, Penformis, Antonini, Provost, Dubois, Birden, Escarguel, Piaud, Genicoud, etc...
www.francaislibres.net  Laurent le vendredi 14 mai 2010 - Demander un contact La page d'origine de cette contribution Recherche sur cette contribution | |
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La Libye
Cette vie de garnison ou presque, cesse le 10 janvier 1943 lorsque le BM4 est affecté à la 2e brigade (Colonel Garbay ) de la 1re DFL (Général Koenig) et part par voie ferrée pour Tobrouk, où il arrive quelques jours plus tard.
L'ordre de bataille est alors le suivant :
Commandant : Lieutenant-Colonel Bourgeois
adjoint Capitaine Fougerat
1er Compagnie : Capitaine Jeanperrin
2e Compagnie : Capitaine Defosse
3" Compagnie : Capitaine Chabert
Compagnie d'accompagnement : Capitaine Brisbarre
Médecin : Capitaine Charmot
Citons encore quelques noms, outre ceux mentionnés plus haut :
- Officiers : Chareyre, Perner, Robedat, Frattacci, Lecourt, Pointet, etc...
- Sous-officiers : Birden, Bignet, Godard, Piaud, Baudoin, etc.
Le Bataillon est équipé en matériel britannique, tant pour l'armement que les véhicules, conservant toutefois 8 canons de 75 mm, excellents pour la défense antichars. Après trois mois d'entraînement, il quitte Tobrouk et arrive en Tunisie avec la 1re DFL. le 4 mai : le transport avait été endeuillé par la noyade du Père Pouille, le jour de Pâques, après la messe, sur la plage de Misurata." Laurent Laloup le dimanche 28 septembre 2008 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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