|  | | | | Un Français Libre parmi 63561 | | | Fleury Victor Aimé Bressoux | |
Naissance : 18 mars 1910 - Pressiat (01)
Activité antérieure : liberal / cadre
Point de départ vers la France Libre : Afrique
Engagement dans la France Libre : Somalie en janvier 1942
Affectation principale : Terre Leclerc - Afrique / artilleriegroupe franc du 22e FTA
Grade atteint pendant la guerre et spécialité : capitaine
Décès à 73 ans - 17 mars 1984 - Viriat (01)
Dossier administratif de résistant : GR 16 P 89512
Dans la liste d'Henri Ecochard V40 : ligne 8056 |
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Nom :BRESSOUX
Prénom :Fleury Victor Aime
Sexe :M
Jour de naissance :18
Mois de naissance :03
Année de naissance :1910
Code insee naissance :01312
Commune de naissance :Pressiat
Pays de naissance :FRANCE
Jour de décès :17
Mois de décès :03
Année de décès :1984
Code insee deces :01451
Commune de décès :Viriat
Pays de décès :FRANCE
Fichiers des personnes décédées établi par l'INSEE Laurent Laloup le jeudi 26 mars 2020 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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Correction du message de mon frère Philippe Notre père est arrivé dans l'Yonne après avoir été blessé à Baccarat. Nos arrières grand-parents, Alsaciens d'origine, ayant quitté l'Alsace lors de l'annexion en 1870, l'ont accueilli comme filleul de guerre. Éric BRESSOUX le lundi 02 septembre 2013 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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a propos de mon pere En remontant libérer Paris la 2e db fit halte dans l'Yonne dans le village de St Julien du sault. Hébergé chez mon arriere grand mere mon pere fit la connaissance d'une jeune fille qu'il vint retrouver après la libération de Paris , l’épopée vers le "nid d'aigle" que mon pere ne vit jamais, blessé avant d'atteindre ce but. J'ai eu loccasion il y a a peu pres 6 ans de retouver le dr Duchet qui a operé mon pere de ses blessures. Ce qui l'a frappé a l'epoque c'est que mon pere a refusé d'être bénéficiaire d'un quelconque regime de faveur en tant que lieutenant. Il considerait que sa place etait au milieu de tous ses compagnons blessées. Son retour a st Julien fit qu'en 1954 j'ai fait la connaissance de mon pere et de ma mère. Mon pere ne nous a jamais parlé de tout ce qu'il a pu vivre de terrible pendant la guerre. J'ai appris l'episode du drapeau a Gondar en regardant une maquette au musée des invalides sur laquelle son nom etait cité et le fait relaté. Il ne s'est jamais vanté et il avait les vantars en horreur. Mais je me souviens de ses recits de nuits dans le desert lors de telle ou telle étape, quand les armes ne parlaient pas. Je me souviens des repas des anciens de la 2e db a Paris. Ce monsieur sculpteur qui emerveillait mes yeux d'enfant en sculptant a la fin du repas avec la mie de pain. Je crois me souvenir du nom d un ancien : Journo qui tenait le magasin Odiovox porte d’Orléans. Le hasard m'a fait rencontrer vers mes 30 ans un certain Brossard éleveur de vin en bourgogne. Il se souvenait de mon pere comme d'une personne de caractère. C'est vrai que je l'ai toujours connu tres déterminé capable d’intransigeance. Il avait l'air de ne rien craindre mais etait a mon avis toujours juste. J'ai aussi un jour rencontré un ancien de la db. J'ai pu lui exprimer le respect que je ressentais pour lui et tous ses compagnons. Il a meme pleuré quand je lui ai dit que chaque français se devait d'avoir au fond de lui un grand merci pour tous ces garçons. Pour ma part je garderais jusqu'au bout chapeau bas pour ces anciens. bressoux philippe le mardi 28 juin 2011 - Demander un contact Recherche sur cette contribution Réponse : La 2e DB n'a atteint l'Yonne qu'après la libération de Paris
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GASTON PALEWSKI :
"... Car nous étions alors au milieu du drame terrible qui dressait les hommes libres dans la résistance à la tyrannie : c'était en septembre 1942. Je venais de passer près de deux ans en Afrique. J'y avais formé et commandé les Forces françaises libres de l'Est africain qui prirent une part certaine à la dernière phase de la guerre d'Ethiopie. Ne fut-ce pas un de mes hommes, Fleury-Bressoux, qui le premier arbora le drapeau sur Gondar conquise ! Le général de Gaulle m'avait rappelé pour prendre la direction de son cabinet. J'étais parti d'Addis-Abeba. A Fort-Lamy, aux côtés de Leclerc, j'avais vu défiler ses bataillons de tirailleurs avec les petits fifres noirs, rythmant les notes grêles de l'air : « Vous n'aurez pas l'Alsace et la Lorraine ! » ..."
www.urbanisme.fr  Laurent Laloup le vendredi 06 février 2009 Recherche sur cette contribution | |
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