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| Maurice Roger Boyer Thomas alias Charny Val | |
Naissance : 26 avril 1918 - Salzuit (43)
Point de départ vers la France Libre : Metropole
Engagement dans la France Libre : Londres en juillet 1940
Affectation principale : FAFL / Royal Air Force
Grade atteint pendant la guerre et spécialité : sous-lieutenant
Décès à 23 ans - 17 avril 1942 - au dessus de la Manche
Mort pour la France
Dossier administratif de résistant : GR 16 P 86598
Dans la liste d'Henri Ecochard V40 : ligne 7828 |
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Il est l'un des 123 FAFL disparus sans sépulture dont le nom figure désormais sur la stèle commémorative du Tréport inaugurée en juin 2022.
Sa notice biographique et les circonstances de sa disparition ainsi que l’historique du projet de la Stèle, mené par l’Association pour la mémoire des FAFL, sont consultables sur le site de la Fondation de la France libre à l’adresse suivante : 
Des photos de la stèle sont consultables sur le site « Aérostèles » : 
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Fred Bentley le samedi 30 juillet 2022 - Demander un contact La page d'origine de cette contribution Recherche sur cette contribution | |
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La dernière mission du Pilot Officer Maurice Boyer. 17 avril 1942, No.174 Squadron, Manston, No.11 Group.
"A 22h25, le P/O. Boyer (Hurricane IIb BE671) a décollé de Manston avec mission de larguer des fusées éclairantes entre Calais et Dunkerque où des bateaux ennemis avaient été signalés. A 22h30, apparement perdu il a demandé un cap retour et aussitôt après, la communication radio a été coupée. A peu près au même moment un navire a signalé avoir vu un avion s'écraser en mer six miles au nord de Westgate. Les recherches de sauvetage sont restées vaines, le P/O. Boyer est porté disparu".
Source: No.174 Squadron ORB, F540, AIR 27/1108.
Maurice Boyer fut la première perte déplorée par le No.174 Squadron. Jacques Brisset le lundi 01 mars 2021 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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il aurait 100 ans Le robot du site vient de me prévenir qu'un ajout avait été fait sur la fiche de ce pilote. J'en profite pour dire qu'il aurait 100 ans maintenant.
Requiescat in pace Robinard le mercredi 21 mars 2018 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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Maurice BOYER-THOMAS au No.607 Squadron. Communiquée par Mme Eugenie Brooks, dont le père était pilote au No 607 Squadron, une photo de trois des quatre français du Squadron fin 1941.
De gauche à droite: Maurice Boyer (FAFL 30.022) , Maurice Halna du Fretay (FAFL 30.658) et Jean Cravoisier (FAFL 30.046).
Maurice Boyer et Maurice Halna du Fretay furent affectés au No.607 Squadron depuis la No.59 OTU, Crosby on Eden le 18 novembre 1941.
Jean Cravoisier et Raymond Van Wymeersch (FAFL 30.368)) furent affectés au No.607 Squadron depuis le No.3 Squadron le 19 novembre 1941.
Jean Cravoiser sera tué en opérations au No.607 Squadron, le 5 décembre 1941. 
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Jacques Brisset le mardi 20 mars 2018 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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Cap sans retour de Germaine l'Herbier Montagnon Cap sans retour de Germaine l'Herbier Montagnon page 52-53 :
"Des larmes me brûlent les yeux. Je quitte tout, tout....Je pars seulement faire mon devoir que bien des français ont oublié"
signé M. B.-T.
(Maurice BOYER-THOMAS) ROBINARD le vendredi 05 juillet 2013 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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Cap sans retour de Germaine l'Herbier Montagnon Sur la liste établie par Germaine L'Herbier Montagnon, il semblerait que le nom de Maurice Boyer soit en fait Maurice BOYER-THOMAS ROBINARD le vendredi 05 juillet 2013 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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Cap sans retour de Germaine l'Herbier Montagnon 412 aviateurs de la France Libre sont morts pour la France. Liste dressée en 1947 par Germaine L'Herbier Montagnon IPSA.
Le sergent Maurice BOYER-THOMAS part de Bordeaux pour l'Angleterre sur le "Madura" le 19 juin 1940, mort pour la France le 17 avril 1942 est le 60ème de la liste. ROBINARD le vendredi 05 juillet 2013 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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www.cieldegloire.com
" Incorporé dans l'Infanterie en octobre 1938, Maurice Boyer est reçu à l'examen de l'Ecole d'Aviation d'Istres le même mois, en tant qu'élève pilote de carrière. Il commence son entraînement à l'Ecole civile de pilotage d'Ambérieu où il est breveté pilote le 1 mars 1939. Nommé sergent en août 1939, il est grièvement blessé à la Martinerie (Châteauroux) dans un accident aérien le 8 septembre 1939. Au décollage son appareil s'écrase suite à une rupture de commande. Son entraînement est interromu par un long traitement médical et, en juin 1940, il se trouve à l'hôpital d'Argenton-sur-Creuse, amputé d'un doigt de la main droite et souffra,t de multiples plaies et brûlures. Sur le point de passer devant le conseil de réforme, il entend l'appel du Général de Gaulle et décide de rallier la Grande Bretagne. Il embarque à Bordeaux sur le Madura qui arrive à Falmouth le 21 juin 1940. Il s'engage le jour même dans les Forces aériennes françaises libres (FAFL).
Il reprend son entraînement dans les écoles de la RAF et passe successivement au Service Flying Training School 5 de Ternhill en juin 1941 puis à l'OTU 59 de Crosby-on-Eden à la fin de 1941. Début 1942, il est affecté au Squadron 607, sur Hurribomber. Lorsque l'unité est transférée au Moyen Orient, Murice Boyer change d'affectation et se voit transféré au Squadron 174 où il retrouve Halna du Fretay et Van Vymeersch (qui sera plus tard fait prisonnier et participera à la Grande Evasion du Luft Stalag III de Sagan en mars 1944) avec le grade de Sous Lieutenant. Le 17 avril 1942, il ne rentre pas de sa onzième mission, effectuée au-dessus de la Manche, à la recherche de convois ennemis." 
Laurent Laloup le mercredi 03 décembre 2008 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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Un free french dans les coulisses de la Seconde Guerre mondiale, La Pensée universelle, 1994 " II réfléchit, me regarde et répond : « Vous, vous êtes réservistes, c'est une magnifique initiative que de partir, je vous félicite de tout cœur. Mais moi, vous comprenez, je ne suis pas réserviste, je suis officier d'activé, je ne peux pas faire cela, et je ne peux pas venir avec vous, je regrette. »
C'était cela l'armée de carrière, et il a dû le regretter, car s'il m'avait suivi, il serait probablement maréchal comme Kœnig.
En effet, j'ai vu arriver Kœnig en 40 comme capitaine.
Finalement, au lieu de deux, j'ai emmené quatre aviateurs blessés légers. Ils s'appelaient Molinari, Denuchez, Troupel et Boyer. On est allé chez le médecin chef qui était un Martiniquais très gentil et on lui dit : « on veut une permission libérable », on voulait avoir un papier quelconque. Il demanda : « où voulez-vous aller ? »
« A La Rochelle. »
«Alors vous êtes les trois de La Rochelle», et il nous a fait une permission libérable avec laquelle nous sommes partis dans le convoi de blessés anglais avec le capitaine Wicks et deux charmantes conductrices anglaises qui se nommaient Maitland et Portal, d'une famille d'un amiral anglais très célèbre : elles étaient ambulancières." Laurent Laloup le mercredi 03 décembre 2008 - Demander un contact La page d'origine de cette contribution Recherche sur cette contribution | |
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Elementary Flying Training School (EFTS) d'Odiham, février 1941, devant un Westland Lysander : de gauche à droite, au premier rang, assis : Malbranque, X, Chatillon, Pierre Delange, Chauvin, Arnoud, Traisnel, Jean Vaissier, Bernard Fuchs, Boyer ; debout : X, X, Blitz, Pabiot, Réveilhac, Cravoisier, Van Wymeersch, Mazeron, Laurent, Béraud et Lambert (photo revue ICARE, avec la permission de Jean Lasserre) 
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Laurent Laloup le jeudi 16 août 2007 - Demander un contact La page d'origine de cette contribution Recherche sur cette contribution | |
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