|  | | | | Un Français Libre parmi 63526 | | | Bernard Benjamin Benezra alias Bermond | |
Naissance : 3 mars 1921 - Istanbul, Turquie
Activité antérieure : liberal / cadre
Point de départ vers la France Libre : Metropole
Engagement dans la France Libre : en janvier 1942
Affectation principale : Résistance intérieure / F2Homologué FFC DIR et FFL
réseau FYR (OSS)
Décès à 87 ans - 30 juillet 2008 - Marseille 9e (13)
Dossier administratif de résistant : GR 16 P 50597 |
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Bernard Benjamin Benezra alias Bermond - son Livre ouvert ! "MAS 541 Vedette italienne commandée par un anglais (Lt Tom Maxted) partie de Bastia
Créer nouveau réseau FYR (FRASCATI-YVES-RIAND) à Monte Carlo
Bernard Benezra s’évadera de France avec Antoine Borghi & Henri Chantesais (Ingénieur SNCASO), en traversant la frontière franco-Espagne le 29/01/1944 (Foix, Ur, Llivia), arrétés à Puigcerda & emprisonnés à Miranda del Ebro
Rejoindront Casablanca le 23/03/1944"
www.plan-sussex-1944.net  Laurent Laloup le vendredi 28 juillet 2023 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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" Le deuxième, le Lieutenant Bernard Bermond[6] fut un de mes amis. Né en 1921, il s’engage dans la résistance au Havre en 1941. Il rejoint Marseille et se joint aux réseaux Corses. Arrêté en Corse pour faits de résistance, il participera ensuite à la libération de l’île. Il rejoint après cela Alger où il est détaché par l’armée française auprès des services secrets américains, l’OSS. Il débarque en décembre 1943 en sous-marin près de Ramatuelle et a pour mission, avec son réseau, de fournir les plans de défenses des Côtes de Provence. Une fois les informations recueillies, il gagne l’Espagne où il est arrêté avant de s’évader et rejoindre Alger en mars 1944. A Alger, il peut enfin remettre les micro-films des plans de défenses côtières allemandes. Il est ensuite parachuté près de Marseille le 24 mai 1944. Arrêté par la Gestapo, le 12 juin, dans un piège tendu par un milicien, Paul Pavia, il arrive à s’évader des geôles de la rue Paradis et à faire tomber après guerre les traîtres responsables de son arrestation. Grâce, entre autres, à ses renseignements, le débarquement de Provence du 15 août 1944 est un succès. Après guerre, il rejoint la branche action des services secrets français. Il fut fait Commandeur dans l’Ordre de la Légion d’Honneur. Bernard Bermond, de son vrai nom Benjamin Benezra, était né le 3 mars 1921 à Istanbul dans une famille juive turque.
[6] Sources :
Fabrizio Calvi, OSS, la guerre secrète en France, Nouveau Monde Editions.
Guillaume Vieira, La répression de la Résistance par les Allemands à Marseille et dans sa région (1942-1944), Aix-en-Provence, thèse d’histoire, Université d’Aix-Marseille, 2013."
Jacques Ghémard le lundi 21 août 2017 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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"La deuxième partie de l'intervention était un hommage aux espions et saboteurs juifs des services secrets alliés. Jean Rosenthal, du Bureau central de renseignement et d'action de la France libre (BCRA), héros de La Vallée des rubis de Joseph Kessel; le lieutenant Bernard Bermond (Benjamin Benezra), du Bureau des services stratégiques des Etats-Unis (OSS), le commandant François Klotz, du SPOC américain, torturé à plusieurs reprises et disparu en juillet 44, grand-oncle de François Heilbronn à l'origine de son prénom et de son désir de servir dans le régiment des parachutistes. Jean Worms, agent secret français du SOE britannique, arrêté, torturé et exécuté à Flossenburg en 1945. Philippe Koenigswerther du BCRA, exécuté en Alsace au camp de Stuttoff. Denise Bloch du SOE, parachutée en France en 1942, torturée et abattue par la Gestapo en janvier 1945. Enfin Nahum Ben Shemoul, qui s'enrôla comme volontaire étranger vers la Palestine, et sera à l'origine de la première unité de parachutistes de l'armée israélienne. Le Prof. Heilbronn estime la participation des Juifs de France à plus de 10% de l'ensemble des services secrets alliés, alors qu'ils ne représentaient que 1% de l'ensemble de la population française."
Jacques Ghémard le samedi 10 décembre 2016 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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GR 16 P 50598 : non homologué FFL ROUMEGUERE le lundi 18 juillet 2016 - Demander un contact Recherche sur cette contribution Réponse : "GR 16 P 50598 BERMOND, Bernard Paul 24.11.1925 Dole Jura FRANCE Homologué DIR" C'est un homonyme et je ne trouve pas celui cité dans cette page
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10 ans secrétaire du Comité du Mémorial Jean MOULIN aux côtés de Bernard BERMOND Lorsque Bernard BERMOND m'a demandé de prendre les fonctions de secrétaire général du Comité j'ai accepté d'emblée car je connaisais Bernard depuis fort logtemps6 Fils de résistant j'ai compris qu'il avait réalisé avait d'autres illustres résistant comme Jules SEBASTIANELLI une véritable prouesse en faisant réaliser ce mémorial-Bien avant de prendre mes fonctions j'avais participé à de nombreuses manifestations en tant que président d'association- Bernard réalisait des prodiges pour trouver les financements nécessaires à la venue de scolaires et d'étudiants non seulement sur le site mais également pour l'organisation de colloques à Salon de Provence, à trouver également le financement pour le transport des jeunes venant de tout le département accompagnés de leurs enseignants- Après sa disparition je suis resté deux ou trois comme secrétaire du Comité aux côtés de Francois René CRISTIANI-FASSIN et compte tenu des charges que je venais de prendre comme président du Comité de coordination des associations d'anciens combattants et victimes de guerre de Marseille et des Bouches du Rhône- 189 associations à l'époque-je n'ai pu continuer à assumer le poste de secrétaire général- Après la mort de Bernard d'autres résistant ont disparu comme Edouard ALEXANDER, Roger TARDIVEL, Puis il y a peu de temps Jules SEBASTIALELLI,madame SAKAKINI, puis Jean-Paul MARCADET- Ainsi pratiquement tous les anciens grands témoins ont disparus dans notre département. cela laisse un vide énorme que les nouvellesgén,générations ne pourront hélas combler. francis AGOSTINI le mardi 17 mars 2015 Recherche sur cette contribution | |
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Claude Faure : Aux Services De La République - Du Bcra À La Dgse " Désirant renforcer ses réseaux dans le sud de la France, le responsable de l'antenne de l'OSS américain à Alger, Henry Hyde, demande .appui des services français, qui désignent Bernard Bermond et Dominique Borghi pour venir en aide aux agents des réseaux américains implantés dans la région de Marseille. Au même moment, à l'insu du général de Gaulle et de ses services, le général Giraud charge le communiste Camille Larribère d'établir un contact avec les dirigeants des maquis de la zone Sud de la métropole. Dans la perspective d'un débarquement en Provence, le général Giraud ne désespère pas de consolider sa position auprès des Alliés en tentant d'obtenir le soutien d'une partie des maquis de cette région." laurent le mardi 18 août 2009 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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"28 décembre 1943
Près Ramatuelle, Capion au Cap Pinet (Var)
France
BCRA/OSS Bernard BERMOND & Dominique BORGHI débarqués par vedette partie de Bastia
Fyr
Créer nouveau réseau"
www.plan-sussex-1944.net  Laurent Laloup le samedi 18 octobre 2008 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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"HOMMAGE
Nous rendons hommage à notre délégué de Salon de Provence, Monsieur Bernard BERMOND, commandeur de la Légion d'Honneur, que nous avons accompagné le 4 août à sa dernière demeure.
Notre drapeau était en tête des 29 étendards tricolores de la région.
Bernard BERMOND était l'un des créateurs du Mémorial Jean Moulin et Président du Comité d'Action de la Résistance Départementale.
Au mois de mai dernier, sous sa houlette, nous avions décidé de créer une entité collégiale pour le devoir de mémoire, en prévoyant une synergie entre la Fondation de la Résistance, la Fondation de la Déportation et la Fondation de la France Libre.
C'était notre idée et notre souhait, Bernard BERMOND avait tout mis en œuvre pour cette évolution.
Pars en paix, Cher Bernard, ton passé de résistant, de Français Libre et ta vie combattante auront fait pousser les graines d'espérance dans le maintien de la commémoration du passé historique pour la grandeur de la France.
Nous saurons être dignes de tout ce que tu représentais."
DÉLÉGATION DE LA FONDATION DE LA FRANCE LIBRE DES BOUCHES DU RHÔNE
www.francelibrebdr.fr  Laurent Laloup le mercredi 24 septembre 2008 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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"Obsèques de Bernard Bermond, un hommage mérité à un grand de la Résistance.
04/08/2008
www.mvr.asso.fr 
Les obsèques de Bernard Bermond se sont déroulée à la Collégiale Saint Laurent à Salon de Provence ce jour à 15 heures par une chaleur caniculaire.
La Collégiale pourtant grande avait du mal à contenir l'ensemble des amis de Bernard et des personnalités qui avaient tenu à lui rendre un dernier hommage.
Nous citerons notemment la participation de Monsieur le Préfet, du premier adjoint au Maire de Salon en Provence, du Député de Salon, de Mr Caraplis qui représentait Mr Gaudin, Maire de Marseille.
Le Monde des anciens combattants et les Associations de Ménoires étaient représentées par Francis Agostini, Président du Comité de Coordination, Jules Sebastianelli, Président des CVR,le Colonel Jean-Paul Marcadet Président de l'ANACR, Mr André Roussin Président des anciens Combattants du CNRS, Mr Chappapria représentant la Fondation de la France libre,Mr Morel Vice-Président de la Fondation de la Résistance et Président des CAR,Mr Le Garric de l'ANAI,Mr DEBRIL Président délégué des Médaillés de la Resistance,Mr FASSIN Président délégué du Mémorial Jean Moulin, Me Raymond Alexander représentant la MVR qui bien sur avait adressé une gerbe.
Les très nombreux membres éminents de ces associations nous excuseront de ne pas les nommer tant ils étaient nombreux.
La cérémonie à l'église, accompagnée par une trentaine de portes drapeaux s'est déroulée sobrement avec l'intervention du père Vassiliev.
Elle s'est poursuivie au Cimetière par la prise de parole d'un certain nombres de personalités parmi lesquelles figuraient, Jules Sebastianelli, Jean-Paul Marcadet et Mr Morel, le premier adjoint de salon et le préfet qui a lu une lettre du ministre ; toutes ont dressé le portrait du résistant et de l'homme politique puisque Bernard Bermond a été pendant très longtemps élu de Salon et ont rapellé les éminents service rendus à la Nation par Bernard Bermond.
La levée du corps a été faite au chant des partisans chanté a capella par Nadia Boucharenc avec le talent qu'on lui connait ; elle a été suivie par une inhumation privée." 
Laurent Laloup le mercredi 24 septembre 2008 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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Bernard Bermond ? Note : pas la même date de naissance, mais même lieu de naissance et même réseau de résistance....
"Bernard BERMOND
Benjamin, Bernard BERMOND
Né le 3 mars 1921 à Istanbul (Turquie) Décédé à Marseille le 30 juillet 2008.Résidant au HAVRE à la déclaration de guerre, il s’engage pour la durée de celle-ci. Il quitte Le Havre, se retrouve à Morlaix puis à Brest, où il cherche à rejoindre l’Angleterre.
Les troupes ennemies arrivant à ce moment-là, il s’évade et se rend à bicyclette au Havre.
Début de 1941, il fait partie du groupe de résistance ANDREANI dont la mission était de faire évader des prisonniers français cantonnés au Havre vers Paris.
A la suite de son action, il est contraint de quitter Le Havre et s’installe à Marseille en janvier 1942. Après avoir accompli le « Chantier de Jeunesse », il rejoint la Corse en novembre de la même année et intègre le réseau R2/Corse avec M. PANICALI, du 1er février 1943 au 10 septembre 1943, en compagnie de Joseph ROCCA SERRA qui deviendra, par la suite, son radio.
Arrêté par la police italienne le 15 juin 1943 à Bonifacio (Corse), il est incarcéré à la Citadelle et libéré après deux mois de détention.
Participe à la libération de l’île et, notamment, à la bataille de LEVI. Pris dans une embuscade, il sauve d’une mort certaine deux résistants, les frères GRIMAUD et Jérôme FILIPPI.
A la libération de la Corse, il rejoint Alger, s’engage dans l’armée française et est détaché à l’O.S.S. (Office Stratégic Service) qui cherchait des volontaires pour être parachutés en France. A l’issue d’un stage de trois mois, il est nommé Chef de Mission, n’ayant pas pu être parachuté à cause d’un vent violent, ils embarquent avec Dominique BORGHI sur une vedette italienne conduite par un officier anglais qui, depuis Bastia, les conduit sur la côte varoise, près de Ramatuelle, à la pointe du Capion au Cap Pinet. Ils débarquent le 28 décembre 1943 à quelques mètres de l’ennemi.
Sa première mission était de créer un réseau implanté de Monte-Carlo au Vaucluse, en passant par Salon-de-Provence, à cause de la base aérienne, et surtout fournir des renseignements et confirmer les dispositifs militaires mis en place par l’ennemi. Il créa aussitôt un réseau et grâce à des collaborateurs très actifs, il a pu mettre en place une équipe qui a pu lui fournir très rapidement les renseignements qu’il souhaitait. Sa mission terminée, il rejoint Alger via l’Espagne.
Après un accrochage avec les Allemands, il se constitue prisonnier des Espagnols à Llivia (enclave espagnole), avec BORGHI et un ingénieur de Sud-Aviation, du nom de CHANTESAIS, qu’il avait pour mission de ramener à Alger.
Transférés à Puigcerda par les carabiniers espagnols dans une camionnette, cachés entre les sacs de pommes de terre par la route internationale à cause d’un contrôle allemand, ils ont été pris en charge par la police. Sachant qu’ils seraient entièrement déshabillés pour une fouille complète, il avait pris soin auparavant de souiller son slip et y introduire dans la ceinture élastique les microfilms. Ce stratagème a porté ses fruits puisque les policiers espagnols, en voyant son slip, écœurés, lui ont ordonné de se rhabiller. Il a pu ainsi sauver les documents d’une importance stratégique.
Détenu à la prison de Puigcerda, il réussit à convaincre son geôlier de transmettre au Consulat Américain de Barcelone les microfilms qu’il détenait. Le geôlier a lui-même, à son tour, convaincu un de ses amis agriculteur qui se rendait tous les mercredis à Barcelone pour transporter des légumes et de cacher dans un de ses cageots les documents qu’il avait pu soustraire de son slip. Les policiers espagnols de garde devant le Consulat Américain l’ont laissé passer pensant qu’il leur délivrait les légumes de la semaine. Pour permettre à l’agriculteur de se faire connaître, il lui confia une bague de reconnaissance qu’Alger lui avait remise, ce qui lui a permis de remettre les documents et de faire connaître ma détention en Espagne. Au retour de cet agriculteur, il est venu me confirmer que sa mission était accomplie et qu’il avait été particulièrement récompensé.
Après une détention dans les prisons de Puigcerdá, Barcelone, Saragosse et enfin au camp de Miranda-Del-Ebro, grâce à la complicité du Consulat Américain qui avait été informé de son incarcération par l’agriculteur, il parvient au début du mois de mars 1944 à se faire libérer.
Il rejoint par avion spécial Alger par Gibraltar, via Casablanca. Arrivé dans les locaux de l’OSS où il fut chaleureusement félicité, il a eu l’agréable surprise de voir tous ses documents agrandis, tapisser les murs d’une pièce.
J’ai appris par la suite que ma tête avait été mise à prix ainsi que celle de BORGHI. Malgré cela, compte tenu de l’urgence, il lui a été demandé de revenir sur la France, accompagné de son ami ROCCA SERRA qui avait passé avec succès le stage radio.
Il doit être parachuté pour une deuxième mission en France le 24 mai 1944, en sa qualité de Chef de Réseau.
Après trois tentatives de parachutage, la première annulée à cause du mistral, la deuxième à cause du sabotage de l’avion au décollage, puis la troisième tentative, en survolant Lyon, deux moteurs sur quatre ont été touchés par les tirs de la DCA nous a contraints d’atterrir en catastrophe à Bastia. La quatrième tentative fut la bonne !
Parachutés au « Vallon de l’Homme Mort » près de la Bouilladisse (Bouches du Rhône), ils arrivent à Belcodène et se cachent dans le cabanon appartenant à ROCCA SERRA. Lors de leurs parachutages, un container sur deux avait été perdu et trouvé par les gendarmes français qui l’ont remis à la police allemande, ce qui a provoqué un ratissage de toute la région.
Après confirmation de ce message d’Alger, un rendez-vous a été pris le 12 juin 1944 à 18 heures au bar Berlioz (rue Berlioz) à Marseille où Marc arriva avec un dénommé PAVIA. Quelques minutes après, on fit entrer dans sa cellule un prêtre, l’Abbé CHOQUET. Grâce à l’initiative de ce dernier, il réussit une spectaculaire évasion du septième étage de la Gestapo considérée comme « mission impossible ».
Après trois enquêtes, il fut immédiatement décoré de la Légion d’Honneur. Cette évasion a permis de dénoncer aux services d’Alger la trahison de Marc et d’arrêter, à la libération, dix complices de PAVIA travaillant pour la Gestapo, dont plusieurs, y compris PAVIA, furent condamnés à mort.
Le réseau « FYR » qu’il a constitué était composé de 144 membres, et partagé en trois groupes : FRASCATI-YVES-RIAND.
A l’occasion d’une cérémonie à Nice célébrant le 50ème anniversaire du Débarquement en Provence, Bill CLINTON alors Président des Etats-Unis lui fit remettre une lettre de félicitations par le Général Américain QUINN, Adjoint du Général PATCH, en présence de son Chef, le Colonel HYDE, Chef de l’OSS, en reconnaissance des renseignements fournis à l’époque, qui avaient permis aux troupes alliées de modifier leur dispositif de débarquement.
Bernard BERMOND prend une part de plus en plus active dans la vie municipale (Adjont au Maire pendant 24 ans), il a été également Conseiller Régional, tout en gardant son action au sein du monde combattant.
............"
www.mvr.asso.fr  
Laurent Laloup le mercredi 24 septembre 2008 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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