Mohamed Bel Hadj - Les Français Libres

Les Français Libres, de juin 1940 à juillet 1943

 
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Mohamed Bel Hadj



Naissance : 1904 - Saïda, Oran, Algérie

Activité antérieure : militaire

Nationalité : originaire d'Algerie

Engagement dans la France Libre : Syrie en aout 1941

Affectation principale : Terre DFL - Moyen Orient / BMNA

A participé à la bataille de Bir Hakeim

Grade atteint pendant la guerre et spécialité : sous-lieutenant

Décès à 40 ou 41 ans - 10 janvier 1945 - Sainte-Marie-aux-Mines (68)

Mort pour la France

Dossier administratif de résistant : GR 16 P 44239

Dans la liste d'Henri Ecochard V40 : ligne 4269ligne 4489

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Pourquoi n'y a-t-il pas de photo de ce soldat, qui etait de ma famille ?

ZAIMEN le dimanche 06 juin 2021 - Demander un contact

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Réponse :

Parce que vous n'en avez pas déposé ici, peut être. En général ce sont les familles qui ont des photos. A cette époque il n'y a que rarement des photos dans les documents militaires.


décès du Lt Mohamed Bel Hadj

Le 9 janvier 1945 pendant la campagne d'Alsace, il saute sur une mine en conduisant une patrouille à Dambach dans le Bas-Rhin. Il décède le 10 janvier à 10h30, au 32 rue Réber, à Ste-Marie-aux-Mines, à la 2è compagnie du 14è Bataillon Médical. Déclaration de décès faite, le 11 janvier 1945, par le Lt Robert Hugon auprès de l’état-civil de Ste-Marie/M.



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Malaisé le jeudi 13 décembre 2018 - Demander un contact

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L'un des très rares soldats maghrébins, Compagnon de la Libération

www.avmaroc.com 

"Indigènes", la vraie vie des soldats maghrébins de l'Armée d'Afrique

""Puissent les générations qui prendront la relève pour la survie de la France ne jamais oublier ce qu'elles doivent aux Africains qui venaient de loin", lit-on dans le journal de marche du 22e bataillon de marche nord-africain (BMNA), intégrée à la 1ère DFL de l'Armée d'Afrique.

Ce bataillon, né en septembre 1941 en Syrie et dissous en janvier 1946 en Algérie, intégra tirailleurs maghrébins de l'armée du Levant, Français d'Afrique du Nord, de métropole et de Corse, de toutes classes sociales et de toutes religions.

Unité parmi les plus décorées, le 22e BMNA a compté douze Compagnons de la Libération, dont le lieutenant algérien Mohamed Bel Hadj, tué le 9 janvier 1945 en Alsace, l'un des très rares soldats maghrébins, Compagnon de la Libération.

Le journal de marche du 22e BMNA (355 tués, soit plus du tiers de son effectif, dont 156 officiers et parmi eux tous les officiers maghrébins) se confond avec l'histoire de la France Libre: Bir Hakeim (juin 1942); Garigliano (mai 1944) au pied de Monte Cassino lors de la percée alliée de la ligne Gustav vers Rome; campagnes de Provence, des Vosges et d'Alsace.

"Les tirailleurs nord-africains étaient des soldats solides et courageux, surtout les tirailleurs marocains", se souvient Jean Jaboulay, 84 ans, sergent à la 3e compagnie avec le lieutenant Bel Hadj.

A Eboulet, un hameau du village de Champagney (Vosges), une stèle porte le nom des 58 soldats du 22e BMNA, tués dans de féroces combats avec des SS allemands entre le 29 septembre et le 3 octobre 1944: quarante étaient des tirailleurs ou des sous-officiers maghrébins, les autres des Français d'Afrique du Nord, de Corse ou de métropole.

"On nous avait promis que le bataillon défilerait à son retour à Alger, décorations pendantes, se souvient René Petitot, 85 ans, caporal-chef au 22e BMNA, mais l'unité a été dissoute à la sauvette en janvier 1946", neuf mois après la répression des émeutes de Sétif (15.000 à 20.000 morts).

"Les autorités militaires ont rendu aux tirailleurs survivants, qui avaient déserté pour rejoindre la France Libre, leurs livrets militaires avec le mot +déserteur+ écrit en rouge", raconte René Petitot, mémoire du bataillon.

"Une dizaine d'années plus tard, j'ai appris que le sergent-chef Saïdoun Ben Freha, décoré de la Médaille militaire par le général de Gaulle après la percée de la ligne Gustav, avait rejoint le FLN avec tous ses tirailleurs". "

Jacques Ghémard le lundi 07 décembre 2009 - Demander un contact

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Dernière mise à jour le dimanche 06 juin 2021

 

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