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| Raymond Jean Beaulaton | |
Naissance : 12 octobre 1922 - Argences (14)
Activité antérieure : fonctionnaire
Point de départ vers la France Libre : Metropole
Engagement dans la France Libre : en septembre 1942
Affectation principale : Résistance intérieure / CND Castille
Grade atteint pendant la guerre et spécialité : P1
Décès à 72 ans - 14 octobre 1994 - Saint-Avertin (37)Frère de Maurice Beaulaton
Dossier administratif de résistant : GR 16 P 41563
Dans la liste d'Henri Ecochard V40 : ligne 4045 |
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Nom : BEAULATON
Prénom : Raymond Jean
Sexe : M
Jour de naissance : 12
Mois de naissance : 10
Année de naissance : 1922
Code insee naissance : 14020
Commune de naissance : Argences
Pays de naissance : FRANCE
Jour de décès : 14
Mois de décès : 10
Année de décès : 1994
Code insee deces : 37208
Commune de décès : Saint-Avertin
Pays de décès : FRANCE
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Fichiers des personnes décédées établi par l'INSEE Laurent Laloup le lundi 04 octobre 2021 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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" Cette propagande se poursuit au chapitre 4 de la maîtrise de Plantin, intitulé : " Le véritable sens de la Solution finale de la question juive " : " D’étrangers, les Juifs devinrent des ennemis en septembre 1939. En effet, Hitler prit prétexte d’une série de "déclarations de guerre" de la part d’organisations juives à travers le monde pour interner un certain nombre de Juifs allemands en camps de concentration. C’est "une mesure qui est la règle dans tous les pays du monde en état de guerre..." fait remarquer Rassinier. La déportation des Juifs vers l’Est avait commencé le 15 octobre 1941. La Conférence de Wannsee du 20 janvier 1942 avait pour but d’organiser la concentration des juifs dans les territoires de l’Est. Cette conférence décida le refoulement (die Zurückdrängung) de l’espace vital allemand de tous les juifs qui seraient acheminés vers l’Est où ils seraient mis au travail et attendraient la fin de la guerre qui déciderait de leur sort. L’Est européen dont il s’agit est la région d’Auschwitz " (p. 78).
Les notes et références révèlent l’insertion profonde de Plantin au sein du milieu néo-nazi : il fait état de sa correspondance avec les plus importants propagandistes du négationnisme : Wilhelm Stäglich, auteur allemand du " Mythe d’Auschwitz " publié en français par La Vieille Taupe, Raymond Beaulaton, vieux compagnon idéologique de Rassinier, et même Maurice Bardèche et Faurisson en personne. Bien avant l’existence d’Internet, il a accès aux bulletins les plus confidentiels : la revue flamande V.H.O.-Nieuwsbrief, les publications autrichiennes Sieg et Halt, le Journal of Historical Review des U.S.A., Revision de Guionnet.
Il n’y a donc aucun doute sur le caractère de ce mémoire. Il obtient pourtant la mention " Très Bien "."
www.angelfire.com Laurent Laloup le samedi 08 novembre 2008 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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"... Émanant du congrès du Mans du 11 octobre 1952, l'Entente est « un organe destiné à mettre en contact, en dehors de tout exclusivisme, les fédérations, groupes et individus, se réclamant de l'anarchisme ». Réunie notamment autour de Georges Vincey, Tessier, Louis Louvet, André Prudhommeaux, mais aussi deux individus louches qui vireront à l'extrême droite à l'occasion de la guerre d'Algérie, Raymond Beaulaton et Fernand Robert, l'Entente anarchiste apparaît clairement comme une tentative de sauvegarde d'un certain anarchisme, « opposé » à l'anarchisme-lutte de classe porté aussi bien par Georges Fontenis que par Maurice Joyeux. Dès le premier numéro, c'est à Raymond Beaulaton qu'il revient de fixer le débat et le sens des critiques : « Venons en directement au fait. L'unité anarchiste du lendemain de la guerre fut vite brisée. Il y a deux ans, au congrès de Paris, le système de consultation par le vote fut institué. En deux ans, cette unité fut détruite. »..."
fr.wikipedia.org Laurent Laloup le samedi 08 novembre 2008 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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militants-anarchistes.info
" BEAULATON Raymond « SOURIANT »
Né le 12 octobre 1912 à Argences (Calvados) - mort en 1994
Ouvrier ajusteur - FA - AOA - CGT - CNTF(FTR) - Paris 18 & Le Mans (Sarthe)
Fils et petits-fils de militants socialistes, Raymond Beaulaton fréquenta dès l’âge de huit ans les Amis de l’Enfance ouvrière, puis le groupe des amis de La Patrie Humaine. Ouvrier ajusteur, il adhéra au mouvement syndical en 1937 et participa aux activités de soutien à la Révolution espagnole. Il fonda le 12 juillet 1940 un des premiers groupes de " résistance antinazi " de l’ouest qui éditait des tracts antifascistes et aidait à l’évasion de prisonniers (politiques et de guerre). Pendant cette période il était agent d’assurances et militait à la CGT clandestine, et à travers plusieurs réseaux (Libération Nord en 1941, CND Castille en 1942) participait à des actions de Résistance. A la libération Raymond Beaulaton Souriant militait à la minorité anarcho-syndicaliste de la CGT dont il était exclu pour indisciplineaprès être entré àla SNCF en février 1945. Il participait à la même époque à la constitution du groupe de Chateau-du-Loir de la Fédération Anarchiste et dont faisaient également partie Henri Bagatskoff et Jean Boyer. En juillet 1947 il était muté à Paris où il demeurait 4 rue de la Providence (Paris 18), et fut un des fondateurs de la Confédération nationale du travail (CNT) en 1947. Il assurait le secrétariat général de la Fédération des Travailleurs du Rail (FTR) et de l’Internationale des Travailleurs du Rail. Délégué du syndicat du rail de la Région parisienne (Paris Austerlitz, Paris ouest rive droite, Vitry, Persan Beaumont, La Chapelle et Paris ouest rive gauche) les 24-26 septembre 1948 au 2° Congrès de la CNTF à Toulouse, il a été également délégué au 2° Congrès de la FTR qui s’est tenu le 28 septembre 1948 à Toulouse, où, bien que démissionnaire de la Commission administrative, il avait été rééélu à la nouvelle commission de trente membres. Membre du Comité national de la FTR, il était élu secrétaire général de la FTR en octobre 1948 : le bureau était alors composé de Roger et Jean Lavigne, Daniel Busset, Fernand Robert, Henri Pillerault et Julien Mercereau. Il assurait également le secrétariat du syndicat FTR de Paris Ouest Rive droite et collaborait régulièrement aux divers bulletins cheminots de la CNT : Cri Du Cheminot (au moins 11 n° de 1947 à avril 1949), suivi par Rail CNT(au moins 2 n° en 1949)et une série du Rail enchaîné(au moins 14 n° entre décembre 1944 et 1952). En 1951 il était facteur à la gare du Mans-Triage et était un des responsables du bulletin Le Rail Enchainé ainsi que le secrétaire du groupe du Mans de la FA. Lors d’un Comité confédéral le 29 janvier 1950 Beaulaton était exclu de la CNT avec les autres responsables de la FTR - Fernand Robert, Pillerault et Regnault pour ne avoir respecté la décision du congrès confédéral de ne plus participer au Cartel d’action d’unité syndicaliste. Beaucoup de militants de la FTR suivaient alors leurs responsables qui fondaient ultérieurement l’Alliance syndicale des cheminots anarchistes (ASCA) avec pour organe Le Rail enchaîné (n°1, avril 1953 à n°11, juin 1954).Ils étaient alors appuyés dans leur démarche par des regroupements analogues : l’Alliance anarchiste des PTT et l’Alliance syndicale anarchiste de la RATP.
Membre de la Fédération anarchiste (quai de Valmy) depuis la reconstitution en 1944, Beaulaton appartenait au regroupement l’Entente anarchiste, créée en juin 1952, il avait participé avec sa compagne au congrès de refondation de la Fédération Anarchiste tenu les 25-27 décembre 1953 à la salle de la rue Mercadet (congrès faisant suite à la prise de contrôle de l’ancienne FA devenue FCL par Georges Fontenis). En 1956 il était le secrétaire aux relations intérieures de la FA du Comité de relations dont la secrétaire était alors Pierette Martinez et le trésorier Clément Fournier. R. Beaulaton fut, le 25 novembre 1956 à Bruxelles, un des créateurs de l’Alliance ouvrière anarchiste (AOA), expression de langue française du Mouvement anarchiste international, se voulant un " instrument de liaison, d’information et de coordination " (...) " des individualités et des groupes locaux, régionaux et affinitaires qui gardent leur complète liberté d’action et une autonomie complète ". Entre 1955 et 1967 des militants de l’AOA publieront une vingtaine de numéros d’une nouvelle série du Rail enchaîné.
A partir des années 1980, le bulletin de l’AOA, L’Anarchie publiait régulièrement des publicités et des textes de négationnistes notoires." L. Laloup le lundi 24 mars 2008 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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