Max Marcel Albospeyre - Les Français Libres

Les Français Libres, de juin 1940 à juillet 1943

 
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Max Marcel Albospeyre



Naissance : 15 mars 1922 - Saint-Vincent-de-Cosse (24)

Activité antérieure : militaire

Point de départ vers la France Libre : Nord Afrique

Engagement dans la France Libre : Tunisie en juillet 1943

Affectation principale : Terre DFL - Moyen Orient / BM21

Grade atteint pendant la guerre et spécialité : lieutenant

Décès à 85 ans - 22 février 2008 - Clamart (92)

Dossier administratif de résistant : GR 16 P 6559

Dans la liste d'Henri Ecochard V40 : ligne 782

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Max Marcel Albospeyre - son Livre ouvert !
 

droit au port de la médaille commémorative des services volontaires dans la France libre.

LE PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE, CHEF DU GOUVERNEMENT
DECIDE

La présente commission réunie en séance le 15 octobre 1946, à 8 heures, au Cabinet militaire du Gouvernement, conformément aux dispositions de la décision n° 1214 du 10 octobre 1946, sous la présidence du capitaine Glenat, assisté des lieutenants Ferrus et Herbout, a décidé d'accorder le port de la médaille commémorative des services volontaires dans la France libre à : M. Siriex (Paul-Henri), gouverneur de la Côte française des Somalis; M. Colsenet (Jean), ingénieur des travaux publics ; Mm Colsenet: M. Langle (Pierre), administrateur adjoint de 1re classe des colonies; M. Lyaudet (Marcel), chef d'équipe aux travaux publics: M. Liégois (Norbert), employé au C. F. E. ; M. Liégois (Henri) ; M. Perronet (Henri), employé au C. F. E. ; M. Ismaël Djama (ex-sergent du B. S. S., matricule 2041) ; M. Mohamed Souleyman (ex-sergent du B. S. S., matricule 1927) : M. Elmi Habaneh (ex-sergent du B. M. S., matricule 1818) ; • M. Farah Areh (ex-caporal-chef du B. M. S., matricule 593) ; M. Mohamed Ab (ex-caporal du B. M. S., matricule 1574) ; M. Ali Boeuf (ex-caporal du B. M. S., matricule 1937) ; M. Gable Galeb (ex-lre classe du B. M. S., matricule 2039) ; M. Abar Aden (ex-1re classe du B. M. S., matricule 1779) ; M. Housen Dagal (ex-1re classe du B. M. S., matricule 551) ; M. Abdillahi Daoure (ex-1re classe du B. M. S., matricule 495) ; M. Darar Chire (ex-1re classe du B. S. S., matricule 1955) ; M. Hassen Elmi (ex-1r classe du B. M. S., matricule 426) ; M. Djama Boulaleh (ex-l rc classe du B. M. S., matricule 1179) ; M. Abdillahé Ali (ex-lre classe du B. M. S., matricule 1434) ; M. Youssouf Omar (ex-2e classe du B. M. S., matricule 837) ; M. Mohamed Adjel (ex-2° classe du B. M. S., matricule 1929) ; M. Abdillahi Liban (ex-2e classe du B. M. S., matricule 634) ; M. Eye Samod (ex-2e classe du B. S. S., matricule 1975).

Les militaires dont les noms suivent ont droit aussi au port de la médaille commémorative des services militaires volontaires dans la France libre :

Compagnie Somalie de tradition. Djama Doale, adjudant, matricule 471; Ali Farah (Ahmed), adjudant, matricule 1933; Ahmed Djenne, adjudant, matricule 1803; Issa Gabobe, adjudant, matricule 657 : Champenois (André), sergent-chef, matricule 1586; Mohamed Aden, sergent-chef, matricule 696; Moussa Ali, sergent-chef, matricule 1877 ; Hussein Dirieh, sergent-chef, matricule 357; Farah Abdi, sergent-chef, matricule 398; Aibo Djama, sergent-chef, matricule 1934; Viguié (Yves), sergent, matricule 1578; Farah Sougal, sergent, matricule 2015; Aden Ali, sergent, matricule 1323; Ali Ouarsame, sergent, matricule 1809; Mohamed Gouled, sergent, matricule 714: Hussein Omar, caporal-chef, matricule 375; Ali Kadie, caporal-chef, matricule 390; Mohamed Douale, caporal, matricule 1852; Ibrahim Egueh, lre classe matricule 1922: Awale Adowa, 1re classe, matricule 1847: Ali Mogueh, 1re classe, matricule 1841; Ali Djama, 1re classe, matricule 564 ; Ismaël Doubet, 2e classe, matricule 1132; Isman Raouah, 2e classe, matricule 1481.

Bataillon de tirailleurs sénégalais de la Côte française des Somalis. Menât (Léon), capitaine; Henry (Charles), lieutenant; Giramiel (Bernard), lieutenant; Jacquand (Clément), adjudant-chef, matricule 18064 ; Plantier (Clermonville), sergent-chef, matri cule 13346; D'Hellem (Marcel), sergent-chef, matricule 1159; Héras (John), sergent, matricule 82599: Acina (Alexis), sergent, matricule 215: Toudic (Eugène), 2e classe, matricule 1051 ; Guitigaza, adjudant, matricule 4358: Diallo Ousmani, sergent-chef, matricule 45863 : Nazikor (Martin), sergent, matricule 10287 : Antandou Sombono, caporal-chef, matricule . 30802 ; Goulayo, caporal-chef, matricule 9427 : Mamadou Fadia, caporal-chef, matricule 41654 ; Adji Kamara, caporal, matricule 55888; Paquile, caporal, matricule 74725; Kalipha Zerbo, caporal, matricule 39045 : Boubakar Diallo, caporal, matricule 45492; Tamba Lanou, 1re classe, matricule 13042; Samba Diallo, 1re classe, matricule 48574: Soulemana Bailo, 1re classe, matricule 41698 ; Kali, 1re classe, matricule 47847: l'atei, 1re classe, matricule 54614; Siba, lre classe, matricule 60297 ; Saa Mansare, 1re classe, matricule 66963; Bègue, 1re classe: Pate Diallo, 1er classe, matricule 48866; Niaobe Kone, 1re classe, matricule 48362; Kamissa, 1er classe, matricule 45803; Biasingar, 2e classe, matricule 3891 : Djidaina, 2e classe, matricule 13180; Samba Diallo, 2e classe, matricule 55491; Kabele Samoura, 2° classe, matricule 65794: Makala (Joseph), 2e classe, matricule 787: Dombaral, 2e classe, matricule 1346: Korassoum, 2e classe, matricule 5034: Madiko, 2e classe, matricule 7553 ; Miaoutadi, 2e classe, matricule 15387 ; Lamadji, 2e classe, matricule 15453 : Dougo Zonepogui, 2e classe, matricule 38922 ; Bala Diallo, 2e classe, matricule 48770: Moula, 2e classe, matricule 14056: Boykaba, 2e classe, matricule 1389: Djeba Guamgodo, 2e classe, matricule 12428; Morondo, 2e classe, matricule 14120; Matangar, 2e classe, matricule 13677 : Derque, 2e classe, matricule 10222.

Milice indigène de la Côte française des Somalis. Labarsouque (Paul), chef de bataillon; Muller (Robert), capitaine; Grollemund (Joseph), capitaine; Albospeyre (Max), lieutenant; Tomasi (Yvon), lieutenant; Frison-Roche (Raymond), aspirant; Larange (Georges), adjudant-chef ; Degendt (Pierre), adjudant; Cantini (Pierre), adjudant; Fusellier (Henri), adjudant; Leonetti (Augustin), sergent-chef.

bir?etion [Direction ?] d'artillerie. Rutillet (Lucien), capitaine; Brousse (Louis), adjudant-chef, matricule 5222 : Bonsirven (André), maréchal des logis-chef, matricule 54804; Bourges (Georges), maréchal des logis-chef, matricule 2921 ; Duphot (Marcel), sergent, matricule 11169: Gasnier (Charles), maréchal des logis, matricule 10580; Drame (Guillaume), brigadier-chef, matricule 143.

Batterie de côte. Rasolo, adjudant, matricule 20161 : Ramona, maréchal des logis-chef, matricule 838 : Ralaivao, brigadier, matricule 357: André (Gaëtan), 1er classe, matricule 549: Rafolofoson, V [?] classe, matricule 2786: Renay (Henri), 2e classe, matricule 1269.

Dépôt des isolés. Mary (Jean), sergent-major, matricule 5500.

Service de santé. Ferrus (Maurice), lieutenant d'administration.

Compagnie des transmissions. Dieng-Demba, caporal-chef, matricule 1735.

Aviation. Loisel (Jean), lieutenant.

Marine. Herbout (Cyril), enseigne de vaisseau de 1er classe: Grall (François), quartier-maître de 2e classe.

L'examen des demandes étant terminé, la séance est levée à 12 heures.

Le capitaine, ancien officier F. F. L., GLENAT. Le lieutenant, ancien officier F. F. L., FERRUS. L'enseigne de vaisseau de 1re classe, ancien officier F. F. L.. Herbout,

www.journalofficiel.dj 

frison-roche le samedi 15 février 2025 - Demander un contact

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Réponse :

Plus probablement Giraudel que Giramiel


Mémorial de la France Libre 1971

Adhérent 10120
Courbevoie

Laurent Laloup le lundi 28 décembre 2020 - Demander un contact

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Plaque à Beynac (24)

www.sudouest.fr 

ROUMEGUERE le jeudi 11 février 2016 - Demander un contact

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Photo fonds Yves Gras Y Gras, Max Albospeyre et Y Tommasi



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ROUMEGUERE le mardi 05 janvier 2016 - Demander un contact

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FAITS D'ARMES DE NOS CAMARADES

Extrait du Memorial des combattants d'Afrique Noire et de Madagascar , "HEROS MECONNUS 1914-1918 1939-1945"

"La 3e Compagnie du B.M.21 à la prise d'Hyères (20 août 1944)

Le 17 août, de très bon matin, la 3e Compagnie (Capi­taine Fournier) débarqua sur la plage de Cavalaire et gagna rapidement le village de la Croix-Valmer à 6 km au nord-est.
Le 19, l'unité fut dirigée vers le front où elle prit contact avec l'ennemi, au village de la Londe-les-Maures à 8 km d'Hyères. Là, elle reçut l'ordre de s'emparer de cette ville avec les autres bataillons du R.C.T.3. Le 20, au matin, la 3e Compagnie partit en tête des formations de combat, la 2e Section (Aspirant Albospeyre) précé­dant la colonne. Mais il fallut passer la rivière Gapeau, sous le tir des terribles canons de 88 qui causèrent des pertes parmi les Tirailleurs et les Cadres.
Le Sergent-Chef Tristschler , vétéran de la colonne Leclerc, tomba à la tête de son groupe. Stoppée dans son avance, la troupe se retrancha alors dans les fossés, attendant l'ordre de poursuivre. Le soir, elle dut subir un nouveau bombardement d'une grande violence par des pièces d'artillerie lourde de 105 et de 150 et cela créa un certain flottement parmi les Hommes dont certains voyaient le feu pour la première fois.
L'Adjudant Dountéga et le Sergent Dominati , grièvement blessés, durent être évacués vers l'arrière.
Regroupés par les gradés africains et européens, les Tirailleurs reprirent leur marche en avant, le Sergent-Chef Paridia Byen et le Caporal N'Gafkréo ouvrant le passage. La progression devait se faire lentement pour reconnaître chaque maison, chaque fourré où pouvaient se cacher des adversaires résolus. Après plusieurs accrochages meurtriers, la formation du Capitaine Fournier partit à l'assaut afin de s'emparer des faubourgs d'Hyères et des bâtiments aux alentours de l'École d'Horticulture.
Au cours de cette action, le Sous-Lieutenant Campain et le Sergent-Chef Kournou se distinguèrent particulièrement.
Vers 1 heure du matin, les Allemands contre-attaquèrent en utilisant des lance-mines pour couvrir leur progression. Dès la chute des premiers obus, le Caporal Siadingar et le Tirailleur Ramdé furent tués et d'autres Hommes blessés.
Mais nos braves Camarades repoussèrent les assaillants et passant à la contre-offensive occupèrent sur leur lancée, la gare et toutes les maisons avoisinantes.
Poursuivant leur avance, les sections de la 3e Compagnie arrivèrent sur la place du 11 novembre, au centre de la ville, follement acclamées par la population sortie des caves où elle s'était terrée pendant la bataille. Le B.M.21 continua son action de réduction des nids de résistance, faisant de nombreux prisonniers et s'emparant d'un abondant matériel militaire.
Dans la soirée, les quatre compagnies réunies quittaient la ville d'Hyères qu'elles venaient de libérer, pour avancer vers les forts de Toulon.
A la suite de ce brillant fait d'armes de nombreuses citations furent accordées (Croix de Guerre 1939-1945) et plusieurs braves reçurent la Médaille militaire.
Au cours de leur baptême du feu, les jeunes Tirailleurs s'étaient montrés dignes de leurs Anciens des campagnes de Tunisie et d'Italie."

laurent le mardi 08 décembre 2015 - Demander un contact

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LA BATAILLE ET LA LIBERATION DE TOULON Par PAUL GAUJAC  :

Laurent Laloup le dimanche 12 avril 2009 - Demander un contact

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www.lexpress.fr 

"BEYNAC (Dordogne)
Par Haget Henri, mis à jour le 24/06/1993 - publié le 24/06/1993

Au beau milieu de l'après-midi, sous un soleil à assommer un Touareg, M. le Maire se lamente: «Comment voulez-vous apprécier Beynac avec cette chaleur! Il faut pouvoir marcher au hasard des ruelles. Ecouter les pierres raconter le passé. Ce soir, peut-être...» Quelques heures plus tard, un déluge de fin du monde met au supplice son flegme et ses essuie-glaces. D'un revers de manche, il efface la buée de son pare-brise: «Bon! c'est foutu! On n'y voit rien, mais je vous laisse imaginer...» L'histoire s'y prête.
Les origines de Beynac se confondent avec celles de l'homme. Trois mille ans avant Jésus-Christ, les premiers paysans élirent domicile sur les flancs de cet éperon rocheux surplombant la Dordogne. Le genre de pedigree qui vous pose un village: Beynac, 500 habitants, 500 000 visiteurs par an. A nos ancêtres ont succédé des colonies de touristes anglais qui s'initient aux voluptés de l'omelette aux truffes avec la mine extatique de l'homme découvrant le feu.
Au coeur du Périgord noir, de ses mille et un châteaux, de ses hauts lieux gourmands et de ses temples archéologiques, la concurrence est rude. Max Albospeyre le sait bien, lui, le maire, qui n'a de cesse de repatiner son village, de repaver ses ruelles à l'ancienne ou de les éclairer par d'antiques réverbères. De-ci, de-là, Beynac s'autorise tout de même quelques concessions à la modernité: Pierre Paulin, le designer attitré de Georges Pompidou, a redessiné le monument aux morts; et de récents travaux d'assainissement ont coûté son surnom de «rio Merda» au ruisseau qui dévalait le bourg pour se jeter dans la Dordogne. Ce qui s'appelle épouser son siècle.
Guide inspiré d'une cité qui s'enorgueillit de quelques administrés de renom, Philippe Francès, PDG de Darty, Flora Lewis, chroniqueuse au «New York Times», Guy Lagorce, romancier, Marielle Goitschel ou encore Véronique Seydoux, héritière d'une des plus belles fortunes de France, Max Albospeyre retrouve ses accents d'ex-général de la Coloniale pour évoquer la forteresse médiévale qui coiffe la falaise de Beynac: «J'ai mis fin à la guerre du château et de la mairie», affirme-t-il, soudain grave. Au début des années 60, de château, il ne subsistait en fait qu'un tas de ruines. Seul candidat, Lucien Grosso s'en porta acquéreur, aux enchères: 17 millions de centimes. Et tout le village de prendre pour un fada cet aventurier ayant amassé un joli magot dans l'univers des boîtes de nuit, entre Marseille et Abidjan.
Sauf que, trente ans plus tard, la forteresse de Beynac est redevenue le fleuron féodal de la région. Sans jamais solliciter la moindre subvention, conduisant les travaux à sa guise, s'empoignant avec les architectes des Monuments historiques, son propriétaire l'a totalement restaurée dans le plus pur style xive siècle, supprimant les ajouts de l'époque Renaissance et prenant bien soin de le rendre inhabitable par ses éventuels successeurs. Car, à 83 ans, en dépit de sa silhouette de jeune homme et de ses rêves d'enfant, Lucien Grosso passerait bien la main. Et le château, malgré son inconfort, aiguise les appétits des grosses fortunes du coin, mais aussi de la mairie de Beynac, qui n'a jamais cessé de lorgner ce gisement touristique, tout en ménageant la susceptibilité de son imprévisible propriétaire. «Certes, on peut regretter que M. Grosso interrompe les visites à l'heure du déjeuner, souligne aimablement Max Albospeyre, mais ça pourrait être bien pire: s'il décidait, par exemple, de n'ouvrir ses portes qu'entre le 1er et le 15 décembre...» A l'abri de ses remparts, notre homme, lui, a fixé son prix: 50 millions de francs. De quoi faire tressaillir le maire de Beynac. Bonne nouvelle, en revanche: la Rolls que Lucien Grosso a rachetée à Bokassa et qui dort à l'ombre du donjon n'est pas à vendre."

Laurent Laloup le dimanche 26 octobre 2008 - Demander un contact

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www.environnement.dj 

Le Francolin de Djibouti

INTRODUCTION

The Djibouti francolin is a forest dwelling gamebird,approximately partridge-sized,endemic to Djibouti and restricted to well-vegetated areas of the Goda and Mabla massifs.It is one of the least known species of African birds. The first specimen was collected on 22 February 1952 by Captain Albospeyre,the military commander of the Cercle de Tadjoura,who passed it to Colonel Chédeville who forwarded it to the Paris Natural History Museum where it was identified as a species new to science,closely related to Francolinus erckelii and formally described by Dorst and Jouanin (1952).In June and September 1953,Chédeville collected a further four specimens,again forwarding them to Paris together with habitat information on the Forêt du Day,and Dorst and Jouanin published a second paper on the species in 1954.Two more specimens were collected in 1970 by Hubert Gillet,these again being forwarded to Paris.Since 1970,the only research on the species has been carried out by Jacques Blot,as part of a wider study of the Forêt de Day (Blot 1985)and brief visits to the area by ourselves in 1984,1985,1987 and 1990.

Laurent Laloup le dimanche 26 octobre 2008 - Demander un contact

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"Dès que le jour se lève, la 11ème compagnie du 3eme B.L.E. se met en ordre de marche en direction de Colla-Bassa - qui de ses 1422 mètres, domine le vallon de Caïros et la vallée de la Roya... Vers 10 heures, des unités avancées de la 3eme compagnie du B.M. 21 commandée par le lieutenant Albospeyre investissent par surprise le hameau de Maurion - planté au milieu du vallon de Caïros - et capturent 17 soldats allemands... Vers 11 heures, les Légionnaires atteignent Colla Bassa... Mais une violente contre-offensive allemande les refoule immédiatement... Craignant que la percée française ne coupe les avant-postes de leurs bases arrières, le commandement allemand a ordonné de tenir absolument le vallon de Caïros et le ravin qui entaille le plateau de la Ceva - et qui débouche sur la vallée de la Roya, un peu au nord de Fontan... Les canons allemands arrosent copieusement le secteur de Maurion à partir de 15 heures - causant de lourdes pertes dans le camp français... Une heure plus tard, les Légionnaires du 31 bataillon repartent à l'assaut de Colla Bassa, mais ils se heurtent une fois encore à une farouche résistance allemande et reculent... Le commandant Lalande appelle alors à l'aide les blindés du 1er R.F.M....

En fin d'après-midi, la section Albospeyre développe son action offensive jusqu'aux granges de Cabanières, mais une sèche riposte allemande l'empêche d'aller plus loin... Elle s'accroche cependant à sa position et le 81 du sergent Bertoue réduit finalement au silence le mortier qui contrôle le pont du Diable... Pendant ce temps, la 2 compagnie du B.M. 21 conduite par le lieutenant Lafaurie réussit à contourner les positions allemandes par le Sud et à s'installer sur la cime de Pézurbe - qui ne s'élève qu'à 1000 mètres, mais qui surplombe Fontan et la vallée de la Roya... Cette situation gène considérablement les communications entre les diverses unités allemandes, et un coin est enfoncé dans le système défensif allemand...
"

www.livresdeguerre.net 

Laurent Laloup le dimanche 26 octobre 2008 - Demander un contact

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Général et ethnologue

ALBOSPEYREMax ), Les Danakil du Cercle de Tadjoura, Mémoire d’entrée au CHEAM n° 2154, 103 p., 1953.

ALBOSPEYRE ( Commandant Max ), Rapport sur le cercle de Tadjourah, Paris, mémoire C.H.E.A.M., 1957.

ALBOSPEYRE ( Commandant Max ), Les Danakil du Cercle de Tadjourah, Mer Rouge – Afrique orientale, Cahiers de l’Afrique et de l’Asie, V , pp. 103-161, , J. Peyronnet et Cie, 1959.

archives.arte.tv

Laurent Laloup le dimanche 26 octobre 2008 - Demander un contact

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Avis de décés :

FEVRIER 2008

Général de Brigade Max ALBOSPEYRE - 24220 Beynac

anocr24.unblog.fr 

Laurent Laloup le dimanche 26 octobre 2008 - Demander un contact

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Max Albospeyre

"Décret du 23 avril 2002 portant promotion

NOR : DEFM0201472D

Ministère de la défense

Par décret du Président de la République en date du 23 avril 2002, pris sur le rapport du Premier ministre et du ministre de la défense et visé pour son exécution par le grand chancelier de la Légion d'honneur, vu la déclaration du conseil de l'ordre en date des 7 et 14 mars 2002 portant que les présentes promotions sont faites en conformité des lois, décrets et règlements en vigueur, le conseil des ministres entendu, sont promus au titre de l'article 1er du décret no 2000-204 du 6 mars 2000 fixant les contingents de croix de Légion d'honneur pour la période du 1er janvier 2000 au 31 décembre 2002, pour prendre rang à compter de la date de leur réception, les militaires n'appartenant pas à l'armée active désignés ci-après :
...

Albospeyre (Max, Marcel), 15 mars 1922, général de brigade. Officier du 21 novembre 1970.
"

Laurent Laloup le dimanche 26 octobre 2008 - Demander un contact

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Dernière mise à jour le samedi 15 février 2025

 

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