|  | | | | Un Français Libre parmi 63409 | | | William Louis Bechtel | |
Naissance : 1er octobre 1894 - Epinal (88)
Activité antérieure : liberal / cadre
Point de départ vers la France Libre : Metropole
Engagement dans la France Libre : Londres en juillet 1940
Affectation principale : FAFL / parachutistes
Grade atteint pendant la guerre et spécialité : capitaine
Décès à 93 ans - 5 juillet 1988 - Paris 7e
Dossier administratif de résistant : GR 16 P 42483
Dans la liste d'Henri Ecochard V40 : ligne 4136 |
Contribuez à son livre ouvert !Ouvert à tous pour exprimer vos sentiments, évoquer vos souvenirs, préciser son parcours, sa vie, poser des questions, citer des livres, des articles, des sites, déposer des documents, photographies, ... | | |
William Bechtel et fascicule Bonjour Mr schumacher, je suis très intéressé par la vie de william Bechtel simplement dans une démarche personnel et intellectuel. Serait il possible d'avoir une copie de votre fascicule. Cordialement Pascal. mon adresse mail (pascalito85@gmail.com) Pascal le jeudi 12 avril 2012 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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william bechtel Mr Jean Jacques Schumacher, pouvez vous me contacter par mail (plegrand63@orange.fr)?
J'effectue des recherches sur un membre du SDECE qui aurait beaucoup côtoyé Bechtel dans les années 45/50, vous pourriez peut être m'aider? P.LEGRAND le mercredi 25 janvier 2012 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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Ami suisse de Bechtel ... J ai redige une centaine de pages consacrees a Bechtel. Cela restera un souvenir exceptionnel.... Impossible a publier en raison des menaces subies ... schunacher le jeudi 29 décembre 2011 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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Rédaction d'un fascicule J'ai rédigé un fascicule d'une centaine de pages consacré à l'histoire de William Bonnet (en fait Bechtel). Son arrivée en Grand-Bretagne, son parachutage dans l'Indre - si je me souviens bien - son déplacement à Rouen. Accident et fracture de la jambe.("Dites Docteur ce ne serait pas plus simple de me couper la jambe !") (J'ai la facture de l'hôpital). Les informations données par radio à l'escadrille Sussex. Ses informations données à Joseph Kessel "Il y a des sales gamins qui me jettent des pierres...". (allusion à la DCA allemande). Les informations données à la RAF pour détruire ce qui restait de l'armée von Kluge.
Je n'ai jamais pu le publier en raison de l'attitude des anciens membres des Sussex. Jean-Jacques Schumacher le mardi 09 novembre 2010 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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Bechtel:''que chaque matin, soit le début ...'' William Bechtel, aprés les combats en Syrie et en Libye dans les premières unités de la France Libre -où il mit au point une arme adaptée au conflit désertique, le camion canon (gun truck)-, aurait pu continuer l'épopée de la division des français libres en tant qu'officier commandant de compagnie, puis de bataillon et terminer officier supérieur. Eh bien non! Il se porte volontaire pour suivre le stage en Grande Bretagne,d'agent du BCRA/MI6 à l'âge de 50 ans!!! Il était au milieu d'une quarantaine de jeunes volontaires qui avaient une moyenne d'âge de 25/30 ans (dont mon père le Slt LART). Il fit l'admiration de ses collègues durant l'entraînement commando et para que les instructeurs britanniques s'ingéniaient à monter dans la ''rubrique rustique et tordue''. Bechtel aurait pu attendre le débarquement et l'avance alliée pour effectuer une mission. Eh bien non, il se porte volontaire pour être parachuté sur la France occupée dans le cadre du Plan Sussex. A l'issue,de la guerre, il aurait pu s'occuper de son avenir dans l'institution militaire ou dans d'autres domaines (politiques, affaires commerciales etc.). Eh bien non, il se porte volontaire pour suivre un phénomène, que seul ces périodes de guerre produisent, le Cdt CONUS qui monte un commando avec des personnels du plan Sussex. Ils partent pour l'Indochine pour chasser les Japonais à la dérive, les premiers vietminh communistes et montrer les dents aux chinois nationalistes. Et puis c'est l'épisode dans les annnées 60 d'une mission ''homo'' à Genève...William Bechtel a appliqué l'axiome d'un autre Français Libre, André Zirnheld "que chaque matin soit le début d'une bagarre''. B.L. LART le samedi 03 janvier 2009 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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PAS DE MOLLESSE DANS LE DESERT (VU D'EN BAS) une oeuvre de CANONNE ETIENNE " Puis ce fut Dakar avec de Gaulle où nous n'avons pas pu briller. A Douala, par contre, j'avais la tripe serrée quand sur le quai du port, au son de la Marseillaise, Leclerc salua de Gaulle, j'étais à côté de lui et me sentais tout fier.
Le tour d'Afrique ensuite en tournant en rond pendant près de trois mois... J'en ai profité pour apprendre encore ma médecine.
Puis la ville morte de Suakin et l'Erythrée. J'étais impressionné par le travail médical qu'on m'avait donné, car on m'avait versé à l'échelon hôpital du G.S.D.
Plus que peur des Italiens, j'ai eu des émotions rétrospectives avec les hyènes qui frôlaient nos lits de camp toute la nuit.
Et puis ce fut l'arrivée du BM 2. Premiers contacts du commandant de Roux deux fois plus petit que moi, mais quel ascendant...
Le père Michel qui m'emmène bien vite prier à Jérusalem et Bethléem. Lemoine, champion olympique de fleuret qui me donne mes premières leçons et tous nos tirailleurs dont si peu parlent français qu'il m'a fallu apprendre le Sango pour que la visite médicale ne devienne pas un dialogue de sourds... et, ma foi, si beaucoup y sont restés, ce n'est pas tous de ma faute.
Enfin ce fut les premiers sifflements des balles, les djebels, la chaleur, la soif, le froid nous tenaillaient l'un après l'autre. Après avoir été chercher les blessés dans le no man's land, certains se faisaient tuer ou risquaient la mort pour récupérer un bidon d'eau.
... Les premiers abricots dans les jardins de Damas et dans ces fameux jardins, alors que je m'occupais des blessés, le lieutenant Simon, sérieusement blessé à la face et au crâne me demande ce que je pensais de son état... je ne réponds pas... mais lui fait envoyer l'aumônier. Depuis trente ans, il me le reproche toujours. Sur les pas de Bechtel ce furent les découvertes des délices de Capoue... à Damas après l'amertume des cailloux du djebel Kalaat Hassan. Et le sursaut de Nebeck, puis l'arrivée à Alep où comme « gamin médecin » on avait multiplié mes fonctions, non seulement au BM 2, mais à l'hôpital où j'avais charge d'une compagnie syrienne.
Décidément le BM 2 avait voulu que j'apprenne tout, et la médecine et le reste.
Et puis ce furent les liaisons avec Deir es zor et Abou Kemal pour l'évacuation des blessés de la 5e, avec un vieux Potez sur lequel le rase-motte correspondait à du tape-cul véritable.
Ensuite le contact avec le désert de Libye. Chaque véhicule porte le nom d'une âme chère laissée en Syrie." Laurent Laloup le dimanche 21 décembre 2008 - Demander un contact La page d'origine de cette contribution Recherche sur cette contribution | |
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William Bechtel Les empoisonneurs
ARNAUD DE LA GRANGE
14/10/2007 | Mise à jour : 17:03 | .
William Bechtel, connu dans les services secrets français comme le « Grand Bill », a été envoyé au secours du gouvernement du Cameroun, en proie à une rébellion au début des années 1960.
Ses vertus rafraîchissantes et, dit-on, son efficacité dans la prévention de la dysenterie, ont longtemps fait du pastis la boisson coloniale par excellence. Il fut sans doute aussi, pour certains fonctionnaires terrassés par l'ennui, à l'origine de fâcheuses cirrhoses. Mais le verre mortel qui foudroya le chef de l'opposition camerounaise à Genève, par une sombre soirée de l'automne 1960, contenait bien sûr tout autre chose que ce trouble mais sain breuvage. Un agent secret français y avait discrètement versé du thallium, signant par ce geste l'une des pages sombres de l'espionnage français.
À l'époque, services français et maquisards de l'UPC (Union des populations du Cameroun) se livrent une guerre farouche dans les grandes forêts d'Afrique centrale. La grille de lecture locale est calquée sur le contexte mondial de guerre froide : il faut combattre le « péril rouge » jusque sur les rivages du golfe de Guinée. Ou sur les berges du lac Léman. La Suisse est le cadre rassurant de fréquents chassés-croisés entre opposants, hommes d'affaires ou caciques de l'Afrique nouvellement indépendante. Et c'est là qu'il va être décidé d'éliminer Félix-Roland Moumié, qui a pris la tête de l'UPC en septembre 1958, après que son chef, Um Nyobé, eut été abattu par des tirailleurs tchadiens commandés par des officiers français.
À l'orée des années 1960, le Cameroun est le théâtre d'une guerre méconnue et sanglante qui oppose rebelles et troupes françaises, puis camerounaises soutenues par la France après l'indépendance de janvier 1960. Au sud, le pays bamiléké est entré en dissidence. Devant la montée en puissance de la guérilla de l'UPC, le président Ahmadou Ahidjo - un nordiste musulman soutenu par Paris - appelle à l'aide au nom d'un accord militaire signé avec la France. Plusieurs bataillons français, commandés par « le Viking » - surnom donné au général Briand dans les armées - vont être engagés contre la rébellion. Opérations de ratissage, villages brûlés, victimes par milliers, la répression ne brille pas par sa finesse. Un certain nombre d'officiers français estimeront plus tard que ce bain de sang aurait pu être évité.
À l'Élysée comme à Matignon, dont Michel Debré est alors le locataire, on s'inquiète fortement de ces soubresauts africains. Les confidences du général Paul Grossin, chef des services de renseignements, relatées dans un passionnant et récent ouvrage sur les obscures coulisses de la Ve République (1), sont éclairantes sur le climat de l'époque. Il raconte : « Un jour Debré me dit : il y a une révolte au sud du Cameroun, il faut faire quelque chose. Avez-vous des renseignements ? Je réponds : chez eux, à cause du système tribal, on zigouille le chef et c'est fini. Le chef, c'est Moumié, et il est en Suisse. On pourrait s'en débarrasser... »
Une substance présente dans la mort-aux-rats
L'opération, une « homo » pour homicide, n'a pu être décidée qu'au sommet de l'État, à l'Élysée. Et l'Afrique, à l'Élysée, c'est le célèbre Jacques Foccart dont les réseaux ont marqué plusieurs décennies de relations entre la France et le continent noir. C'est lui qui a dû donner le feu vert au service Action du Sdece (Service de documentation extérieure et de contre-espionnage), l'ancêtre de l'actuelle DGSE.
L'homme choisi pour l'opération est une figure du monde clandestin, William Bechtel, dit le «Grand Bill ». Ce Franco-Suisse a déjà pas mal baroudé. Après avoir fait ses classes auprès des forces spéciales alliées durant la Seconde Guerre mondiale, il a servi en Indochine au sein du commando « Conus », qui dépendait de la DGER, l'ancêtre du Sdece. Chargé de la sécurité chez Simca, notamment pour contrer les gros bras de la CGT, il est réserviste du Sdece. Et il se rend régulièrement - comme Jacques Foccart - au centre des services français à Cercottes, près d'Orléans, pour y effectuer quelques sauts en parachute. À 60 ans passés, il reprend donc du service et reçoit pour mission d'approcher Félix Moumié. Se présentant comme journaliste installé à Genève pour l'agence Acmé, couverture somme toute assez classique, il le rencontre d'abord à Accra au Ghana, gagne sa confiance, et finit par lui proposer un dîner en Suisse. L'homme y séjourne, dit-on, afin de rencontrer des diplomates chinois et d'Allemagne de l'Est, dans le but de se procurer des armes pour sa guérilla.
Pour faire disparaître de la scène « subversive » africaine le leader camerounais, c'est le thallium qui a été choisi. Une terrible substance que l'on retrouve dans la mort-aux-rats, qui, lorsqu'elle pénètre dans l'organisme, fait tomber les cheveux et provoque une mort atroce et lente, en agissant sur les nerfs périphériques. Ce terrible poison avait les faveurs de Saddam Hussein, et la CIA aurait un temps envisagé de l'utiliser contre Fidel Castro. En en plaçant un dérivé dans les chaussures du Lider Maximo, pour au moins venir à bout de sa barbe légendaire, pileuse incarnation du mythe révolutionnaire. Le thallium a été préparé pour le Sdece par un professeur à la réputation internationale.
À Genève, le « Grand Bill » a calculé son coup. Il a invité Félix Moumié la veille de son départ vers l'Afrique, tablant sur une mortelle lenteur pour que l'opposant décède là-bas, loin de toute police scientifique ou laboratoire spécialisé. Les services français espèrent même que Sékou Touré sera accusé du meurtre. Seulement voilà, l'histoire ne va pas se dérouler comme prévu.
Rendez-vous a été pris au Plat d'argent, un restaurant de la vieille ville genevoise. Félix Moumié y arrive en compagnie d'un étudiant camerounais vivant en France. Peu de temps après s'être assis à table, Moumié est demandé au téléphone (le portable n'a pas encore tué ce piège classique). Il est étonné, puisque personne n'était censé savoir qu'il se trouvait dans ce restaurant, mais il se rend quand même jusqu'à la cabine. Bechtel a jeté son dévolu sur le pastis comme vecteur du poison. S'évertuant à détourner l'attention de l'étudiant resté à table en lui montrant des documents « confidentiels », il verse le thallium dans le verre. Revenu à table, Moumié parle beaucoup mais passe sur l'apéritif. L'agent secret décide alors de se rabattre sur le vin (ou le café, les sources divergent) en y versant une autre dose de thallium, exercice difficile à réaliser à la barbe des deux convives. Cette fois-ci, l'opposant boit le breuvage. « Mais soudain, ce fut la catastrophe, a raconté le général Grossin à Pascal Krop (2), alors que le repas se terminait sur un café, Moumié récupéra son Ricard et le but. C'était foutu. La dose minutieusement préparée à Mortier (la caserne Mortier, siège du Sdece puis de la DGSE à Paris, dans le XXe arrondissement, NDLR) était maintenant double, trop forte (...) Notre agent avait fait une erreur. Il aurait dû renverser le Ricard sur la table. » Les deux doses cumulées auront de fait un effet dévastateur. Dans la nuit, Félix Moumié se sent mal et demande à être emmené à l'hôpital. Il va y mourir dans de terribles souffrances, non sans avoir eu le temps de dénoncer son empoisonnement par les services français. Devant le vilain tour des choses, Bechtel quitte la Suisse en catastrophe et se réfugie en France. Il est mis « au vert » dans une villa de la Côte d'Azur. En perquisitionnant chez lui, la police genevoise trouve des photos de Félix Moumié, des documents expliquant comment tuer un homme sans laisser de traces et, surtout, des traces de thallium dans l'une de ses vestes.
À 82 ans, le « Grand Bill » est libéré sous caution
Un mandat d'arrêt international est lancé contre lui mais ce n'est que fin 1974 que le « Grand Bill » est arrêté à Bruxelles, puis extradé en Suisse. Son âge avancé, 82 ans, lui permet d'être libéré sous caution en 1976. Quatre ans plus tard, le procès, durant lequel les autorités françaises n'auront pas ménagé leurs pressions, se conclut par un non-lieu. William Bechtel mourra en toute quiétude au début des années 1990 à l'hôpital militaire du Val-de-Grâce. Son avocat avait réussi à semer le doute, en se fondant sur une expertise toxicologique doutant de la possibilité d'une mort si rapide après l'ingestion du poison. Mais une seule dose, alors, est prise en compte...
La rébellion est décapitée, mais la « guerre spéciale » menée par la France dans la verte Afrique équatoriale va continuer. Formées et guidées par des conseillers français, les troupes d'élite de l'armée camerounaise vont mettre à feu et à sang le pays bamiléké. Et tous les chefs de l'UPC seront successivement abattus.
Ce conflit, qui a fait des dizaines de milliers de morts, est resté largement méconnu en France. Sans doute parce que, à la même époque, le drame algérien focalisait toutes les passions. Au nom du nécessaire endiguement d'un communisme tropicalisé et du maintien de l'influence française en Afrique, nombre de responsables français justifieront cette sale guerre africaine. Au premier rang desquels Jacques Foccart, qui déclarera en 1995 à Pierre Péan à propos de l'assassinat de Félix Moumié : « Je ne crois pas que cela ait été une erreur. »
- (1)Histoire secrète de la Ve République, sous la direction de Roger Faligot et Jean Guisnel, La Découverte, 2006.
(2) Les Secrets de l'espionnage français,Pascal Krop, Éditions Jean-Claude Lattès, 1993.
www.lefigaro.fr  Laurent Laloup le samedi 08 novembre 2008 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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BCRA Au BCRA, agent du plan Sussex
Parachuté le 9 avril 44, dans l'Indre (Neuvy-Pailloux)
Lieu de mission : Rouen
Nom de Code de la mission : Berthier
Source :www.symboles-et-traditions.com 
"One of the `boys' who remembered these days was William Bechtel, ninety-three-years old when I visited him in Les Invalides. He told me of his adventures in Rouen where he and his radio operator Vallande transmitted information about General von Kluger's 7th Army for the RAF bombers until he could signal `Apart from me and my equipment there is not a military objective left in Rouen.'
"
Extrait de home.comcast.net  Laurent Laloup le vendredi 04 mai 2007 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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William Bechtel au BM2 extrait du" Mémorial d'un Bataillon de Marche de la France libre" de Henri Amiel
1943. Sur sa demande, le capitaine Bechtel est dirigé sur Londres. Engagé volontaire au BCRA, il suit, en Angletere, un stage d'instruction sur le parachutage, à la radio clandestine et le renseignement.
A l'age de 50 ans, le 10 avril 1944, il est parachuté dans une partie de la France occupée par l'ennemi et dirige une équipe de renseignements du réseau Sussex
Blessé grièvement pendant sa mission, réussit à faire parvenir au Commandement allié des renseignements très nombreux et très importants.
La mission qu'il dirige est qualifiée par le commandement anglais de "first class"
Proposé par le Service Spécial pour la Military Cross. Proposé pour la Légion d'Honneur (Chevalier), une citation à l'Ordre de l'armée et la Médaille de la Résisitance.
Plus tard, Bechtel a combattu en Indochine dans un commando parachutiste et rempli pendant plus de vingt ans encore de délicates missions. Il est chef de bataillon de réserve, Officier de la Légion d'Honneur.
Il restera à jamais pour le BM2 l'ami attentif plein de délicatesse, un grand exemple de modestie et de courage. 
Laurent Laloup le lundi 30 octobre 2006 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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