Jean Joseph Marie Guillermou - Les Français Libres

Les Français Libres, de juin 1940 à juillet 1943

 
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Jean Joseph Marie Guillermou



Naissance : 25 juin 1921 - Lannilis (29)

Activité antérieure : étudiant / scolaire

Point de départ vers la France Libre : Metropole

Engagement dans la France Libre : Londres en juillet 1940

Affectation principale : Terre DFL - Moyen Orient / artillerie

A participé à la bataille de Bir Hakeim

Grade atteint pendant la guerre et spécialité : sergent

Décès à 73 ans - 21 juin 1995 - Le Plessis-Robinson (92)

Dossier administratif de résistant : GR 16 P 278871

Dans la liste d'Henri Ecochard V40 : ligne 23388

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Jean Joseph Marie Guillermou - son Livre ouvert !
 

" Jean Guillermou (1921-1995)

Pays : France
Langue : français
Sexe : masculin
Naissance : Lannilis (Finistère), 1921
Mort : 21-06-1995
Note :
Docteur es lettres (Paris, 1973). - Professeur de lycée de 1949 à 1981

Aventures d'un soldat d'occasion de la France libre
de L'Aber-Wrach à Bir Hakeim
Description matérielle : 254 p.
Édition : Paris : l'Harmattan , 1993

L'Ironie dans le théâtre d'Euripide
Description matérielle : 24 cm, 321 p., multigr
Description : Note : Thèse. Lettres. Paris IV. 1973. _ Bibliogr. pp. 310-315
Édition : Lille : Service de reproduction des thèses de l'université , 1975"

Jacques Ghémard le samedi 01 juillet 2017 - Demander un contact

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Un repère

Dans une scolarité, on croise toujours quelques professeurs qui ont plus compté que d'autres, des professeurs qui, consciemment ou inconsciemment, vous ont fait grandir. Jean Guillermou est à l'évidence l'un de ceux-ci. J'ai croisé sa route en quatrième au lycée Lavoisier en 73/74 et en terminale en latin en 78.

J'ai souvenir d'un menhir qui dégageait une autorité naturelle, d'un professeur aimant ses élèves, compréhensif, humaniste.

Ses cours de latin trahissaient sa culture encyclopédique, quel régal!!

J'ai lu son livre et je me suis dit tu as croisé un honnête homme du 20eme siècle...

Merci Monsieur Guillermou

GEORGES le samedi 18 janvier 2014 - Demander un contact

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Un si merveilleux professeur

Pour moi, Jean Guillermou est mon plus beau souvenir de lycée. Il a été mon professeur de Français-Latin en classe de 4ème à Lavoisier pendant l'année 1966-1967. Son enthousiasme, son énergie, sa passion ont été pour moi le véritable révélateur de ce que devait être une vie d'homme. Tout, dans sa démarche comme dans son enseignement, révélait une personnalité aussi attachante que cultivée (il était aussi helléniste!)... Son sourire et son humour m'accompagneront jusqu'à la fin de mes jours.. J'aimais profondément cet homme...qui m'a d'ailleurs permis d'obtenir le prix d'excellence cette année-là....

Potel Gilles le dimanche 22 janvier 2012 - Demander un contact

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ancien élève de 4eme de M. Guillermou au Lycée Lavoisier

J'ai connu M. Guillermou alors que j'étais un de ses élèves de 4eme.
Il nous avait raconté maints souvenirs de guerre.
Entre autres qu'il avait vu de jeunes soldats poursuivre des gazelles sur une jeep armée d'une mitrailleuse, spectacle qui lui avait fait horreur.
Qu'il s'était sauvé d'un bombardement dans un tunnel en quittant celui-ci inopinément alors que tous ses camarades avaient péri.
Qu'un jour il s'était retrouvé face à face avec un soldat allemand en position de tir et qu'il avait dû l'abattre pour sauver sa vie mais que cet acte revenait parfois sous forme de cauchemar.

Autre chose: il affirmait que le menton en galoche est perçu comme un signe d'avarice mais que le sien, malheureusement ne correspondait pas à ce trait et qu'il ne comptait plus les gens qui lui devaient de l'argent.

Qu'il avait beaucoup voyagé et avait connu les moeurs les plus bizarres. Il nous avait raconté comment, en Australie, il s'était retrouvé coincé sur son siège de cinéma entre les 2 pieds (pointure 48) du spectateur désinvolte placé derrière lui...

Et encore bien d'autres souvenirs qu'il serait trop long de raconter.

ROUCHE Elie-Paul le samedi 21 janvier 2012 - Demander un contact

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www.animation-lannilis.org 

" Pierre Richard est né le 14 février 1921 à Lambézelec. Ses parents cultivateurs déménagèrent à Lannilis dès l’année suivante.

Pierre Richard a suivi sa scolarité à l’école « des Frères » de Lannilis avant de les continuer au lycée Saint-François à Lesneven jusqu’à son bac. Pierre Richard était un sportif et un excellent footballeur et il avait eu, à maintes reprises, l’occasion de montrer l’étendue de son talent sur les terrains de football. Il continua d’ailleurs, pendant la guerre à pratiquer son sport favori dans les différentes équipes militaires qu’il côtoya.

En juin 1940, à quelques jours de passer son bac de philo, il entend, par hasard, avec quelques amis l’appel du 18 juin du Général de Gaulle. Dès le lendemain, jour de marché à Lannilis, il rencontre quelques camarades et ils prennent vite la décision de répondre positivement à cet appel. Ils sont dix-huit jeunes lannilisiens : Pierre Richard, mais aussi Jean et Louis Tromelin, deux frères jumeaux ; les frères Briant, François et Jean, Pierre Troadec, Jean Appriou, André Coz, Yves Tavernier, Jean Guillermou, Alfred Bodénès, Jean Le Hir, Jean Bouger, Antoine Galliou, Fanch Kermoal, Raymond Tuyaire, Guido Zanetti, Yves Lazennec.

Ils embarquent sur un chalutier dieppois qui mouillait dans le port de l’Aber-Wrac’h : le ‘Lucien Gougy ». Ils débarquent à Plymouth à Plymouth, le 21 juin. Nos lannilisiens étaient en Angleterre avant même les Sénans.

Après quelques jours dans un centre d’accueil, ils sont dispersés suivant leurs capacités et leurs compétences vers diverses affectations. ..."

Laurent Laloup le samedi 08 septembre 2007 - Demander un contact

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"Avec humour et tendresse, l'auteur évoque le souvenir de ces jeunes hommes qui détestaient la guerre mais qui se sont sentis obligés de renoncer pour quelques années à leur liberté afin d'essayer de contribuer au rétablissement de celle des Français et de leurs voisins d'Europe. Il raconte leur juvénile exaltation, leur nostalgie des joies de la vie civile et leur espoir de les retrouver au plus tôt, leur courageuse acceptation des servitudes militaires (inévitables ou non), leurs inquiétudes devant le nationalisme étriqué de beaucoup de Français et devant les ambitions égoïstes qu'ils sentaient toujours renaître ici et là. Ces jeunes, que, pendant cinq ans - de l'Aber-Wrach à Colmar, via Bir-Hakeim - l'auteur a eu la chance de pouvoir fréquenter et observer, laissaient à d'autres le souci de la gloire et ne s'inquiétaient que d'être vraiment des hommes libres, en somme ce qu'on appelait alors des "Free French".

Jean Guillermou est né en 1921 à Lannilis (Finistère). En 1940, il suspend ses études de Lettres et passe cinq ans dans les Forces Françaises Libres.

Professeur de lycée de 1949 à 1981, surtout à Paris (vingt ans à Lavoisier), il a traduit et adapté dix-sept tragédies d'Euripide et a écrit un roman mythologique pour jeunes, Les Enfants d'Héraclès."

Source : 

Laurent Laloup le lundi 26 mars 2007 - Demander un contact

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Extrait de : "Les Compagnons du 1er jour" de Léon Rouillon

"J'aimais bien ce garçon qui remplissait avec conscience des fonctions de topographe et de secretaire.
C'était un étudiant breton, grand, fort, un peu lourdaud, dont le visage mat s'illuminait par des yeux malicieux, pétillants d'intelligence, abrités sous des lunettes aux verres épais..."

Laurent laloup le jeudi 08 mars 2007 - Demander un contact

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Dernière mise à jour le samedi 01 juillet 2017

 

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