|  | | | | Un Français Libre parmi 63400 | | | Pejsach Paul Gabinski | |
Naissance : 15 octobre 1911 - Varsovie, Pologne
Point de départ vers la France Libre : Metropole
Engagement dans la France Libre : en mars 1943
Affectation principale : Résistance intérieure / Tartane
Grade atteint pendant la guerre et spécialité : P2
Décès à 81 ans - 21 juillet 1993 - Bordeaux (33)
Dossier administratif de résistant : GR 16 P 237515
Dans la liste d'Henri Ecochard V40 : ligne 20000 |
Contribuez à son livre ouvert !Ouvert à tous pour exprimer vos sentiments, évoquer vos souvenirs, préciser son parcours, sa vie, poser des questions, citer des livres, des articles, des sites, déposer des documents, photographies, ... | | |
Pejsach Paul Gabinski - son Livre ouvert ! Histoire du M.R.P.G.D. ou d'un vrai mouvement de Résistance, 1941-1945 De Michel Cailliau (Charette)
GR 16 P 384973| MAILLOL ( François )| 1898-02-18| Cerbère| Pyrénées-Orientales| FRANCE| FFc FFi DIR
GR 16 P 137610| COLLIERE ( Marcel Robert )| 1923-06-10| Sète| Hérault| FRANCE| FFi
GR 16 P 409206| MEJEAN ( René Antoine )| 1913-11-09| Aigues-Mortes| Gard| FRANCE| FFi ? 
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Laurent Laloup le jeudi 17 septembre 2020 - Demander un contact La page d'origine de cette contribution Recherche sur cette contribution Réponse : GR 16 P 421731 | MITTERRAND ( François ) | 1916-10-26 | Jarnac | Charente | FRANCE | FFi
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"... Aprés son évasion Pierre Monteil, caché à Espalion, prend des contacts avec la Résistance locale et notamment avec Emile Fanguin, un des leaders de l'armée secrète dans le nord Aveyron. Après le débarquement de Normandie, avec son adjoint Battédou et quelques prisonniers de guerre évadés, Monteil, dit JeanPierre, jeune chef du mouvement national des prisonniers de guerre et déportés (MNPGD), se joint au maquis Stalingrad qui circule sur le Lévezou. Durant quelques jours, Jean-Pierre participe à la libération provisoire de la région de Villefranche-de-Panat. La zone libérée rassemble plus de trois cents hommes sous le commandement d'Emile Arino, alias Daniel, et de Marcel Hérail, dont des mineurs de Carmaux et des gendarmes résistants qui rejoignent plus tard l'ORA
Le 22-juin, Marcel Collière, Etienne Mailhol, Jean Aubenque, Georges Claustre et Louis Daise arrivent de Sète, envoyés par Planes et Gabinski, correspondants du MNPGD dans l'Hérault. Ce sont les rescapés du Clan marin EDF des frères de la Côte. Le groupe s'installe au lieu dit «Le Moulinou», sur la rive gauche du Lot, aux limites des communes d'Estaing et de Golinhac..."
Les combats exemplaires du-maquis JeanPierre  Laurent Laloup le lundi 15 juillet 2019 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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La libération du territoire et le retour à la République 
"Colette Beauclair Ronzier-Joly
« A partir de début juin et jusqu’à la mi-août 1944, l’activité du Capitaine Léon est intense ; il sort, jour et nuit, avec quelques-uns de ses hommes qu’il choisit à tour de rôle. Le 19 août 1944, dans l’après-midi, alors que la chaleur est accablante, Maurice Planès arrive avec son état-major du M.N.P.G.D. (Georges Kouznetzoff, qui ne m’inspire pas confiance ; Paul Gabinsky, issu du M.R.P.G.D. du gaulliste Michel Cailliau, François Malric ; Charles Camproux) ; il demande au Capitaine Léon de venir immédiatement à Montpellier progressivement évacué par les Allemands et de prendre possession des lieux stratégiques. Léon fait monter quelques-uns de ses hommes dans un camion. Je lui demande avec insistance à partir avec lui et il refuse : « Non, petite, c’est trop dangereux pour toi. Tu restes. On viendra te chercher demain matin. » Je suis furieuse de voir s’éloigner sans moi le maquis Léon en cet instant que j’ai tant attendu…Les hommes de Léon arrivent donc à Montpellier le soir et s’installent, pour la nuit, à Touchy, dans la vaste propriété de Maurice Planès. Au petit matin, tandis que, sous le commandement de Léon, les garçons partent, par petits groupes, occuper quelques lieux importants de Montpellier (la préfecture, l’intendance de police, la caserne de Lauwe, siège de la Milice), Michavilla, un républicain espagnol, vient me chercher à Valombreuse en voiture et me conduit à Montpellier, à la Caserne de Lauwe. Au rez-de-chaussée, dans une immense salle, règne une ambiance indescriptible. Les hommes crient et partent dans toutes les directions. J’ai à peine le temps de voir deux cellules encore ensanglantées où des camarades résistants ont été affreusement torturés par la Milice. Maurice Planès arrive, passe un savon à Michavilla et m’expulse en s’écriant : « Ce n’est pas la place d’une femme en ce moment » ! Laurent Laloup le lundi 15 juillet 2019 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
Dernière mise à jour le jeudi 17 septembre 2020 Vous pouvez à tout moment obtenir la rectification des données, vous concernant, inscrites dans cette base qui est déclarée sous le n° 1137942 auprès de la Commission Nationale Informatique et Liberté  |
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