Georges Philippe Friedmann - Les Français Libres

Les Français Libres, de juin 1940 à juillet 1943

 
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Georges Philippe Friedmann



Naissance : 13 mai 1902 - Paris 16e

Point de départ vers la France Libre : Metropole

Engagement dans la France Libre : en janvier 1941

Affectation principale : Résistance intérieure / Musée de l'Homme

Grade atteint pendant la guerre et spécialité : P1

Décès à 75 ans - 15 novembre 1977 - Paris 16e

Dossier administratif de résistant : GR 16 P 235478

Dans la liste d'Henri Ecochard V40 : ligne 19839

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The Haennig-Nordmann Papers: Two Lawyers in Occupied France

Roger Marcel Fortier, born in 1922, mechanic, domiciled in La Courneuve, member of aero-club at Aubervilliers, arrested 30 December 1940. (Cited in German documents n° 12-14, 18, 1941). He was deported from Paris on 9 October 1942 to KL Sachsenhausen, where he was released on 22 April 1945.

Georges Friedmann (1902-1977), Marxist and sociologist, removed from his teaching post in Toulouse by Vichy, introduced in Paris by Humbert to Vildé, responsible for the Resistance journal in the Free Zone, and after the group is arrested, he went into hiding. Cited in German document n° 12 and in Humbert's memoirs, op. cit. After the promulgation of the Jewish Statute in October 1940, Humbert protected his apartment and his library. This protection and her correspondence with Friedmann are cited by Blanc, op. cit.

Albert Gaveau, born in Angers in 1901. He was a former aviation instructor, alias "Ameline", infiltrated into the Resistance group by SS Captain Doehring who paid him 2.000 Francs per month. Gaveau's German born mother was related to Doehring's secretary. Miss Hubner. Cited in German documents n° 12-14, 1941 and in Nordmann s letter, n° 34, 1942. Arrested in November 1945, he was tried for betraying the Resistance group, defended by Jean-Louis TixierVignancourt who managed to avoid the death penalty for him. Gaveau was sentenced on 5 November 1949 to hard labor for life and incarcerated in the prison of Clairvaux. On 23 November 1953 his sentence was reduced to 20 years hard labor. He was freed in 1965. (French National Archives AN.Z6/810.5677).

Colonel Paul Hauet (1866-1945) was deported from Compiegne on 28 July 1944 to Kl Neuengamme, n° 402224, where he died on 31 January 1945.

Daniel Hericault (1910-?), former pilot. He introduced Gaveau to Vildé, and brought stencils for the tracts to Aubervilliers. He was arrested by the Germans on 17 January 1941 and accused of antiGerman propaganda. He was acquitted in 1942. (Transcribed as Hericauld in German documents n° 12, n° 13,1941).

Agnès Humbert (1894-1963), art historian and ethnographer, imprisoned at the Prison du Cherche-Midi, found guilty of diverse crimes against Germany, sentenced to 5 years forced labor in 1942. Her defense lawyer was a woman lawyer Maitre Christo, chosen by her mother. Cited in German documents n° 12-17, 1941. She was deported on 16 February 1942 to the prisons of Karlsruhe, Anrath, Krefeld and Giitersloh, and the camps of Schwelm and Wanfried where she was liberated on 3 April 1945.

Jacques Ghémard le lundi 05 février 2024 - Demander un contact

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« Terribles et grandioses » : les années toulousaines de Georges Friedmann (1940-1945)
Jean-Pierre Amalric

"...« Démobilisé à Marmande en juillet 1940.
Nommé à un poste d’enseignement à Toulouse, poste que je rejoins mais suis empêché d’occuper par Vichy (instructions dites « Statut des Juifs »).
Dès octobre, je prends contact avec des camarades auxquels je suis recommandé par mes amis de Paris (réseau du musée de l’homme) : en particulier Achille Auban, Paul Descours, Julien Forgue (représentant régional de la CGT), etc., et, bien sûr, l’entourage de Camille Soula, homme exquis, polyvalent mais trop disert et imprudent.
Janvier 1941 : je suis « officiellement » inscrit comme “agent P 1” dans le réseau secret des Forces françaises libres de la métropole (groupe du musée de l’Homme, dirigé par Boris Vildé, qui vient me voir à Toulouse, et Anatole Levitski, tous deux plus tard, mars 1941, fusillés au Mont-Valérien).
Je fais quelques “obscures missions”, par exemple, ramasser dans la campagne et charrier sur mon dos des ballots parachutés de revues de la France libre imprimées à Londres.
Rédaction et diffusion de tracts et journaux clandestins.
Collaboration avec Combat (je suis contacté par Renouvin, plus tard fusillé). Divers voyages de liaison vers la zone occupée, Paris et aussi Collonges au Mont d’Or près de Lyon, où était repliée la famille Martin-Chauffier. Leur maison est un centre, à peine clandestin, follement imprudent, où je rencontre entre autres Jean Moulin et d’Astier de la Vigerie, de retour de Washington. Plus tard, Louis et son fils sont arrêtés et déportés (Neuengamme). Échappant de justesse à la Gestapo venue me chercher à Toulouse 23 rue Georges-Picot (au moment où je me trouvais au 22), je suis prévenu par un étudiant et m’échappe en bicyclette devant les occupants de la traction avant, prêts à m’arrêter. Réfugié quelques semaines chez des instituteurs courageux dans un hameau de Dordogne.
A mon retour je retrouve Jean Cassou, sorti de la prison de Purpan [sic5] et chargé par Londres de former et diriger l’équipe du commissariat de la République de Toulouse. J’y suis intégré et souvent abrité dans la famille de Jean Doumeng, près de Saint-Élix le Château. Cassou est très grièvement blessé dans des conditions bien connues. Son remplaçant, Pierre Bertaux, me demande de faire partie de son équipe. C’est ainsi qu’au moment de la libération de Toulouse (août 1944) je lui fus adjoint comme chargé des questions de ravitaillement, particulièrement de viande, où ma compétence était mince6. Je fais de mon mieux et parcours les 6 ou 7 départements inclus dans le commissariat.
En avril 1945, je suis appelé à Paris par René Capitant, ministre de l’Éducation nationale, nommé par lui inspecteur général de l’enseignement technique et chargé d’un difficile boulot : « dépétainiser » les Centres d’apprentissage corrompus à travers la France par “Maréchal nous voilà”.
J’ai souvent écrit dans Libération, Combat, etc., mais devrais faire des recherches pour connaître les titres et dates.
J’indique à tout hasard que j’ai reçu la médaille de la résistance (avec rosette) en 19467. »..."

GR 16 P 20504 | AUBAN (Achille Joseph) | 1912-04-14 | | | | FFc FFi
GR 16 P 228656 | FORGUES (Julien) | 1888-11-25 | Vernet | Haute-Garonne | FRANCE | FFc
GR 16 P 554029 | SOULA (Louis Camille) | 1888-05-06 | | | | FFc ?
GR 16 P 399094 | MARTIN CHAUFFIER (Jean) | 1922-09-19 | Paris 16 | Seine | FRANCE | DIR
GR 16 P 399095 | MARTIN CHAUFFIER (Louis) | 1894-08-24 | Vannes | Morbihan | FRANCE | DIR

Laurent Laloup le mercredi 03 août 2022 - Demander un contact

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Georges Friedmann
Né le 13 mai 1902 - Paris
Décédé le 15 novembre 1977 - Paris, à l'âge de 75 ans
Sociologue
Notes individuelles
Professeur d'histoire du travail au conservatoire des arts et métiers 1946-62, directeur d'études à l'école pratique des hautes études, professeur à l'insitut d'études politiques de l'université de Paris 1949-62. "La Crise du progrès" 1936, "Problèmes humains du machinisme industriel" 1947, "Où va le travail humain?" 1950, "Le Travail en miettes" 1956, "Problèmes de l'Amérique latine", "Traité de sociologie du travail" avec Naville 1962, "Fin du peuple juif?" 1966, etc."

Photo wikipedia

Laurent Laloup le mercredi 03 août 2022 - Demander un contact

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Dernière mise à jour le lundi 05 février 2024

 

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