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| Augustin Philippe Emmanuel Malroux | |
Naissance : 5 avril 1900 - Blaye-les-Mines (81)
Activité antérieure : liberal / cadre
Point de départ vers la France Libre : Metropole
Engagement dans la France Libre : en mars 1942
Affectation principale : Résistance intérieure / CND Castille
Grade atteint pendant la guerre et spécialité : P2
Décès à 45 ans - 10 avril 1945 - Bergen Belsen, Allemagne
Mort pour la France
Dossier administratif de résistant : GR 16 P 387724
Dans la liste d'Henri Ecochard V40 : ligne 33650 |
Contribuez à son livre ouvert !Ouvert à tous pour exprimer vos sentiments, évoquer vos souvenirs, préciser son parcours, sa vie, poser des questions, citer des livres, des articles, des sites, déposer des documents, photographies, ... | | |
Augustin Philippe Emmanuel Malroux - son Livre ouvert ! « …. En 1935, Alfred Bernard appela à voter socialiste aux élections municipales de Tours dès le premier tour, car il estimait que la liste PC n’avait qu’une fonction de division. Il entra au Parti socialiste SFIO à la fin de 1935, devint aussitôt secrétaire de la section de Tours (voir Daniel Nicaud*) et délégué à la propagande pour les élections législatives. Jean Meunier* ayant été élu député en mai 1936, Alfred Bernard le remplaça comme secrétaire fédéral. Il fit preuve à ce poste de la même activité qu’il avait déployée en tant que dirigeant du PCF et donna un remarquable essor à la propagande et au recrutement de la Fédération socialiste. Il fut membre titulaire du conseil national du Parti socialiste de 1937 à 1939 et fut élu conseiller d’arrondissement de Tours-Sud aux élections cantonales de 1937. Délégué au congrès socialiste de Marseille en 1937, il prit position pour la dissolution de la Gauche révolutionnaire de Marceau Pivert*. Il mena également une polémique très dure contre le PC, notamment lors de la signature du Pacte germano-soviétique (cf. Le Réveil, 2 septembre 1939). Mobilisé en septembre 1939, il céda ses fonctions de secrétaire fédéral à Roger Ballon*.
En 1943 et 1944, il participa à l’organisation pour l’Indre-et-Loire du « bureau des opérations aériennes (BOA) » en liaison avec Londres. Arrêté à Paris le 20 mai 1944 il fut transféré à Angers (Maine-et-Loire). Il devait mourir le 27 juillet 1944 des suites des tortures subies.
Sa femme Paule Madeleine Bernard née Counil partagea son combat politique…. »
Le parti issu de la Résistance - Noëlline Castagnez-Ruggiu et Gilles Morin
« ... L’Occupation, en accentuant les clivages amorcés lors des accords de Munich, avait provoqué des reclassements. Mis au pied du mur, des hommes surent dépasser leurs sentiments pacifistes et rompre leurs attaches paul-fauristes, cela avec plus ou moins de promptitude. Rappelons que vingt des trente-six parlementaires qui votèrent « non » étaient considérés comme paul-fauristes en 1939
...
Citons Félix Gouin, Jean Biondi, Augustin Malroux pour le groupe, Edouard Depreux pour la CAP, et parmi les secrétaires fédéraux Alfred Bernard (Indre-et-Loire), mort en déportation, et Jean-Baptiste Calvelli (Bouches-du-Rhône), lui aussi déporté... »
GR 16 P 61022 | BIONDI (Jean Dominique) | 1900-05-09 | Sari-d'Orcino | Corse | FRANCE | FFc DIR
GR 16 P 102111 | CALVELLI (Jean Baptiste Paul François) | 1895-01-25 | Bocognano | Corse | FRANCE | FFi RIF
Laurent Laloup le lundi 04 septembre 2023 - Demander un contact La page d'origine de cette contribution Recherche sur cette contribution | |
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Page wikipedia.org de René Paty "... Dès juillet 1940, il commence à nouer des contacts avec des amis enseignants, socialistes, francs-maçons, pour lutter contre le nouveau gouvernement et l’occupation. En novembre 1940, il a participé à l'élaboration de la manifestation du 11 novembre à l'Arc de triomphe de l'Étoile. Lui et ses amis ont créé des réseaux et établi des relations avec d'autres : Maintenir (en octobre 1940), Syndicat clandestin des instituteurs, Libération-Nord, CND Castille du colonel Rémy, OCM, la loge Patriam Recuperare et le journal La Nouvelle République. Leur action était de renseignement, de reconstitution d'associations dissoutes et de préparation de l'après-guerre. Il est enregistré sous la cote GR28P449-978 parmi les agents de réseau de renseignement.
En juillet 1941, les lois de Vichy sur les juifs et les francs-maçons ont été promulguées. Le 1er octobre 1941, jour de la rentrée, l'inspecteur de l'enseignement primaire vient à l'École rue Lacordaire pour intimer à René Paty, frappé de révocation, l'ordre de quitter immédiatement son bureau de directeur d'école. Sans travail, René Paty recherche une occupation dans ses capacités. Avec l'aide financière d'amis, il achète une petite librairie place Saint-Michel à Paris. La librairie devient un lieu de rendez-vous d'amis et d'opposants au régime de Vichy et à l'Occupation. Il s’absente de temps en temps pour aller en province rencontrer d'autres amis, recueillir des renseignements. Il est alors remplacé à la librairie par son épouse, également révoquée par le régime de Vichy.
Le 2 mars 1943, vers 10 heures du matin, deux policiers allemands viennent l'arrêter à la librairie. Au même moment tous les membres de son groupe d'enseignants résistants sont arrêtés, dont Augustin Malroux, Maurice Dirand, Georges Lapierre, Georges Vidalenc et Claude Bellanger. Après une perquisition à l'appartement, René Paty est emmené au ministère de l'Intérieur, rue des Saussaies, puis à la prison de Fresnes. Il se retrouve dans la cellule « 501/III » avec d'autres résistants. Il y reste jusqu'en septembre 1943, puis il est transféré à la gare de l'Est et déporté vers l'Allemagne avec ses compagnons. Après être passé par le camp de Neue Bremm près de Sarrebruck, il est enfermé au camp de concentration d'Oranienburg-Sachsenhausen, près de Berlin, plus précisément au Kommando de Bad Saarow, sous un régime semblable au Nacht und Nebel, sans possibilité d'écrire, de recevoir des lettres et des colis.
Avec l'avancée de l'Armée soviétique sur le front de l'Est durant l'hiver 1944-45, les autorités allemandes décident de déplacer les déportés vers l'ouest. En février 1945, René Paty et plusieurs compagnons sont transférés au camp de concentration de Bergen-Belsen entassés à 120 personnes dans des wagons à bestiaux pendant trois jours. À cette époque l'état de ce camp est effroyablement dominé par la famine et le typhus. Le 10 avril 1945, Claude Jordery, Augustin Malroux et René Paty meurent les uns à côté des autres. ..."
GR 16 P 186381| DIRAND (Maurice)| 1906-10-13| Besançon| Doubs| FRANCE| FFc DIR
GR 16 P 44675| BELLANGER (Claude Edmond)| 1910-04-02| Le Mans| Sarthe| FRANCE| RIF DIR Laurent Laloup le dimanche 06 mars 2022 - Demander un contact La page d'origine de cette contribution Recherche sur cette contribution | |
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