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André Salomon Bernheim

André Salomon Bernheim - son Livre ouvert !
 

excellent patron

moi aussi comme Mr LEPICARD que j'ai connu, je suis entrer dans sa société de management d'artistes le 1 décembre 1962, comme coursier j'ai eu le privilège de connaitre JC Brialy Jean Gabin(très généreux)Francoise Arnoul Francis Blanche et bien d'autres, j'y ai travaillé jusqu'en 1964 départ pour l'armée et Monsieur Bernheim avait donné ordre à sa comptable Colette Bar de m'envoyer tous les mois un mandat de 50f ce qui était énorme pour un militaire pendant 18 mois,en sortant de l'armér après deux mois de repos j'ai recontacté la secrétaire Régine Cordelier et Monsieur Bernheim qui venait d'acheter le Théâtre de la Madeleine m'a embauch en octobre 1965 je travaillais les après midi au Théâtre et les matinées chez M LEBOVICI au 55 avenue Georges 5 Monsieur Joseph Quessel me louer un petit studio au 5 de la rue Cognac Jay j'ai quitté Paris en 1967 et me trouve à Nice aujourd'hui amicalement JLMontel

Jean Louis Montel le dimanche 26 avril 2020 - Demander un contact

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lien de parenté

merci de m'avoir répondu

si je comprends bien Berthe Feissel est votre grand-mére et la tante de ma grand-mère Germaine.

si c'est le cas, avez-vous connaissance d'autres Feissel ??


cordialement

Marc BOUKEBZA

MARC BOUKEBZA le mercredi 30 décembre 2015 - Demander un contact

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Berthe Fessel

Georges Bernheim (1867 - 1948) - photographe à Mulhouse = Berthe FESSEL (13.4.1870, Paris III - 5.11.1964, St Cloud) - 1 enfant André (1899-1986) - - divorcée et remarriée à Tunis avec Frédéric PSALMON

Alain Bernheim le mercredi 30 décembre 2015 - Demander un contact

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Réponse :

Et donc pas de lien avec André Louis Bernheim né le 14 juillet 1920 à La Saussaye

bonjour

je suis le petit-fils de Germaine BOUKEBZA (FEISSEL) qui serai la cousine germaine de de M.André Berheim.

pouvez-vous me confirmer un lien de parenté entre les familles Bernheim et Feissel
merci

MARC BOUKEBZA le mercredi 30 décembre 2015 - Demander un contact

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André BERNHEIM un homme bien...

J'ai le souvenir d'un homme d'une grande classe chez qui j'ai eu le plaisir de débuter au Théâtre de LA MADELEINE, il y a bientôt 40ans.
Il formait avec Nadine Farel, Administratrice, un duo extraordinaire pour diriger LA MADELEINE. Un duo de l'ancienne époque, énergique mais distingué, avec autorité mais sans jamais un mot plus haut que l'autre. j'en garde un merveilleux souvenir. Les Directeurs d'aujourd'hui devraient en prendre de la graine.
Rémy HENRY
Co-Directeur du TDM

Rémy HENRY le samedi 19 avril 2014 - Demander un contact

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ANDRE BERNHEIM A LONDRES

André Bernheim à Londres.

A partir de 1943/1944 André Bernheim était directeur de publicité du journal FRANCE, un quotidien français libre publié à Londres pendant la guerre. J’étais sa secrétaire, ensuite sa collaboratrice pendant de longues années, une association qui ne terminait qu’à sa mort. C’était une personne séduisante, même charismatique et un patron exigeant mais généreux. Pour lui le mot “impossible” n’existait pas, - pour lui tout était possible et c’était une leçon que j’ai apprise et qui m’a bien servi.

AB (c’est le nom que nous lui donnions) s’est incrit dans l’escadrille Sussex de la Royal Air Force, vers l’année 1944. Avec son bon ami Joseph Kessel ils étaient chargés de survoler le Nord de la France pour retrouver les émissions clandestines des résistants à l’aide du S phone. Pendant ce temps je l’ai remplacé au bureau.

Après la libération il est rentré en France et je me suis trouvée installée dans son bureau à Londres chargée de m’occuper de ses affaires en Angleterre. C’etait une occupation passionnante. Toujours bien jeune il me donnait beaucoup de responsabilité et, encore une fois, j’ai beaucoup appris. Grace à lui j’ai fait la connaissance de ses proches : famille, amis et clients , tels que Joseph Kessel, Marcel Achard, Georges Auric, Georges Wakhevitch, Lila de Nobili, Peter Ustinov. Louis Jourdan , Colonel Roulier (Rémy) – la liste est longue.

Quand ils venaient à Londres AB les conseillait de se mettre en rapport avec “Marion” – c’est à dire moi. J’étais là pour faciliter leurs séjours, m’occuper de leurs contrats ainsi que de leur argent et être interprète pour leurs affaires ainsi que pour le “shopping”.

J’étais très intéressée par le témoignage de Christian Lepicard – à 19 ans j’avais les mêmes sentiments – et comme lui je confirme que mes souvenirs de cet homme remarquable demeurent impérissables.

Marion Bloom le jeudi 21 novembre 2013 - Demander un contact

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Hommage à André Bernheim

André Bernheim, le plus célèbre mandataire d'artistes des années 60 ; je précise comme il aimait dire "mandataire d'artistes" car il détestait l'appellation "impressario", était un homme d'exception comme je n'en ai plus jamais rencontré dans ma vie. Tout commence pour moi en 1963, j'avais 17 ans. André Bernheim m'engage comme garçon de courses/employé de bureau sur deux critères : j'étais né comme lui un 31 juillet et je n'avais pas les mains moites lorsqu'il m'a serré la main...
S'en est suivi pour moi trois années professionnelles exaltantes qui m'ont permis d'approcher tant de monstres sacrés comme Jean Gabin, Michel Audiard (aux pourboires si généreux), Micheline Presle (si gentille), Gilles Grangier (si simple), et tant d'autres comme Bernard Blier, Pierre Mondy, Pierre Fresnay, Jean-Claude Brialy, Jean Carmet (la simplicité et la gentillesse incarnées) etc... Et plus que tout peut-être, le grand Joseph Kessel que j'ai eu l'honneur de servir un temps pour la préparation matérielle de ses écrits en qualité de copiste.
Ma vie après a pris d'autres directions (notamment grace aux recommandations maternelles de Monette Josem qui était à l'époque la pricipale collaboratrice d'André Bernheim), mais je n'oublierai jamais cet homme qui avait pris la peine de s'intéresser à moi alors même qu'il était un puissant parmi les puissants. J'aurais bien d'autres anedcdotes à raconter sur mon passage au 55 avenue Georges V à cette époque heureuse... Que n'en ai-je croisé ou servi d'illustres parmi les illustres : Lino Ventura, Charles Aznavour, Henri Verneuil...
André Bernheim était à l'époque le maître du cinéma de Paris. Et du théâtre aussi. Comment ne pas citer la merveilleuse Danielle Darieux dans "Marie Octobre".
Je me souviens encore de l'émotion ressentie lors de cette séance en matinée où j'avais emmené ma mère (née le même mois que Danielle Darieux en mai 1917) voir Marie-Octobre grace aux places de théatre qu'André Bernheim m'avait offertes.
Mais je limiterai ce bref témoignage à l'évocation de ce grand homme qu'était André Bernheim et dont le souvenir, alors même que j'ai aujourd'hui l'âge qu'il avait lorqu'il m'a embauché, demeure impérissable et si présent dans mon coeur.

Christian Lepicard.

CHRISTIAN LEPICARD le lundi 02 avril 2012 - Demander un contact

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mise au point

Mon père. André Bernheim, né le 31 juillet 1899 et décédé le 16 février 1986, a quitté la France au mois de juin 1940 pour rejoindre le général de Gaulle à Londres.

J'ignore tout d'un homonyme, ou d'un Claude Bernheim.

A ma connaissance, André est allé aux États-Unis et est revenu à Londres aux environs de 1943. C'est alors qu'il s'est engagé dans la RAF ou dans les Français libres avec son ami Joseph Kessel.

alain bernheim le mardi 17 janvier 2012 - Demander un contact

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andré bernheim

andré était mon père

alain bernheim le lundi 16 août 2010 - Demander un contact

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Réponse :

Voir aussi la page de Joseph Kessel où l'on parle de lui 

Andre Bernheim

Plus tard directeur du theatre de la Madeleine et impressario

( lire aussi "40 à Londres" de Frank Bauer)

Laurent le lundi 05 juillet 2010 - Demander un contact

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