Eugène Millot - Les Français Libres

Les Français Libres, de juin 1940 à juillet 1943

 
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Eugène Millot



Naissance : 22 juillet 1921 - Nouméa, Nouvelle-Calédonie

Activité antérieure : ouvrier / artisan

Point de départ vers la France Libre : Pacifique/Indien

Engagement dans la France Libre : Nlle Caledonie en septembre 1940

Affectation principale : Terre DFL - Moyen Orient / BIMP

A participé à la bataille de Bir Hakeim

Grade atteint pendant la guerre et spécialité : sergent chef

Décès à 91 ans - 11 juillet 2013 - Koné, Nouvelle-Calédonie

Frère de Charles  et Emile 

Dossier administratif de résistant : GR 16 P 419930GR 16 P 419936

Dans la liste de Bir Hakeim : ligne 999

Dans la liste d'Henri Ecochard V40 : ligne 36338ligne 36340


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Peut être Eugène Millot

(ça n'est pas Emile)



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Jacques Ghémard le jeudi 11 septembre 2025 - Demander un contact

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La photo un peu plus nette

La Photo postée par Laurent en un peu plus nette (toujours Fonds jean Tranape ANC 1Ph11-053).
De gauche à droite :
Désiré LOZACH
Narcisse RAGUE
Jean TRAN AP (son nom à l'époque avant francisation)
Eugène MILLOT (sur le véhicule)



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Eric MINOCCHI le dimanche 06 juillet 2025 - Demander un contact

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Date de décès sur JMO du BIMP

On y voit que le Lt Bellec est aussi blessé à la même période (bas de liste à droite)

Eric MINOCCHI le samedi 23 mars 2024 - Demander un contact

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Réponse :

GR 16 P 349024 | LECHANTEUR (Charles Emile Emmanuel) | 1918-10-23 | Nouméa | Nouvelle-Calédonie | FRANCE, pas d'homologation 
GR 16 P 488678 | POUNOU (Alphonse) | 1912-00-00 | Poindah | Nouvelle-Calédonie | FRANCE, pas d'homologation 
GIAMARCHI Benoît 
RIVETTI Antoine 
GR 16 P 309991 | JOCHEM (Gérard) | 1924-10-20 | Colmar | Haut-Rhin | FRANCE, pas d'homologation 
SUSINI Jean 
GR 16 P 15917 | ARAMINI (Pierre Martin) | 1905-11-11 (ou 1925) | Ajaccio | Corse | FRANCE, pas d'homologation 
ANDRIEU Roger Jean 
GR 16 P 264538 | GOUET (Roger André) | 1923-12-29 | Paris 8 | Seine | FRANCE, pas d'homologation 
BIANCHINI Ange  peut être GR 16 P 58131 | BIANCHINI (Ange Félix) | 1921-06-07 | Altiani | Corse | FRANCE


« 1er Rang: Kallouche, Charpentier, Bouye, Benebig, Magnier, Chenu, Offlaville (pere), Vincent, Roux, Offlaville (fils), Dauphin, Lesson, Dorbritz, Gouharou, Henique, Chitty, Goyetch.
2eme Rand: Menaud [Devaud], Lozach, Tremenci [Freminet], Goyetch R., Mathieu, Millot, Winsky (Neugy), Millot Ch., Reveillon, Mangelon [Mongelas], Gouzene J.P.,
Manque sur cette photo: Cubadda, Dremon, Michel, Lozach L., Mercier, Lucas, Millot E., Saint-Pol, Parent, Dehaen, Roudeillac, Winschester, Gravina, Blanc, Charley, Courtot, Debien, Hervouet, Masson, Monnier, Pene, Paillot.« 

Source Page Facebook Association Témoignage d’un Passé
Identification: Gérald Dehaen



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Laurent Laloup le mardi 19 décembre 2023 - Demander un contact

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Réponse :

Le "1er rang" serait celui des hommes debouts, ceux accroupis n'étant pas identifiés. Le "2e rang" serait celui tout au fond

Eric MINOCCHI nous dit, le dimanche 08 juin 2025, "Complément de noms sur la photo de Gérald Dehaen
les noms des accroupis de gauche à droite :
DEF Démosthène, PORCHERON Charles, COTTIN Georges, FUCITO Georges, TROUILLOT Roger, MORLET Roger, COLONNA Jean, LETHEZER Numa"


www.france-libre.net 

Laurent Laloup le vendredi 12 mai 2023 - Demander un contact

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Réponse :

1 Jean Bellec (1920-2002), compagnon de la Libération (NDLR).
2 Jean Tranape, né en 1918, compagnon de la Libération, Léonce Barrère, né en 1919, et probablement Eugène Millot, né en 1921 (NDLR).


Cité dans le récit de Jean Tranape sur la bataille du Girofano (Italie 1944)

www.dailymotion.com 

Florence Roumeguere le dimanche 17 octobre 2021 - Demander un contact

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LES COMBATTANTS CALÉDONIENS DANS LES DEUX GUERRES MONDIALES  :

laurent le jeudi 21 janvier 2016 - Demander un contact

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Eugène Millot et Jean-claude Tranape - CP : JC Tranape



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ROUMEGUERE le dimanche 20 décembre 2015 - Demander un contact

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Eugène MILLOT

ROUMEGUERE le dimanche 20 décembre 2015 - Demander un contact

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Hommage à Charles Millot

26 Décembre 2012   :

La prestigieuse Médaille militaire a été décernée jeudi à Charles Millot, 99 ans, vétéran de Bir Hakeim et du débarquement en Provence. En 1940, le jeune Calédonien s’était engagé dans le premier Bataillon de volontaires du Pacifique.

Depuis 1992, Charles Millot, qui aura 99 ans le 12 février, coule des jours paisibles à la maison de retraite de Boulari.

C’est là, entouré de sa famille et des amis, que le colonel Damien de Marsac, chef de corps du Rimap, lui a remis, jeudi, la Médaille militaire, au nom du président de la République française.

Comme pour Roger Ludeau, décoré lundi (lire notre édition de jeudi), une demande a été faite récemment auprès du chef de l’Etat, qui y a répondu positivement.

Honneur. « On pourrait se dire que cette cérémonie vient un peu tard, a reconnu le colonel Damien de Marsac. Mais c’est aussi une opportunité, pour nous les plus jeunes, de se souvenir de cette belle épopée du Bataillon du Pacifique. Et un grand honneur. »

La Médaille militaire est la deuxième décoration dans l’ordre hiérarchique français. Après la Légion d’honneur, mais devant l’ordre national du Mérite (1). Avant de l’obtenir, ce jeudi, Charles Millot avait déjà reçu la croix de guerre.

Silencieux, le regard fixe, le vieil homme a apprécié la cérémonie, lui qui « n’aimait pas, jusqu’à récemment, parler de ses faits d’armes », explique son neveu, Yves Millot.

Psychologue. En septembre 1940, à l’âge de 27 ans, Charles Millot s’était porté volontaire au sein du premier contingent du Bataillon du Pacifique.

Deux de ses frères, Emile et Eugène, en ont fait de même. Le premier, Emile, a péri lors du torpillage par l’armée allemande du cargo Nino Brixio, le 16 août 1942, au large de Benghazi en Libye. Le deuxième, Eugène, a survécu. Il était aux côtés de Charles, l’aîné de la fratrie, jeudi.

C’est leur grand-père, Emile senior, né en 1859 près d’Auxerre, qui avait posé le pied en Calédonie, en 1899, en qualité de gendarme, après une carrière dans l’infanterie de marine.

Qu’a fait Charles Millot pendant la guerre ? « Il m’a dit un jour qu’il était brancardier... Et psychologue, reprend le neveu, Yves. Il aimait chanter, plaisanter, même dans les moments durs. Au point que les officiers lui confiaient des hommes qui avaient le moral à zéro, en lui disant : “tu me le rendras quand il sera retapé”.»

Chanson. Au moment de la dangereuse traversée de la Méditerranée, les galonnés lui avaient même demandé d’inventer une chanson pour rassurer les camarades.

« Il nous l’a chantée sur le DVD », sourit Jacques Astakof, directeur de l’Office national des anciens combattants (Onac) de Nouvelle-Calédonie. Avec le centre de documentation pédagogique, l’office a édité, cette année, un DVD basé sur les témoignages de trois anciens de Bir Hakeim : Roger Ludeau, Maurice Meunier et Charles Millot. On y apprend aussi que ce dernier était chef de pièce de mitrailleuse à Bir Hakeim (lire ci-contre).

Blessé après le débarquement en Provence, Charles Millot avait terminé la guerre avec le grade de sergent-chef. Décoré et honoré, il a pu reprendre sa vie de retraité. Comme tous les soirs de Noël, il chantera Minuit chrétien pour ses camarades de pension.

(1) La médaille des Compagnons de la Libération est la deuxième médaille, dans l’ordre hiérarchique. Mais elle n’a été attribuée qu’entre 1940 et 1946, à 1038 personnes.

laurent le mercredi 09 décembre 2015 - Demander un contact

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Dernière mise à jour le jeudi 11 septembre 2025

 

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