| |  | | | | Un Français Libre parmi 63599 | | | Lucien Roger Paul Joigne | |
Naissance : 3 juillet 1922 - Château-Thierry (02)
Activité antérieure : fonctionnaire
Point de départ vers la France Libre : Metropole
Engagement dans la France Libre : Londres en juillet 1940
Affectation principale : Terre DFL - Moyen Orient / genie
Grade atteint pendant la guerre et spécialité : sergent
Décès à 76 ans - 8 novembre 1998 - Saint-Lô (50)
Dossier administratif de résistant : GR 16 P 310200
Dans la liste d'Henri Ecochard V40 : ligne 26212 |
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Mémoire des Français Libres, sous la direction du contrôleur général des armées Olivier Rochereau " André Géroult, jeune habitant de la Manche qui a entendu l'appel du 18 juin lancé par le général de Gaulle, en informe le lendemain ses amis Lucien Joigne, André Lominé et Jacques Villemer qui « s'insurgent contre le gouvernement de l'armistice ». Les quatre jeunes Saint-Lois organisent alors leur départ vers l'Angleterre. Lucien Joigne raconte : « Nous sommes partis de nuit à vélo pour Granville. Là-bas, au bout de deux jours, nous avons fait la connaissance d'un pêcheur, Jules Leprince, qui accepta de nous emmener à Jersey. Puis, de Jersey, le 28 juin, nous avons rejoint Guernesey à bord d'un caboteur, puis Southampton ». Arrivés à Londres, ils passent quelques jours dans deux camps de triage avant d'être incorporés dans les FFL. Ils n'ont ni argent ni papiers. Pierre Lemasson doit même « vendre sa montre de communion pour s'acheter de quoi manger ». Ils sont encore habillés en civil quand ils défilent le 14 juillet 1940 à Londres.
André Courval, Henri Letourneur et Clément Milet sont quant à eux arrivés trop tard à Jersey le 29 juin : les troupes allemandes les avaient précédés de quelques heures. Obligés de vivre cachés jusqu'au 29 août, ils réussirent ce jour-là à s'emparer d'une barque à moteur et à traverser la Manche, non sans avoir essuyé des tirs allemands et être tombés en panne d'essence au large des côtes anglaises. Récupérés par un aviso britannique, ils débarquèrent le 30 août au soir dans le port de Dartmouth en Cornouailles, où ils furent chaleureusement accueillis.
D'autres eurent moins de chance, tel Marcel Mauduit, parti le 27 juin et tué le lendemain dans un bombardement allemand sur Guernesey." Laurent Laloup le samedi 23 mai 2009 - Demander un contact La page d'origine de cette contribution Recherche sur cette contribution | |
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beaucoudray.free.fr/ :
" Jacques Villemer avait 20 ans quand quelques jours après l'arrivée des Allemands, il décida de rejoindre de Gaulle avec trois amis de l'Union sportive du travail, un club de football. Il y avait Lucien Joigne, André Géroult, André Lominé. Tous quatre, après un périple nocturne à vélo devaient rejoindre Granville pour embarquer à destination de l'Angleterre où, après une période de mise au secret, ils étaient incorporés dans les Forces françaises libres. Nous étions environ 250 civils à avoir répondu tout de suite, dont une majorité de Bretons ", raconte Lucien Joigne dans sa maison d'Agneaux "...
Archives départementales de la Manche : dossier de documentation Jacques Villemer extraits de l'article
" Un résistant de la première heure tué au Monte Cassino ", Ouest-France - 4 octobre 1993" Laurent Laloup le mardi 25 septembre 2007 - Demander un contact La page d'origine de cette contribution Recherche sur cette contribution | |
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