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Louis Tarrius

Naissance : 9 juin 1921 - Perpignan (66) Point de départ vers la France Libre : Metropole Engagement dans la France Libre : en décembre 1942 Affectation principale : FNFL / marine de guerre Cdt Dominé, 1er RFM Matricules : 3877 T38 5728 FN40 Grade atteint pendant la guerre et spécialité : Matelot canonnier Décès à 23 ans - 8 septembre 1944 - Dracy-Saint-Loup (71) Mort pour la France Dossier administratif de résistant : GR 16 P 562490 Dans la liste de l'amiral Chaline : ligne 13635 Dans la liste d'Henri Ecochard V40 : ligne 48939

Louis Tarrius - son Livre ouvert !
 

Une des dernières photos

Une des dernières photos avant de partir au frond sur la prototype c'est le 1er à gauche

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Tarrius Jean Louis le dimanche 09 octobre 2016 - Demander un contact

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Réponse :

Au vu de l'habillement, de l'équipement et de sa date d'engagement, cette photo a été prise dans le désert de Libye, à l'époque ou le RFM était encore un bataillon antiaérien, donc avant l'hiver 1943 

Photo tableau des médailles à titre posthume

Tableau des médailles de Louis Tarrius à titre posthume (croix de guerre 39-45 et étoile vermeille) avec récit des faits

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Tarrius Jean Louis le vendredi 07 octobre 2016 - Demander un contact

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Médaille de la légion d'honneur

Il n'a pas eu la légion d'honneur à titre posthume alors que les sportifs on le donne pour un oui ou non !!!!

Tarrius Jean Louis le mardi 27 septembre 2016 - Demander un contact

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Fusiliers Marins,(1er R.F.M.), de Roger BARBEROT

"Nouvelle alerte côté nord. Deux voitures légères cette fois. Le scout-car met l'une hors de combat à 200 mètres. Puis, il bat en arrière pour couper la route à la seconde. A 20 mètres, le matelot Defer lance une grenade sur l'auto allemande qui fonce sur lui. Les secondes s'écoulent, longues, puis la grenade explose et la voiture roule dans le fossé.
Au sud, les snipers, tireurs d'élite allemands, deviennent de plus en plus gênants. Les mitrail­leuses commencent à s'enrayer, nos hommes se fatiguent. Le matelot Tarius, embusqué dans une maison avec un F.M. a épuisé ses munitions. Il se replie, mais est criblé de balles à bout portant.
Le second-maître Aitger est tué par un obus de 88 mm."

Laurent Laloup le lundi 16 mars 2009 - Demander un contact

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