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| Michel Maurice Frédéric Stahl | |
Naissance : 1er juin 1914 - Grenoble (38)
Activité antérieure : militaire
Point de départ vers la France Libre : Grande Bretagne
Engagement dans la France Libre : Londres en juillet 1940
Affectation principale : Terre DFL - Moyen Orient / BM3
Grade atteint pendant la guerre et spécialité : capitaine
Décès à 75 ans - 30 septembre 1989 - Aimargues (30)
Dossier administratif de résistant : GR 16 P 556045
Dans la liste d'Henri Ecochard V40 : ligne 48284 |
Contribuez à son livre ouvert !Ouvert à tous pour exprimer vos sentiments, évoquer vos souvenirs, préciser son parcours, sa vie, poser des questions, citer des livres, des articles, des sites, déposer des documents, photographies, ... | | |
Michel Maurice Frédéric Stahl - son Livre ouvert ! Affectation D'aprés sa fiche afl 35462 il a été affecté successivement au Bataillon de chasseurs de Camberley, au BM3, à la 21é CNA devenue CAC n° 2, puis à l'Etat Major de la 2eme Brigade.
D'aprés ses Mémoires (p 227) il n' a été affecté au BM5 devenu II/2éme RIC qu'aprés la fin du conflit (automne 1945) (doc.Ordre de la Liberation) LEMOINE Germain le dimanche 06 août 2023 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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Grandaughter Dear Olivier and family....
My name is Josephine,
I am the daughter of Janine Stahl, Michels daughter.
It is so beautiful to finally hear some news after all these years.
If you would like to contact me, that would be fantastic.
I hope to hear...
Best regards,
Josephine Josephine Khan le jeudi 31 mars 2016 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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Michel Stahl Hello Holly...I'm sure he would been very happy to find out his grandaughter too...And his daughter. He was mine too. You can join the webmaster to have my e-mail if you want. I would be very happy to know you. Olivier le dimanche 27 mars 2016 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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Intérêt historique Bonjour,
A l'issue de ma lecture du livre "Les moines du Général", j'ai constaté que Michel STAHL était enterré à quelques kilomètres de chez moi. Donc, ce jour: 20 mars 2013, je suis allé me recueillir sur sa tombe dont j'ai pris une photo. En tant qu'officier ayant commandé un Bataillon de Chasseurs, je me devais de réaliser ce geste. Autre détail, le gardien du cimetière entretient la tombe, bénévolement. Depuis aujourd'hui, il sait quel est le héros qui git sous cet arpent de terre, ainsi que trois vieux habitants d'Aimargues qui par curiosité m'ont écouté évoquer la vie de cette belle figure française. FLUHR le mercredi 20 mars 2013 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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Extrait de "Jacques Fimbel, épopée d'un Français libre 1939-1945" D'abord : qu'était la CAC 2 ? Une compagnie lourde antichars. Le "2" correspond au numéro de notre brigade qui comptait 180 hommes à l'effectif et dont le travail essentiel était de détruire les chars ennemis. Pour ce faire, nous étions équipés de canons de 57 ou "six pounders" tirant -comme le nom l'indique- des obus de six livres. Il y avait deux sortes d'obus : des perforants et des explosifs, chacun avec un but bien déterminé.
Dans la CAC 2, en dehors du capitaine Stahl et du lieutenant Paldacci, il y avait quelques figures marquantes.
Il y avait deux autres officiers : le lieutenant Bel et le lieutenant Maura.
Dans les français, parmi les bons copains, il y avait : le sergent Grimm et le sergent Becker, deux alsaciens qui parlaient le dialecte) ; le caporal-chef Jean-Yves Merceur, un breton ; le caporal-chef Wladislas
Androzizine qui, malgré un nom polonais se disait lui-même "le polonais bourguignon" car il était né en Bourgogne. On l'appelait Zizine parce que Androzizine, c'était trop compliqué et trop long, il y avait aussi Jehan Autrey, un bon breton, un excellent copain qui était un peu une distillerie ambulante mais qui était un très brave gars ; Paul Pommier, qui était caporal à la section de commandement et qui s'occupait des écritures et de l'administration de la compagnie ; Alain Riffet, qui était le fils du maire de Bordj-Boireridge en Algérie. Il a d'ailleurs été gravement blessé après. Voilà ce qu'on peut dire en ce qui concerne les français.
Parmi les marocains, il y en a deux que j'ai très bien connu et qui étaient avec moi pratiquement tout le temps : c'était le sergent-chef Ben Moustafa et puis, mon vieux complice de toujours et de tous les instants, l'ineffable Boi-Sidi dont le vrai nom était Mohammed Ben Bouazza dont je citerai l'origine et le curriculum vitae antérieur. Boi-Sidi se chargea pour mon compte de quelques tâches matérielles : lavage et repassage des effets, creusement des trous individuels, etc. Boi-Sidi, ("matricule 3793, chef !") m'appelait chef parce que j'exerçais des fonctions de commandement alors que je n'étais pas officier. Il avait résolu le problème en m'appelant "chef. Comme il n'arrivait pas à prononcer "Fimbel", il m'appelait "Nabeul" du nom du bled où nous stationnions. Quand nous sommes arrivés à Paris, on a parlé de la tour Eiffel, et pour lui, c'était la tour Nabeul.
Boi-Sidi avait une particularité dont il était très fier : c'était que toutes ses dents étaient couronnées d'or. Quand il riait, cela faisait assez curieux !
MA: A quoi cela correspondait-il ? C'était un signe de richesse ?
JF: Oui. Il était très fier de ça. Il disait : "Hein, jouli chef !?!" Laurent le samedi 12 décembre 2009 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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Extrait d'UNIFORMES N°78 " Le peloton d'élèves aspirants
A la même époque, depuis le 13 décembre 1940, existe, dans le cadre du bataillon de chasseurs réorganisé (1) un peloton d'élèves aspirants sous les ordres du lieutenant Stahl. Ce peloton se termine le 6 avril 1941. Sur 80 candidats, 24 sont reçus. Ce seront les premiers aspirants formés dans le cadre de la France Libre. " Laurent Laloup le dimanche 14 septembre 2008 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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Michel Stahl, Compagnon de la Libération " Michel Stahl était un résistant français, né le 1er juin 1914 à Grenoble et décédé le 30 septembre 1989, à Aimargues.
Mobilisé en 1939, il combattit en Norvège, puis rejoignit Londres et la France libre en juin 1940. Il partit en Syrie en 1942, et participa à la campagne de Libye puis à la bataille d'El Alamein en octobre.
Blessé en Égypte le 5 avril 1943, il ne put rejoindre son unité que le 12 juin, en Tripolitaine. Adjoint au commandant de la compagnie antichar n°2, il combattit en Italie début 1944, puis en France, de Toulon à Belfort.
Il fut compagnon de la Libération (décret du 7 août 1945).
Après la guerre, il devint pasteur de l'Église réformée de France, à Bordeaux puis à Mulhouse. "
Source : fr.wikipedia.org  Laurent Laloup le samedi 21 avril 2007 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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