Jack Lucien Emile Sibard - Les Français Libres

Les Français Libres, de juin 1940 à juillet 1943

 
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Jack Lucien Emile Sibard



Naissance : 29 mars 1921 - Paris 14e

Activité antérieure : étudiant / scolaire

Point de départ vers la France Libre : Metropole

Passage en Espagne : ? 1941

Engagement dans la France Libre : Syrie en novembre 1941

Affectation principale : FAFL / parachutistes

Matricules : 40.580

Décès à 98 ans - 4 aout 2019 - Mérignac (33)

Dossier administratif de résistant : GR 16 P 547403

Dans la liste d'Henri Ecochard V40 : ligne 47421


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Jack Lucien Emile Sibard - son Livre ouvert !
 

N°10 Bulletin Avril 2002
par AMICALE DU 1°RPIMa "QUI OSE GAGNE"



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Laurent Laloup le mercredi 04 janvier 2023 - Demander un contact

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Engagement FAFL

A son arrivée de la Marine Marchande le 2ème classe Jack Sibard est enregistré à la Compagnie de l'Air au Moyen-Orient avec le matricule FAFL 40.580 en date du 5 novembre 1941.

bertrand H le dimanche 18 août 2019 - Demander un contact

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Décès de Jack Sibard à 98 ans.

L'AFPSAS VOUS INFORME :

Nous avons la tristesse de vous faire part du décès, le 4 août 2019, de Jack Sibard dans sa 99 eme année.

Jack L. Sibard est né à Paris le 29 mars 1921. En septembre 1939, il s'engage dans la marine marchande française. Il y demeure jusqu'au 3 novembre 1941, où il réussit à rallier les Forces Françaises Libres. Après avoir suivi un entraînement de parachutiste en Égypte, au camp nouvellement constitué de Kabrit, il prend part à l'une des premières missions de l'"escadron français du S.A.S (Special Air Service) : le sabotage de l'aéroport d'Héraklion (Crète), les 13 et 14 juin 1942. Alors que le commando tente de gagner la côte sud de l'île, Sibard et deux de ses camarades sont faits prisonniers par les Allemands, puis transférés dans le camp de Dulagluft en Allemagne. Il parvient à s'évader le 13 février 1943 et traverse l'Europe occupée. Un mois plus tard, sa mère Germaine-Thérèse Ballini est arrêtée par la Gestapo ; elle restera emprisonnée jusqu'à la fin de la guerre. Sibard gagne la Grande-Bretagne où l'attend une fâcheuse surprise, soupçonné d'espionnage, il est emprisonné le 3 juin 1943. Lavé de tout soupçon, il est libéré fin mars 1945.

Chevalier de la Légion d’honneur
Médaille Militaire
Croix de guerre 1939-1945 avec palme
Médaille des Evadés
Médaille de la France Libre
Médaille Interné Résistant
Combattant Volontaire de la Résistance
Chevalier de l'Ordre du Roi Georges 1er de Grèce
Plus d'autres médailles françaises et étrangères

La volonté de Jack Sibard étaient d'avoir des obsèques dans la plus stricte intimité familiale en présence seulement de son épouse, ses deux enfants, ses quatre petits enfants et arrière petits enfants, celles-ci ont eu lieu le 9 août 2019.

L'AFPSAS présente toutes ses condoléances à sa famille.

Marc DANIEL le jeudi 15 août 2019 - Demander un contact

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Décès de Madame Simone Mousseigt

Je tiens à vous faire part du décès de mon Amie Simone Mousseigt Veuve Saint Genis. Lors de ces obsèques, ce jour 29 Septembre 2012, son fils à évoqué votre nom et votre passage de la ligne de démarcation à Salies de Béarn en Février 1941.
Je suis moi-même, passionné de l'Histoire des SAS et compte très fièrement, pour Amis Monsieur Roger Boutinot et Monsieur René Mendiondo que j'ai eu la chance de rencontrer. Je désirerai contacter Monsieur Jack Sibard, ou un membre de sa famille pour plus d'échanges. Merci d'avance.


Michel Laplace-palette

Chemin de Baix 64270 SALIES DE BEARN

05 59 65 04 31 OU 06 08 16 21 46

Laplace-palette Michel le samedi 29 septembre 2012 - Demander un contact

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Né le 29 mars 1921 à Paris

Engagé dans la Marine Marchande en 1939 au sein de la Compagnie des Chargeurs réunis.
Rallie les FFL en novembre 1941 en Afrique du Sud lorsque son navire le Cap Tourane est arraisonné.
Volontaire pour les parachutistes, rejoint la Syrie puis le camp de Kabrit et la 1re Compagnie d'Infanterie de l'Air.

David Portier le lundi 30 novembre 2009 - Demander un contact

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" Simone Mousseigt
Soeur de Danièle, amies de Jack Sibard, fils aîné de Germaine Ballini*

Lieu de naissance : Puyoô
Nationalité : Française
Réseau de sauvetage : Ballini Germaine-Thérèse

Histoire
Passer la ligne de démarcation à Puyoô

Germaine-Thérèse Ballini dite «Gemma», est une résistante qui n’est affiliée à aucun groupe. Elle a fait passer de nombreux évadés de guerre et des amis juifs en zone libre et en Espagne grâce à l'aide que lui ont apporté les Mousseigt.
Jack Sibard, son fils, s’engage dans la marine marchande en 1939. En février 1941, il passe la ligne de démarcation. Il rejoint les Forces Françaises Libres en novembre.

Les parents Mousseigt font passer la ligne de démarcation à Jack Sibard et à leur fille Simone, recherchée par les Allemands, pendant que Danièle et son frère Jacques occupent l’attention des Allemands.

Ils sont emprisonnés et séparés en Espagne, et la résistance parvient à les faire évader chacun dans une direction.
Simone part à Londres ou elle est devenue une force féminine française libre "

www.ajpn.org 

Laurent le lundi 16 novembre 2009 - Demander un contact

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Jack Sibard

www.lavoixdunord.fr 

laurent le mardi 15 septembre 2009 - Demander un contact

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A propos de François Veuillet 

" Il est à noter qu'enregistrés à la même date et provenant également de la marine marchande on trouve aussi le caporal Robert Duteil (40479)  et les deuxième classe Jack Sibard (40480), Stanislas Le Luron (40481)  et Joseph Giordani(40482)  . "

Jacques Ghémard le mardi 04 août 2009 - Demander un contact

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L'exploit du commando d'Héraklion

Extrait du récit du général Bergé sur les dernières heures de l'exploit du commando d'Héraklion :

Vers 20 heures, Bergé donne l'ordre de boucler les sacs en prévision du dernier déplacement. Dix minutes plus tard, alors que les S.A.S. s'apprêtent à prendre la route, deux colonnes d'Allemands, comprenant chacune une vingtaine d'hommes, surgissent à l'est et à l'ouest. Dès ce moment, les quatre Français ont compris que l'encerclement est à peu près réalisé. Le groupe tente de s'échapper sur le sud, mais il rencontre une troisième colonne semblable qui s'infiltre à travers les buissons de l'entrée du ravin. Bergé décide alors d'engager le combat, malgré le nombre des assaillants. Il espère le faire durer jusqu'à la nuit, puis profiter de l'obscurité pour s'échapper.
Les Allemands, à distance respectable, ouvrent le feu, Trois fusils mitrailleurs concentrent leur tir vers les quatre Français, tapis derrière les buissons. Des grenades lancées par tromblons explosent autour d'eux sans les atteindre. Les quatre parachutistes, qui n'ont que des mitraillettes portant efficacement à cent mètres, ne répondent pas. Ils conservent leurs munitions. Un Allemand, qui s'est aventuré trop près, est abattu immédiatement. Cette première riposte refroidit quelque peu l'ardeur des assaillants qui, pendant un bon quart d'heure, s'immobilisent, en tirant de loin.
Léostic, impatient d'en découdre, fait un bond d'une vingtaine de mètres en avant pour se mettre en meilleure position de tir. A peine a-t-il ouvert le feu qu'il est atteint par la rafale d'un fusil mitrailleur caché à cinquante mètres sur sa gauche. Il tombe, mortellement blessé, se relève et tire encore en insultant les Allemands qui s'avancent. Il retombe enfin, achevé par une dernière rafale.

La nuit tombe peu à peu, mais la situation s’aggrave. Les munitions sont épuisées. Sibard, légèrement blessé, est capturé. Bergé et Mouhot se cachent dans les buissons, espérant ainsi échapper aux Allemands. Malheureusement, ils sont découverts l'un après l'autre et emmenés. Pour Bergé, Mouhot et Sibard, c'est la captivité qui commence. Jellicoe et Petrakis, qui ont suivi de loin le combat, seront seuls au rendez-vous du sous-marin. Ils rendront compte à Alexandrie.

Un document, établi à Camberley, en date du 21 septembre 1943, et dû à la plume du sergent Mouhot, évadé perpétuel, donne une idée de la suite :

«Nous sommes envoyés à une Kommandatur et condamnés à mort. Nous sommes mis en cellule, nous y restons quinze jours, puis nous sommes envoyés en Allemagne, près de Francfort. Sibard nous quitte, quatre ou cinq jours après, pour aller à l'hôpital. Je tente une évasion avec mon capitaine, mais je réussis seul à passer à travers les barreaux. Je suis repris quelques jours plus tard. Cette fois, nous sommes envoyés, le capitaine Bergé et moi, à l'Oflag X.C. Je tente deux évasions: Je suis repris à la première. Quelques jours plus tard, à la seconde, je suis repris à la frontière hollandaise, envoyé dans un stalag d'où je m'évade une dernière fois. Je passe en Hollande, puis en Belgique, en France, en Espagne, à Gibraltar, d'où je prends l'avion et arrive en Angleterre, le 11 septembre 1943.

Francis Deleu le samedi 31 janvier 2009 - Demander un contact

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Jack Sibard

www.chez.com/crete 

Laurent Laloup le mardi 20 mai 2008 - Demander un contact

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Jack Sibard

"...C.T.R: Monsieur Sibard, alors que l'opération " Mercure " lancée par les Allemands pour envahir la Crète était achevée depuis le 1er juin 1941, votre commando est intervenu en Crète mi-juin 42, un an après. Quel était le but de cette mission ?
L'unité des SAS, formée sous les ordres du Major écossais David Stirling. Cette unité était basée à Kabret en Egypte, sur les bords du canal de Suez, était le berceau des parachutistes SAS. Notre unité était spécialisée dans la destruction au sol de tout matériel de guerre. L'unité travaillait sur la Cyrénaïque et la Libye face à Rommel ; un jour nous avons reçu l'ordre de départ, des groupes de 5 à 6 hommes devaient partir en différends endroits. Le commandant Bergé nous dit : "la mission que j'ai gardée pour nous est la plus dangereuse, elle sera très pénible ; nous aurons peu de chance de nous en sortir ". C'était La Crète. Notre commando était composé du commandant Bergé, du Lieutenant crétois Costas Pétrakis, du Capitaine Lord Jellicoe, du caporal Jacques Mouhot, de Pierre Léostic âgé de 17 ans et de moi même qui étions chasseurs parachutistes à ce moment.
Le but de notre mission était de détruire les avions qui étaient susceptibles d'intercepter les bateaux ravitaillant l'île de Malte. Car Malte était exsangue, Malte était à bout de souffle, Malte devait capituler si les convois n'arrivaient pas. Malte était totalement démunie. Si Malte capitulait, cela signifiait que les forces nazies étaient maîtresses absolues de toute la Méditerranée. Et c'est de Crète que décollaient les fameux Ju.88 chargés de ces objectifs."

www.chez.com/crete 

Laurent Laloup le mardi 20 mai 2008 - Demander un contact

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Dernière mise à jour le mercredi 04 janvier 2023

 

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