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| Maurice Sarazac | |
Naissance : 17 décembre 1908 - Liorac-sur-Louyre (24)
Activité antérieure : militaire
Point de départ vers la France Libre : Afrique
Engagement dans la France Libre : AEF en aout 1940
Affectation principale : Terre Leclerc - Afrique / RTST
Grade atteint pendant la guerre et spécialité : commandant
Décès à 65 ans - 27 octobre 1974 - Bordeaux (33)
Dossier administratif de résistant : GR 16 P 535589
Dans la liste d'Henri Ecochard V40 : ligne 46434 |
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Forse queste notizie vi possono essere utili Women of Valor: The Rochambelles on the WWII Front - Pagina 19
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Ellen Hampton - 2015 - Anteprima - Altre edizioni
Jacqueline Lambert de Guise, a great beauty, and Hélène Fabre, heiress to a shipbuilding fortune, also joined, as did Marie-Louise (nicknamed “You” from childhood) CourouMangin, and several others. Jacqueline Fournier, finally escaping ...
Journal officiel de la République française - Volume 96 - Pagina 3562
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France - 1964 - Visualizzazione snippet - Altre edizioni
Fages (Jean). Gautier (Pierre). Mme Germa (Luce). M. Mourgeon (Paul), en service détaché. M"" Vlgnal (Henriette). M'0" Gauthier (Denise). Diet (Janine). M"" Drouillac (Renée). Mm"Solin (Jeanne). Lambert (Jacqueline), en service détaché.
Le Général Leclerc et la 2e DB, 1944-1945 - Pagina 52
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Dominique Forget - 2009 - Visualizzazione snippet
De gauche à droite sont assis l'aspirant Anne-Marie Davion, chef de l'ambulance « Sur le champ », Jacotte Fournier, You Guérin, Jacqueline Lambert de Guise et le médecin-lieutenant Bouaziz (documents National Archives). Cristina le dimanche 30 avril 2017 Recherche sur cette contribution | |
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Son épouse "Nom : Jacqueline Lambert de Guise (puis Mme Sarazac)
Nationalité : Française
Engagée à : en Amérique
Le : ?
Grade : ?
Equipe : avec Anne puis ? (Allemagne)
Modification(s) : infirmière jusqu'en Novembre 1944 puis ambulancière jusqu'en Indochine
Véhicule : ?
Décédée en 1996"
Je suppose que Daniel Lambert de Guise était son frère ou son cousin Jacques Ghémard le dimanche 30 avril 2017 - Demander un contact Recherche sur cette contribution Réponse : On me dit que son nom était Nasse et que Lambert de Guise était le nom de son précédent époux
NASSE Jacqueline Naissance 17/03/1914 Paris 16e Arrondissement, Décès 08/08/1996 Aressy, Pyrénées-Atlantiques
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mon Pere et ma mere mes parents etaient ensembles pour toute cette histoire
ma mere faisait partie des "Rochambelle" partie des états unis avec Suzanne " MASSU "
avant de se marier avec mon père " en indochine " ma mere s appelait " Lambert de Guise " sarazac frederic le lundi 17 décembre 2012 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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Béné Charles : Carnets de route d'un "rat du désert » " Sur l'insistance du Lieutenant-colonel d'Ornano, le Général de Gaulle avait obtenu du Commandant britannique que des éléments français libres puissent se joindre à ces patrouilles. Un point de rencontre fut fixé au nord du Tibesti où, préalablement, le Groupe Nomade du Capitaine Sarazac avait été chargé d'établir un stock d'essence. Le poste radio de cette unité (Sergent Loirette) devait assurer le contact avec les Anglais.
Le groupe français qui avait l'honneur de participer à cette opération de reconnaissance sur le Fezzan, comprenait le Lt. Colonel d'Ornano, le Capitaine Massu, le Lieutenant Eggenspiller (un Alsacien originaire de la région de Thann !), les Sergents Bloquet et Bourrât et cinq goumiers toubbous. Après un périple de près de deux mille kilomètres la colonne britannique fut exacte au rendez-vous fixé au six janvier au nord d'Aouzou. Leurs voitures, une quinzaine, étaient puissamment armées avec des mitrailleuses lourdes et même un canon Bofors, anti-aérien. Les Français n'étaient armés que de mousquetons, mais d'Ornano n'avait, paraît-il, qu'un vieux fusil Lebel datant de la Grande Guerre." Laurent le mercredi 27 janvier 2010 - Demander un contact La page d'origine de cette contribution Recherche sur cette contribution | |
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Le Général Ingold, Figure De La France Libre, de Gérard Ingold " Au cours de la campagne, tous, officiers, sous-officiers, tirailleurs, étaient unis à leur chef : Leclerc, le victorieux. Mon père eût aimé voir ici cités quelques-uns d'entre eux : Lavergne, son capitaine d'escorte pour rejoindre les troupes en opérations, l'adjudant Briard qui bouscule un chouf, le colonel Crépin, commandant l'artillerie ; Le Calvez, qui se distingue devant Oum el-Araneb ; Sarazac, Bazelaire, Daruvar, Lebrun, Gueritte, qui s'emparent de Gatroun, Delange, de Sebha et Guéna, de Mourzouk ; d'Abzac, Bagneux, Lamodière qui leur donnent Ghadamès ; Lantenois, Verd|er, l'adjoint de Dio, Vezinet, Quilichini, Duault, Gùerin, qui se révèlent infatigables organisateurs ; Poletti, le méhariste, qui représente l'ancienne tradition ; le colonel Carretier qui commande l'aviation avec son équipe ; Saint-Péreuse, Mahé qui mitraille une colonne ennemie depuis son avion et la force à capituler, exploit sans précédent dans l'histoire de France ; l'adjudant aviateur Weil, qui est mortellement blessé en attaquant Gatroun avec Netter, son observateur ; le commandant aviateur Bonnafaye avec Maisemont, Roques et Finance ; Eggenspiller, son jeune sous-lieutenant de Fort-Archambault, magnifique officier qui trouva la mort en Indochine ; Pinhède et Podeur qui chargent sur Hon ; les commandants de compagnie auto, Flandre et Dubois... Lami, le compagnon de voiture de mon père ; le père Houssaye, tué en France, et les médecins toujours à l'avant : Monfort, Chavenon, Diagne, Mauric, Jacob, Chauliac, et Lamy, venu par les Indes des îles Wallis ; l'intendant Dupin, qui est un passionné du bien-être de la troupe ; enfin Dio, le grand connétable de Leclerc qui atteint Tripoli avec Farret et Troadec. Et comment ne pas évoquer encore Guillebon, compagnon du général Leclerc, du premier au dernier jour, et Massu bien entendu ?
Aux côtés des troupes en opérations pourrions-nous oublier le gouverneur général Eboué, pionnier de cette épopée ? le haut-commissaire général Sicé ; le cadre magnifique des gouverneurs et administrateurs de la France libre, Laurentie, Lapie, Sallers, Cournarie, Sautot, Sinibaldi, Latrille, et tous les humbles sacrifiés à la gloire guerrière, au long des étapes. Trois mille kilomètres, de Douala au Fezzan... quatre mille kilomètres de Pointe-Noire au Fezzan... Sans eux, la victoire n'eût pas été possible." Laurent Laloup le vendredi 20 février 2009 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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"...II. / BERCHTESGADEN
Affectée à une autre mission, la 12me DB.US s'arrête le 2 MAI. Le Général LECLERC reprend alors le commandement de ses unités avec BERCHTESGADEN comme objectif.
Si les Russes sont devenus maîtres de ce lieu symbolique qu'est BERLIN, le 2 MAI précisément, le Général LECLERC, grâce à sa ténacité, ses initiatives, son sens du terrain, grâce aussi au moral et aux compétences de tous ceux qu'il entraînait, réussira ce tour de force d'entrer, à son tour, 48h. après la prise de BERLIN, dans cet autre lieu symbolique qu'est BERCHTESGADEN, le 4 MAI 1945.
Le 3 MAI, la 2ème DB - le GTV- et la 3ème DI.US roulent en parallèle, toujours vers l'EST, sur les deux voies de l'autoroute MUNICH-SALZBOURG, rejointe après MIESBACH. Des milliers de prisonniers Allemands en sens inverse sur les bas cotés...
Dans la nuit du 3 au 4 MAI, le GTV appuie sur la droite, la 3me DI.US à sa gauche. Ses trois Sous Groupements se dirigent vers l'objectif BERCHTESGADEN par les trois itinéraires naturels possibles : à droite, au SUD le S/Gpmt. S - SARRAZAC - et l'Escadron DA passant par INZELL et l'ALPENSTRASSE, talonnés de près par la fameuse lOlème AIRBORNE Américaine, à gauche au NORD, le S/Gpmt D - DELPIERRE - rejoignant la route SALZBOURG - BERCHTESGADEN, au Centre le S/Gpmt B - BARBOTEU - traversant la SAALACH au NE de BAD REICHENHALL sur un passage aménagé par les Américains, puis cette ville et arrivant premier des Trois S/Gpmt, vers 16h. dans la ville même de BERCHTESGADEN, précédé de très peu par la 3ème DI.US. ..." Laurent Laloup le samedi 16 février 2008 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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