Anton Martin Vicente Salaverri Mautone - Les Français Libres

Les Français Libres, de juin 1940 à juillet 1943

 
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Anton Martin Vicente Salaverri Mautone



Naissance : 20 février 1919 - Montevideo, Uruguay

Activité antérieure : étudiant / scolaire

Point de départ vers la France Libre : Metropole

Engagement dans la France Libre : Londres en janvier 1942

Affectation principale : Terre DFL - Moyen Orient / 13 DBLE

A participé à la bataille de Bir Hakeim

Grade atteint pendant la guerre et spécialité : caporal

Dossier administratif de résistant : GR 16 P 531696

Dans la liste d'Henri Ecochard V40 : ligne 46022

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Anton Martin Vicente Salaverri Mautone - son Livre ouvert !
 

Un amigo de mi padre y mio propio

Cuando mi padre,Alberto Heber Usher, accedió al Consejo Nacional de Gobierno en marzo de 1963,conocí a Vicente ( lo llamábamos siempre por su último nombre pues era Antón Martín Vicente) y desde entonces tuve un amigo de la edad de mi padre. Lo seguí viendo hasta poco antes de su muerte y no lo pude acompañar pues no me enteré de su enfermedad. Con un carácter indomable y una lealtad hacia sus amigos sin límite, Vicente era un ser único. Realmente lo quise como si hubiera sido un tío.
Agrego que su apellido materno era Mautone y no Mantone

Arturo Heber le lundi 19 octobre 2020 - Demander un contact

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Réponse :

Traduction par Google :Un ami de mon père et le mien
Lorsque mon père, Alberto Heber Usher, a accédé au Conseil national du gouvernement en mars 1963, j'ai rencontré Vicente (nous l'appelions toujours par son nom de famille parce qu'il était Antón Martín Vicente) et depuis, j'ai un ami de l'âge de mon père. J'ai continué à le voir jusqu'à peu de temps avant sa mort et je n'ai pas pu l'accompagner car je n'avais pas appris sa maladie. Avec un caractère indomptable et une fidélité à ses amis sans limite, Vicente était un être unique. Je l'aimais vraiment comme s'il était un oncle.
J'ajoute que son nom maternel était Mautone et non Mantone


Mémoires de Domingo Lopez ("Survivant de Bir Hakeim")

ITALIE Printemps 1944
"Nous obéîmes et enfin il nous reconnut. Lorsque nous fûmes près de lui, il nous posa une foule de questions. De l'intérieur du véhicule sortit une voix avinée qui nous remplit de joie : « Eh basque ! », m'exclamai-je. SALAVERRI se montra et descendit en nous voyant : « Savez-vous où sont les allemands ? Ne croyez pas que ce soit pour aller les chasser, mais précisément pour filer en direction contraire. Regarde, me dit-il en riant, à moi on m'a dit qu'ils étaient devant, à gauche, à droite, et qu'il fallait faire attention par derrière. C'est à ne rien y comprendre ».
Succinctement nous lui fîmes le récit de ce qui s'était passé la veille et il nous fit ses adieux en disant « Excusez-moi vieux, mais ici il ne souffle pas un vent favorable ».

ALSACE JANVIER 1945 (Bois d'Elsenheim)
"Jusqu'à l'orée du bois c'était un éclatement continuel, car les obus tombaient l'un après l'autre.
Près de la ligne de feu nous rencontrâmes SALAVERRI qui commandait une pièce de mitrailleuse légère et qui était dans un état lamentable, mouillé, plein de boue et tremblant de froid. Je lui demandai comment étaient les positions, où je pourrais mettre les 15 hommes que j'amenais et il m'indiqua un endroit un peu en avant de sa pièce. Un trou était fait et nous y descendîmes, indiquant ensuite à chacun l'emplacement qu'il devait occuper.
Une fois tous installés, je m'adressais de nouveau à SALAVERRI pour savoir quelles forces se trouvaient devant nous. "Regarde dit-il, je ne sais pas de quelle compagnie elles sont, mais elles sont allemandes et devant toi il y a une mitrailleuse qui tire à faire peur et je te conseille de ne pas te montrer plus".
(...)
Trois jours et trois nuits d'horreur, d'attente angoissée heure après heure, sous une canonnade terrible, avec seulement quelques minutes de sommeil agité duquel nous sortions toujours en sursautant l'horreur dans les yeux, et tout cela par une température de -20°.
Les quelques hommes qui en sortirent, ce fut par miracle. Un obus éclata à seulement deux mètres de l'endroit où SALAVERRI s'était plaqué au sol. La déflagration de l'air le souleva et les éclats lui volèrent autour du corps, lui causant seulement une petite blessure à l'épaule. Plus tard nous comptâmes les trous de sa capote, il y en avait 14".

roumeguere le dimanche 04 février 2018 - Demander un contact

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Nom: Anton Martin Vicente Salaverri Mantone
Type d'événement: Birth Registration
Date de l'événement: 1919
Lieu de l'événement: Montevideo, Uruguay
Lieu de l'événement (original): Montevideo
Nom du père: Vicente Ananias Salaverri
Nom de la mère: Rosa Mantone
Note:
Page:
Numéro de film: 002274571
Numéro de dossier numérique: 005626956
Numéro de l'image: 01485

"Uruguay, Índice del Registro Civil, 1900-1937", database, FamilySearch ( : 14 November 2017), Anton Martin Vicente Salaverri Mantone, 1919.

Laurent Laloup le lundi 18 décembre 2017 - Demander un contact

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Mémoires de Domingo Lopez ("Survivant de Bir Hakeim")

A bord du HMS MOOLTAN, qui convoyait les Uruguayens vers l'Afrique en février 1942 :

"Pour manger, nous étions douze à chaque table ; nous nous répartissions un petit pain que nous devions diviser pour les quatre repas de la journée ; le pain donnait lieu à quelques incidents amusants, incidents qui se passaient entre les Uruguayens ZERPA et SALAVERRI.
Profitant d'un moment fortuit, aucun de nous n’étant présent, ZERPA arriva à voir, à demi caché, la moitié du pain, qui le tenta immédiatement. Quand il l'eut en sa possession il fit demi-tour et vit derrière lui SALAVERRI qui le regardait avec hostilité. ZERPA clignota ses yeux malicieux et dit « chut ne dis rien… et nous le partagerons ». « Il ne faut pas le partager, le pain est à moi » dit SALAVERRI".

"BOXE A BORD
On nous invita à intervenir dans un championnat de boxe organisé à bord par les soldats de la R.A.F. Nous acceptâmes avec les Uruguayens ZERPA, SALAVERRI, SEQUEIRA, le mexicain HIMACO, le martiniquais LOOR, nous mettant immédiatement à l’entraînement sous la direction du champion poids lourd amateur anglais. Après un peu d'entraînement ZERPA et SALAVERRI abandonnèrent. Nous restâmes fermes dans notre engagement".

Désignés pour Bir Hakeim
"Avec ZERPA et BOLANI nous fûmes désignés pour la. C L. 3 (cie lourde n°3), SALAVERRI, et l'argentin PARDO et d’autres pour la C.L. 2 et SEQUEIRA pour la 5 a. d'infanterie légère, restant de cette manière tous dans le même Bataillon n° 2 de la Légion Etrangère".

roumeguere le dimanche 17 décembre 2017 - Demander un contact

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www.revistahistoricarochense.com.uy 

" Montevideo era una fiesta. El 21 de setiembre de 1945 arribaron los combatientes uruguayos de Francia Libre a nuestro país. Una multitud de familiares y curiosos colmaba el puerto montevideano. “¡YA ESTÁN CON NOSOTROS! El pueblo recibió a los voluntarios que ayudaron a salvar la Libertad del Mundo” rezaba el matutino “El País” a cuatro columnas. “El Día” titulaba “Uruguayos, argentinos, paraguayos y chilenos que pelearon por un ideal regresan vencedores- Entre lágrimas de alegría y abrazos de sus familiares fueron recibidos los héroes”. “Cordial acogida le fue tributada a los veinte uruguayos que lucharon en África y Europa” titulaba a cuatro columnas y página completa el vespertino “El Plata” en su interior mientras que en tapa titulaba “Llegaron los voluntarios uruguayos”. Eran ellos el Capitán Jacques Duprey, los Sargentos Jefes Gregorio Martínez y Jorge Ricaud; el cabo jefe Pedro Milano, los cabos Anton Salaverri, Domingo López, Pedro Laborde, Jean Weill, Enrique Metivier y José Real de Azúa, los soldados Fulvio Zerpa, Vicente Gómez, Otto Uriarte, Luis Marenales, Héctor Errazquin, Moisés Graziani, Pedro Recarte, Víctor Guendler y José Hontivedo. Parte de los recién arribados habían combatido en la Primera División Francesa Libre y los restantes en la Legión Extranjera."

Laurent Laloup le vendredi 24 juin 2016 - Demander un contact

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ratonesdehangaraama.multiforos.es 



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Laurent Laloup le lundi 01 décembre 2008 - Demander un contact

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Dernière mise à jour le lundi 19 octobre 2020

 

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