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| Jean Pierre ou Iréné Emmanuel Rousseau | |
Naissance : 5 janvier 1921 - La Rochelle (17)
Activité antérieure : marin
Point de départ vers la France Libre : Metropole
Engagement dans la France Libre : en juillet 1940
Affectation principale : FNFL / fusiliers marinsVille d' Amiens, 1er BFM commandos Matricules : 5857 FN41
Grade atteint pendant la guerre et spécialité : matelot sans spé
Décès à 23 ans - 6 juin 1944 - Colleville (14)
Mort pour la France
Dans la liste de l'amiral Chaline : ligne 12707
Dans la liste d'Henri Ecochard V40 : ligne 45368 |
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Jean Pierre ou Iréné Emmanuel Rousseau - son Livre ouvert ! Matelot Jean Rousseau, le héros rochelais oublié Cette année, on commémore le 70e anniversaire du Débarquement. L’occasion de rappeler la mémoire du seul Rochelais tué le 6 juin 1944 sur les plages de Normandie
«Je suis sûr que je n'en reviendrai pas. » Ces quelques mots, Jean Rousseau les confia à un compagnon d'armes quelques jours avant le Débarquement. Il savait que, faisant partie de la première vague à mettre le pied sur la plage de Colleville-sur-Orne, tout près de Ouistreham, pour couvrir les autres, il y laisserait fatalement la vie. Il le savait et a sauté de la barge dès le signal.
Son officier Guy Vourc'h a raconté par la suite avoir vu une première rafale atteindre Jean Rousseau ...."
la suite en article payant sur laurent le jeudi 10 décembre 2015 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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Article dans Sud Ouest " «Les choses avancent », affirme Hervé Sinquin le responsable du musée du Bunker (1). Il milite pour réhabiliter la mémoire de Jean Rousseau, matelot rochelais tombé lors du Débarquement le 6 juin 1944 (notre édition du 31 janvier dernier). « La ville doit organiser bientôt une cérémonie. Ça ne colle pas exactement avec les 70 ans pour des raisons de calendrier, mais l'important c'est que ça se fasse. D'autre part, il est toujours question de donner à une rue le nom de Jean Rousseau. On attend les propositions de la ville. »
Tombé à l'âge de 23 ans sous la mitraille allemande alors qu'il venait juste de débarquer sur la plage de Colleville-sur-Orne avec le commando Kieffer, Jean Rousseau agonisa pendant des heures sans que ses compagnons qui devaient affronter un feu nourri puissent lui porter secours.
Jean Rousseau était enfant de la Rossignolette. Ses parents vivaient rue de Vaugouin lorsqu'il décida de s'engager dans la Marine marchande à 17 ans. Sa sœur Jacqueline Lamarque vit d'ailleurs toujours à La Rochelle. C'est elle qui a prêté au musée les courriers, photos et médailles du martyr rochelais du Débarquement." Jacques Ghémard le vendredi 06 juin 2014 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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Extrait de HISTOMAG 44, Mai-juin 2007 : téléchargeable ici
"Raymond Dumenoir, fidèle parmi les fidèles n’est plus, il était aux « commandos » depuis la création de l’unité, vétéran de Dieppe. « Pépé » a demandé qu’on le porte et qu’on l’étende vers Paris, et puis … Raymond Flesch, Jean Rousseau, ont également été abattus. Le frère de Flesch, comble du destin, se trouvait aussi en Normandie ce matin-là : dans l’armée allemande, où il avait été enrôlé de force comme beaucoup d’Alsaciens. Les commandos ont du débarquer avec de l’eau jusqu’au thorax. Les premiers mètres sont les plus éprouvants : le feu ennemi, le poids de la tenue gorgée d’eau, le sac bourré à craquer, l’armement, les munitions, le ressac, tout semble jouer contre les assaillants. Mais, Kieffer le leur a dit : « Courez vers les sorties de plage, quel que soit ce qui se passe autour de vous ». Alors c’est ce qu’ils font, Léon et ses copains, du mieux qu’ils le peuvent. Un camarade tombe, juste à coté, on ne se retourne pas, les infirmiers font ce qu’ils peuvent, ils sont partout à la fois. Une fois sorti de l’eau, on court, le plus vite possible, échapper aux tirs de mortier, dépasser cette fichue plage. Kieffer avait raison, plus on y reste, moins on a de chances de survie. Une vingtaine de commandos sont déjà hors de combat, le grand saut commence par un combat terrible et sans merci, de chaque côté" Laloup laurent le vendredi 11 janvier 2008 - Demander un contact La page d'origine de cette contribution Recherche sur cette contribution Réponse : La famille de Raymond Flesch m'informe qu'aucun de ses frères n'a combattu dans l'armée allemande.
Léon René Goujon dans son livre "Le jour J au commando no 4: les Français du débarquement" évoque "le grand Flesch, un Alsacien à qui la présence de son frère "Malgré nous" dans l'armée allemande posait des problèmes", mais les communications étant alors très limitées on peut penser que c'était seulement une possibilité qu'il évoquait et non une certitude. Il était probablement sans nouvelles de sa famille depuis plus d'un an.
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