André Rougeyron - Les Français Libres

Les Français Libres, de juin 1940 à juillet 1943

 
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André Rougeyron



Naissance : 22 septembre 1899 - Domfront (61)

Activité antérieure : liberal / cadre

Point de départ vers la France Libre : Metropole

Engagement dans la France Libre : Londres en décembre 1941

Affectation principale : Terre - Londres /

Décès à 68 ans - 27 décembre 1967 -

Dossier administratif de résistant : GR 16 P 522561

Dans la liste d'Henri Ecochard V40 : ligne 45286

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André Rougeyron - son Livre ouvert !
 

"... André Rougeyron cite les noms de Henri et René Barbier emprisonnés comme lui même dans les geôles du château de ducs en Août 1944.
Henri Barbier, le parisien arrivé dans la matinée du 9 Août au matin, était le propriétaire d'un bar situé prés de la Bourse et dont il avait fait un siège de la résistance. Recherché par les Allemands à différentes reprises, il avait quitté son domicile et décidé d'aller à la rencontre des troupes alliées. Arrivé le 1er à Alençon n'y connaissant personne, il était malencontreusement descendu dans un grand hôtel le plus boche de la ville. Donné par la fille de salle, il avait été arrêté le 2 vers 17 heures par Bertaud, Perrin et consorts ... Hildelbrandt (chef de la gestapo dans l'Orne) aidé par la frau Mûller avait réussi à l'identifier ..."

Occupation-39-45.blogspot.com 

Laurent Laloup le lundi 10 janvier 2022 - Demander un contact

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NATIF DE DOMFRONT

Bonjour,
Je suis né à Domfront, mes parents y habitent.
J'ai fait la connaissance de Bernard Desgrippes.
Il œuvre admirablement pour le pays Domfrontais.
Son dernier ouvrage en est un formidable exemple.
Bien cordialement.
Dominique Guérin

Dominique GUERIN le vendredi 22 janvier 2021 - Demander un contact

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Réponse :

En cherchant un peu, je comprends le lien ...

" Le Pays Bas-Normand vient de publier un livre : « Entre ciel et terre » écrit par Bernard Desgrippes, retraçant l'histoire d'André Rougeyron, ancien maire de Domfront (Orne)"


AGENTS D'EVASION NOTES DE GUERRE

ANDRE ROUGEYRON 1947



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Laurent Laloup le vendredi 20 novembre 2020 - Demander un contact

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En 1944, un avion américain Liberator a été abattu par la DCA allemande installée au lieudit le Parc, à Bernières-le-Patry.

"...DEUX RESCAPÉS DANS LA TOURMENTE
Revenons à nos deux aviateurs regroupés depuis deux jours à Tinchebray. Le docteur Ledos multiplie ses recherches dans la région de Flers, aucun résultat. Il passe au presbytère de Chanu,voir son ami, l'abbé Jamet, qui ne connaît aucun abri sûr.
Mais il conseilla d'aller voir Yvette Dubocq à Beauchêne, cette demoiselle était une grande résistante depuis la première heure. Elle habitait une propriété au lieu-dit "le Calvaire", situé sur le côté gauche de la route de Tinchebray à Domfront, à environ un kilomètre du carrefour du Biot.
Je donne une précision : mademoiselle Dubocq est décédée début août 1982 à l'âge de 77 ans ; après la messe en l'église Notre-Dame de la Paix, sa dépouille recouverte de nombreuses décorations françaises et alliées, escortée d'une forêt de drapeaux (peut-être une centaine) a été conduite au cimetière de Beauchêne.
Rarement des obsèques (auxquelles j'assistais) ont été célébrées dans un tel recueillement.
Beaucoup de participants pleuraient. Sur sa maison, une plaque commémorative rappelle la conduite héroïque de cette résistante pendant la guerre.
Un exemple, le 2 août 1944, le rez-de-chaussée de sa demeure était occupé par des troupes d'élites d'unités allemandes. Au premier étage, c'était le refuge des aviateurs américains. Rien de fâcheux n'est arrivé. "Ce jour-là, Dieu était français".
Aux supplications du médecin, sans hésiter, cette femme de courage et sa compagne Jeanne Cochin, au péril de leur vie, acceptent d'héberger les deux Américains. Elles les habillent convenablement, avec l'aide d'un industriel de Flers, Pierre Leportier.
Malgré la pénurie et les tickets de rationnement, une bonne nourriture est servie. Ils seront gâtés, nous l'apprendrons longtemps après.
Des faux papiers leur sont procurés, pour les protéger des contrôles. Les Allemands devenant très menaçants, surtout qu'un avion "Stirling" de la R.A.F. victime comme tant d'autres de la D.C.A. de Bernières, a été abattu le 9 mai 1944 à Saint-Jean-des-Bois. Les 7 occupants seront sauvés et recueillis par des cultivateurs et des forestiers de la région de Ger. Après bien des difficultés, André Rougeyron, de Domfront, qui était un des chefs de la résistance du département de l'Orne, les transporta à son domicile, au nez des Allemands.
Le 15 mai, tout est au point pour faire repasser tous les aviateurs vers l'Angleterre, par une base clandestine de rapatriement fonctionnant par intermittences dans le secteur de Saint-Brieuc.
Un message codé à la Résistance provoque une grande déception, il annonce que les Alliés n'effectuent plus le rapatriement des aviateurs, le débarquement étant proche et le danger étant trop grand. Une dure nouvelle pour ceux qui ne désirent qu'une chose : reprendre le combat pour nous libérer !"

www.ehamel.fr 

Laurent Laloup le vendredi 22 novembre 2019 - Demander un contact

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"André Rougeyron est né à Domfront en 1899. Pilote d’avion dans l’Armée de l’air pendant la Première Guerre mondiale, il fonde son propre cabinet d’expertise automobile et industrielle dans l’Entre-deux-guerres. Pendant l’Occupation, sa principale contribution à la Résistance a été de fournir des renseignements militaires sur les installations allemandes dans la Manche, l’Orne et la Mayenne. Il a également caché des aviateurs alliés abattus au-dessus du sol français, activité très risquée qu’il a pu mener à bien grâce à la complicité de nombreux proches. En août 1944, il est arrêté par la police allemande et déporté à Buchenwald. A son retour, il reprend son cabinet d’expertise automobile et industrielle et devient maire de Domfront du 20 mai 1945 au 18 mars 1959. Il décède le 27 décembre 1967 dans un accident de la route.
André Rougeyron a été nommé Chevalier puis Officier de la Légion d’honneur, il a reçu les médailles de la Résistance, des Evadés, des Déportés, de la Reconnaissance Française, de la Résistance Belge, de l’ordre de l’Empire Britannique. Il a aussi reçu les croix du combattant volontaire de la Résistance, des Forces françaises libres, du combattant 1914-1918 et 1939-1945. Il a enfin été récompensé de la médaille de la liberté avec palmes de bronze et de la croix de la guerre avec étoile d’argent."

www.ego.1939-1945.crhq.cnrs.fr 

Laurent le jeudi 28 janvier 2016 - Demander un contact

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Andre Rougeyron

www.crd2008.com 

Laurent Laloup le dimanche 05 octobre 2008 - Demander un contact

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www.textbookx.com 

Description:
"The only merit of this book - and I insist on it - is that it is true, true from beginning to end. And this, you see, is definitely something!" So writes Andre Rougeyron in the Preface of his memoir, displaying a hint of the passion that undoubtedly accounted for his heroism in France and Germany during World War II - and displaying too his own modest self-regard. His chronicle of the years spent rescuing downed Allied airmen in France and consequently enduring German labor camps remains focused throughout on others. A myriad of individuals - both named and unnamed - and their sufferings and triumphs small and large suffuse his story. His portrait of Normandy under occupation and his descriptions of life and death in the labor camps add important new information to current understanding of how French resisters and the camps operated. Equally significant and also fascinating is his evocation of people from diverse backgrounds brought together under unbearably trying circumstances.

Selected Reviews:
"The day-to-day bluff and initiative needed for the successful hiding and repatriation of obvious strangers who spoke no French are presented by Rougeyron with panache and modesty...in a straightforward narrative, impassioned by flashes of hatred and contempt for the 'Boches' (Germans)."
--H.R. Kedward, Times Literary Supplement

Laurent Laloup le dimanche 23 septembre 2007 - Demander un contact

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Andre Rougeyron's home in Domfront

"Credited with having shot down one enemy fighter, Paul McConnell is helped by a forester in the Andaine Forest. He spends a few days in hiding at the "Ermitage", a manor situated North of Juvigny -sous-Andaine and then he is taken in charge by Andre Rougeyron. It is at this time that he is reunited - unexpectedly - with another crash survivor, William Howell. Young machine gunner Howell, hastily dressed as a boy-scout, sporting a Basque beret and carrying a basketful of vegetables for the sake of the cause, arrived at the "Chalet du Brouillard" (Andre Rougeyron's home in Domfront) in a horse drawn carriage. With the help of some Calvados, he endures without complaints the extraction of schrapnells from his back."


www.ansa39-45.fr 

Laurent Laloup le dimanche 23 septembre 2007 - Demander un contact

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" Alors que Debenest a sans doute atteint les limites de la résistance physique et morale, vient le moment du transfert vers un autre camp. Nous sommes en Avril 1945. Le Reich s’effondre, les Alliés envahissent l’Allemagne, le chaos s’installe. Le train qui évacue les déportés vers Bergen Belsen est bombardé en gare de Celle. Debenest s’évade en compagnie d’un résistant normand, André Rougeyron. Après avoir erré dans les bois pendant deux semaines, ils sont finalement sauvés par l’avant-garde de l’armée britannique de Montgomery et rapatriés en France. "

www.crrl.com.fr 

Laurent Laloup le dimanche 23 septembre 2007 - Demander un contact

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Agents for Escape: Inside the French Resistance, 1939-1945

www.amazon.fr/ 

" From Publishers Weekly
Privately published in France in 1947, this memoir by a self-effacing resistance hero offers continuous suspense and excitement. Rougeyron, an auto engineer living in Normandy, risked his life throughout the war rescuing downed Allied airmen, supplying them with clothes and identity papers and launching them down the underground escape pipeline. Caught by the Gestapo in 1944, he was charged with Feindsbegunstigung (abetting the enemy) and sent to the Buchenwald concentration camp. With verve and even humor, he tells the story of his struggle to survive and his spectacular escape during the camp's evacuation. Wearing prisoners' striped pajamas, his head shaven, unable to speak German and ignorant of local topography, he managed to evade capture and starvation until he made contact with advancing British troops. Rougeyron's jaunty narrative voice and powers of description add a fresh perspective on the resistance in Normandy at the time of the D-Day landings and on conditions at Buchenwald during the final months of WWII. He died in 1967 at the age of 68. Illustrated.
Copyright 1995 Reed Business Information, Inc.

From Library Journal
Both of these works join a growing body of literature on the French Resistance (see, for example, Claire Chevrillon's Code Name Christiane Clouet: A Woman in the French Resistance, LJ 5/1/95). Rougeyron's memoir, first published privately in 1947, recounts his experiences rescuing downed Allied airmen in France during the war years. An auto engineer and experimental race car driver before the war, he joined the Resistance after the Nazi occupation and organized a network of resisters who rescued, sheltered, and assisted British and American flyers. Rougeyron's memoir is translated by the wife of the first Allied airman whose escape he facilitated. In marked contrast to Rougeyron's personal story is Weitz's scholarly account, the first to research women's roles in the Resistance in a thorough and comprehensive way. In addition to utilizing the limited archival information available, Weitz (humanities and modern languages, Suffolk Univ.) has relied on interviews with more than 70 survivors of the Resistance, primarily women. Weitz places their dangerous and in many ways nontraditional activities against the backdrop of the Vichy regime's antifeminism and stresses the opportunities afforded by the Resistance for women both to change roles and to assume new roles in French society. She painstakingly demonstrates that women's presence in the Resistance was much greater than was believed or known at the time. Both works are recommended for specialists in the field.?Marie Marmo Mullaney, Caldwell Coll., N.J.
Copyright 1995 Reed Business Information, Inc. "

Laurent Laloup le dimanche 23 septembre 2007 - Demander un contact

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Dernière mise à jour le lundi 10 janvier 2022

 

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