| |  | | | | Un Français Libre parmi 62914
| | | Jean Richard | |
Naissance : 12 octobre 1908 - Le Mans (72)
Activité antérieure : liberal / cadre
Point de départ vers la France Libre : Metropole
Engagement dans la France Libre : Londres en juillet 1940
Affectation principale : FAFL /
Grade atteint pendant la guerre et spécialité : adjudant
Dossier administratif de résistant : GR 16 P 509507
Dans la liste d'Henri Ecochard V40 : ligne 44271 |
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Jean Richard - son Livre ouvert !
Médaille commémorative des services volontaires dans la FRANCE LIBRE Médaille commémorative des services volontaires dans la FRANCE LIBRE
Attribuée à Jean RICHARD 
RICHARD Philippe le jeudi 07 mars 2019 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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vente 2012  " France LIBRE: Ensemble de documents et insignes et médailles ayant appartenu au sergent-chef pilote Jean Francisque RICHARD des FAFL (France, 1940-1945) Jean Francisque Richard est né au Mans le 12 octobre 1908. Journaliste de formation, il devance l'appel en 1928, obtient son brevet militaire de pilote d'avion la même année. Mobilisé en 1939 moniteur au Mans à l'école de pilotage n°23, il passe en Grande-Bretagne le 17 juin 1940 avec l'ensemble des élèves à bord d'un langoustier de Douardenez (photo jointe au dossier). Il est affecté à la radio de Brazzaville puis à Accra. Il créé et dirige ensuite le journal «France d'abord», participe en 1942 et 1943 aux opérations militaires du Fezzan, de la Tripolitaine et de Tunisie comme correspondant de guerre. D'août 43 à 44 il est le rédacteur en chef du journal «AEF», puis il rejoint en 1944 la base aérienne d'Alger. Il sera ensuite le chef du service de presse du ministère de la justice puis fera carrière dans des quotidiens, au Figaro en particulier. Le lot est composé d'environ une trentaine de documents relatifs à sa carrière militaire, laissezpasser, ordres de missions, nominations, certificats etc.... et de lettres de félicitations pour sa Légion d'honneur reçue en 1960. Certains des documents sont encadrés dans un sous-verre moderne en même temps qu'un morceau d'entoilage d'un avion allemand abattu en avril 1943, de la photo des pilotes de l'école de pilotage n°23 fuyant sur un bateau en juin 1940 et de ses décorations, la Légion d'honneur, la médaille coloniale avec barrettes «Afrique française libre, 1942 Tunisie 1943, Fezzan, Tripolitaine», et la médaille de la Résistance. On joint son brevet de pilote en métal et deux insignes de la France libre. Bon état."
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Laurent Laloup le mardi 12 février 2019 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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Brazzaville Photo de Jean Francisque Joseph RICHARD (à gauche), de sont vrai nom, mon grand-père paternel. Ci-joint une photo de Brazzaville, avec un collègue ou amis.
Si des personnes encore de ce monde !, le connaissait, je serais ravi d'un contact pour des échanges.
Pour répondre à Mr François ROYER, pour le complément, il a fini Sergent en fin de Guerre.
A bientôt. 
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RICHARD Philippe le samedi 05 mars 2016 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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dedicace bonjour
j'ai acheté "Itinéraire pour une Victoire" en brocante et ce livre est dédicacé par l'auteur a mr Georges Bidault
cordialement Laurent sautereau laurent le dimanche 09 mars 2014 - Demander un contact Recherche sur cette contribution Réponse : "Dans un style imprégné de propagande gaulliste hérité de ses missions de correspondant de guerre, le récit de Jean Richard n'en n'est pas moins celui d'un authentique résistant de la première heure. Elève à l'école d'aviation de Morlaix, il s'embarque avec une centaine de camarades sur le Trébouliste, célèbre pour avoir été l'un des premiers bateaux à accoster sur les côtes anglaises le 19 juin 1940. Accueillis à bras ouverts par la population, les Français sont dirigés vers le camp de Trentham Park, puis vers le camp d'aviation de St Athan (Pays de Galles).
Nommé secrétaire à l'état-major de l'armée de l'Air à Londres le 15 août, Jean Richard s'ennuie dans ce poste de bureaucrate et demande son affectation à Brazzaville où il arrive le 24 décembre 1940. Avec "une jeunesse prête à sacrifier sa vie pour garder à l'avenir du monde le don superbe de liberté" (70), l'auteur, affecté dans un premier temps au poste national de Radio-Brazzaville, rejoint la colonne Leclerc lors de la deuxième campagne du Fezzan en novembre 1942. En journaliste professionnel, il mêle à la description des combats des entretiens avec des soldats et des officiers. Les hommes de Leclerc remportent la plupart des combats face à une armée italienne en déroute. Jean Richard fait la part belle à ses compatriotes, évoquant "les artilleurs ignorant le risque" et "l'attitude des chefs confiants dans leurs unités" (177). La dernière bataille à Ksar Rhilane (Tunisie) revêt un caractère symbolique puisqu'elle oppose victorieusement la colonne Leclerc aux troupes aguerries de Rommel. De Tunis, l'auteur rejoint ensuite Tripoli sans que le lecteur ne soit informé de ses nouvelles missions. L'épilogue se situe à Paris où Jean Richard revient en septembre 1944, pensant à ses camarades de Morlaix dont beaucoup sont morts au combat."
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Engagement FAFL RICHARD Jean
né le 12 octobre 1908 (pas de lieu indiqué)
Engagé FAFL à Londres, pour compter du 1er août 1940, avec le grade de sergent pilote et le matricule 30.362.
Démobilisé et affecté au personnel civil en AEF à compter du 31 octobre 1940.
Ancien du Trébouliste, a écrit un petit livre sympathique, intitulé "Itinéraire pour une victoire" (Laboureur et Cie 1945) Yves MORIEULT le jeudi 18 février 2010 Recherche sur cette contribution | |
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complément né au mans
1928 breveté pilote d'avion
1939 affecté au 131 bataillon de l'air
engagé à londres en juillet 1940
démobilisé 2 octobre 1945
grade atteint pendant la guerre inconnu françois royer le samedi 05 décembre 2009 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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"Une modeste aventure dans la grande tourmente" de Jean Guillot "Tous les soirs ou presque, nous nous retrouvions avec mon ami de cette guerre et d'après : Jean Richard, journaliste à L'Aube avant la débâcle puis au Figaro après la guerre et comme moi, échappé de France avec l'Ecole de Pilotage numéro 23 dont il était l'un des moniteurs. (Dès le début de 1941, Jean Richard,après notre aventure africaine dont nous parlerons plus loin, joignit l'armée du Tchad). Nous dînions au sous-sol du Lyons de Picadilly, immense salle très bien disposée et confortable où nous mines très vite connus et traités avec beaucoup d'attention." Laurent Laloup le lundi 16 février 2009 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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www.francaislibres.net
"Voici une liste incomplète de quelques uns de ceux (sur environs 250) qui sont parti en cette fin juin 1940 de Saint Jean de Luz et de Bayonne.
A bord de L'ARRANDORA STAR - 24 juin 1940 vers Liverpool
BAUER Jean-Pierre
Béasse, Claude (ref )
BERAUD
BORNEUF Raoul
BOUDIER Miche!
BUIRON Jean
BRISSET Achille
DANIELO Gaston
DERVILLE Raymond
GUIGNARD Jacques
LAURENT Pierre
Leblond, Roland
Lebian, René
LEPAGE Henri
Léon, Gérard
MAILFERT Maurice
MARIDOR Jean-Marie
MARTIN-PRUDHOMME Jacques
MELIN
REVEILHAC Jean
RICHARD
ROUSSELET
TRAISNEL Maurice
VIDAL
ZISKIND Roger " Laurent Laloup le dimanche 01 février 2009 - Demander un contact La page d'origine de cette contribution Recherche sur cette contribution | |
Dernière mise à jour le jeudi 07 mars 2019 Vous pouvez à tout moment obtenir la rectification des données, vous concernant, inscrites dans cette base qui est déclarée sous le n° 1137942 auprès de la Commission Nationale Informatique et Liberté  |
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