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| Jean Jules Marie Redor | |
Naissance : 21 décembre 1919 - Pont-Saint-Martin (44)
Point de départ vers la France Libre : Metropole
Engagement dans la France Libre : en février 1941
Affectation principale : FNFL / marine de guerreRoyal Air Force, groupe Lorraine Matricules : 1373 L37 RAF 791074
Grade atteint pendant la guerre et spécialité : second maître pilote aéro
Décès à 21 ans - 20 décembre 1941 - Libye
Mort pour la France Une 2e page à son nom sur Mémoire des Hommes
Dossier administratif de résistant : GR 16 P 503052
Dans la liste de l'amiral Chaline : ligne 12261
Dans la liste d'Henri Ecochard V40 : ligne 43811 / ligne 44808 |
Contribuez à son livre ouvert !Ouvert à tous pour exprimer vos sentiments, évoquer vos souvenirs, préciser son parcours, sa vie, poser des questions, citer des livres, des articles, des sites, déposer des documents, photographies, ... | | |
Jean Jules Marie Redor - son Livre ouvert ! Il est l'un des 123 FAFL disparus sans sépulture dont le nom figure désormais sur la stèle commémorative du Tréport inaugurée en juin 2022.
Sa notice biographique et les circonstances de sa disparition ainsi que l’historique du projet de la Stèle, mené par l’Association pour la mémoire des FAFL, sont consultables sur le site de la Fondation de la France libre à l’adresse suivante :
Des photos de la stèle sont consultables sur le site « Aérostèles » :
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Fred Bentley le samedi 30 juillet 2022 - Demander un contact La page d'origine de cette contribution Recherche sur cette contribution | |
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Stage de pilotage Le second maitre Redor à effectué son stage de pilotage Hurricane à la 70é "operational Training Unit" d'Ismaïlia de mai 1941 à juillet 1941.
Source : l'aéronautique navale française au Royaume Uni, JM Commeau, 2000, ARDHAN, p. 114 Alain Le Coz le jeudi 13 avril 2017 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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Extrait de "Cap sans retour" de G. L'Herbier Montagnon "24 février.
« J'ai retrouvé la France, une France bien petite, mais qui éclate de dynamisme et d'entrain. A Haïfifa, je suis dans une French Flight, la deuxième. Nous sommes 15 pilotes ; bientôt, nous formerons à tous un groupe de chasse pour. partir en Grèce. L'impatience est générale ; on nous a promis des "Hurricane".
« J'ai changé sans transition, et cette révolution fut heureuse autant qu'espérée. Il y a quelques semaines, je menaçais de pourrir dans une lâche médiocrité, à l'abri de tout risque, sûr de ma chance, j'abandonnais mes rêves, mes ambitions, jusqu'à mes souvenirs...
« J'ai failli crever ! Je suis parti malgré "eux". "Eux", tous ceux qui ne veulent plus se battre, ces pauvres gens qui depuis longtemps ont abdiqué par souci du confort, par frousse.
« Nos Chefs !
« Ils nous offraient d'étouffer qui menaçait leur rang, leur place... Ils nous épiaient, ils avaient peur de nous, instituant leur petite Terreur...
Paques.
« Ce matin, j'ai entendu à la radio un peu de l'office latin. Je voyais par la fenêtre un coin de Palestine, l'ensemble de ces monts qui cachent Nàzareth, Tibériade. Mais c'est chez nous que j'étais. Les chœurs de Schola, ces partitions d'orgue me firent évoquer le pays.
« J'ai rêvé naïvement, dans un film trop rapide, je distinguais ces figures qui jalonnent mon enfance.
« Beaucoup s'étonneraient de ma vie présente. Certains ne pourraient comprendre cette évasion brutale hors de la zone qu'ils m'avaient construite. Ma situation présente, en marge de ce qui fut notre "normal" (routine qui commençait d'appauvrir notre ambition) me révèle, malgré ses libertés, en tout semblable au gamin que j'étais. Je connais, et je vis autant que ma fièvre imaginait à quinze ans. Aujourd'hui, je me suis affranchi, sans perdre de mes biens ».
J. redor." Laurent Laloup le dimanche 27 avril 2008 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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"Promu capitaine en novembre 1941, Maurice du Boisrouvray demande à rejoindre son unité qui s'appelle désormais le Groupe de bombardement "Lorraine" équipé de Bristol Blenheim. Affecté à la 2e escadrille, il est choisi par le commandant Corniglion-Molinier comme navigateur. Ils font ensemble une série de missions, attaquant les colonnes de blindés allemands et les positions italiennes.
Le 20 décembre 1941, il part avec un nouvel équipage (sergent-chef pilote Jean Redor et sergent-chef mitrailleur Jean Perbost) pour une mission de bombardement d'une colonne de blindés allemands au sud de Benghazi. Son avion est abattu par la chasse allemande lorsqu'il arrive sur l'objectif et disparaît en mer. "
www.ordredelaliberation.fr Laloup laurent le jeudi 23 août 2007 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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- Février 1941 : Affectés à l’escadrille 19S de Tripoli au Liban, le SM pilote Jean REDOR et le SM photographe Valentin LEGRIS, s’évadent à bord d’un Loire 130 et rallient Chypre. Tous deux s’engagent dans la RAF. Le SM REDOR périra le 20 décembre 1941 à bord d’un bombardier Blenheim au dessus de la Libye.
www.postedeschoufs.com Laurent Laloup le lundi 09 juillet 2007 - Demander un contact La page d'origine de cette contribution Recherche sur cette contribution | |
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