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| Paul François Jean Quélen | |
Naissance : 13 juin 1920 - Morlaix (29)
Activité antérieure : étudiant / scolaire
Point de départ vers la France Libre : Metropole
Engagement dans la France Libre : Londres en juillet 1940
Affectation principale : FAFL / parachutistes
Grade atteint pendant la guerre et spécialité : lieutenant
Décès à 50 ans - 17 avril 1971 - Neauphle-le-Vieux (78)
Dossier administratif de résistant : GR 16 P 494618
Dans la liste d'Henri Ecochard V40 : ligne 43030 |
Contribuez à son livre ouvert !Ouvert à tous pour exprimer vos sentiments, évoquer vos souvenirs, préciser son parcours, sa vie, poser des questions, citer des livres, des articles, des sites, déposer des documents, photographies, ... | | |
Paul François Jean Quélen - son Livre ouvert ! Né le 13 juin 1920 - rue Gambetta 33 - Morlaix, 29600, Finistère, Bretagne, FRANCE
Décédé le 17 avril 1971 - Neauphle-le-Vieux, 78640, Yvelines, Île-de-France, FRANCE Laurent Laloup le dimanche 06 novembre 2022 - Demander un contact Recherche sur cette contribution Réponse : Dans les notes : Adopté par la nation le 26/07/1929 (TC Brest). / Marié à Morlaix le 27/09/1945 à Germaine Louise Yvonne COAT. / Marié à Guimaëc le 23/07/1954 à Jacqueline REDOU.
Son père est mort le 19 octobre 1932 à Morlaix, à l'âge de 41 ans, donc il était encore vivant lors de l'adoption de son fils par la nation !!!
Je lis "L’adoption par la Nation était initialement réservée aux orphelins de guerre ou aux enfants des invalides ou des mutilés qui ne pouvaient plus, du fait de cette infirmité, assurer leur entretien."
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Mon oncle très estimé Mon oncle était quelqu'un de jovial, avec une forte personnalité. Après avoir été résistant, un monument retrace son parcours à Saint-Jean du Doigt et un autre dans la vallée du Douron , il a été ensuite administrateur civil dans les anciennes colonies puis directeur d'hôpital à Madagascar, puis à Morlaix, et à Créteil . Il est décédé avec sa femme Jacqueline née Redou et un de ses enfants encore petit dans un accident de voiture fin des années 1960. Il repose avec sa femme, le petit Pierrick et l'ainé de ses enfants Paul au cimetière de Guimaec dans la concession de mon grand-père Jean-Marie Redou, officier de La Légion d'honneur et de sa femme. Gadbin le dimanche 09 février 2020 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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Je suis l'arrière petite fille de (Catherine)Francine QUÉlEN née à Morlaix elle était cousine de Paul Quélen. Ma grand mère Jeanne MARTIN fille de Francine m'a souvent parlé de Paul mais aussi de son frère Jean. Ils avaient tous les deux répondu à l'appel du Général de Gaulle. L'un est décédé dans la région de Brest. De mémoire Paul a eu un poste à responsabilité dans les colonies il aurait trouvé la mort dans un accident de voiture avec sa femme et au moins un enfant dans les Yvelines. ALEXANDRE Maryse le dimanche 12 juillet 2015 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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Bonsoir,
Je me permets effectivement de vous contacter car je réalise des recherches sur les anciens SAS et je suis auteur d'un livre et d'un site (FFLSAS) sur le sujet.
Je recherche effectivement des copies des photos prises à Carantec.
Je serais très heureux de pouvoir échanger avec vous. Merci de me contacter via mon site
Cordialement,
David PORTIER David le mardi 20 septembre 2011 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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Je suis un des neveux de Paul Quelen, son épouse Germaine COAT, soeur de ma mère, décédée à 33 ans, laissant 4 jeunes enfants : Paul, Denise, Anne Marie et Hervé était ma marraine. J'ai quelques copies de photos de la libération de Carantec par mon oncle et son groupe que je tiens à la disposition pour envoi par mail. Méar François le mercredi 18 août 2010 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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Feux et lumière sur ma trace (Faits de guerre et de paix) du Colonel Pierre Chateau-Jobert " Je fus aussi surpris que tout autre, le 6 juin (1944) au matin, d'apprendre que le débarquement des Alliés était en cours d'exécution en Normandie, et très étonné également de savoir que le gros du 2e SAS (quatre cents hommes environ) avait été largué dans la nuit eur le Morbihan. Le secret des opérations était bien conservé : chacun ne connaissait que ce qui le concernait personnellement.
Peu de temps après, mes deux premières équipes furent parachutées dans le Finistère, le lieutenant Tupé-Thomé dans la région de Plougastel-Landerneau, et le lieutenant Quélen près de Morlaix dont il était originaire comme moi-même." Laurent Laloup le dimanche 24 mai 2009 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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" Les S.A.S feront jonction avec les F.F.I du "Maquis de St-Laurent" à Plouegat-Guérand et ceux du mouvement "Libération Nord".
Les D.Z se situent respectivement à:
- Derry 1 : Ploudaniel -sticks Cne Sicaud, S/lt Duno,S/lt Rosset-, Lanhouarneau- stick S/lt Puydupin (Trofagan), vers Gouenou -stick S/Lt Gourkow-
- Derry 2 : St-Jean du Doigt -stick Lt Quelen-
- Derry 3 : Langristin-Kerneis à proximité de Plouvenez-Lochrist --stick S/lt Anspach- à cause d'une erreur de navigation due aux tirs de D.C.A et Lesneven, St-Urbain (Runaher) -stick Lt Tupet Thomé- à cause d'une erreur de largage de 10 kms environ par rapport à la D.Z prévue."
souvenirsas.ifrance.com Laurent Laloup le vendredi 20 juin 2008 - Demander un contact La page d'origine de cette contribution Recherche sur cette contribution | |
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