| | | | | Un Français Libre parmi 62906 | | | André Pêtre | |
Naissance : 12 décembre 1910 - Thio, Nouvelle Calédonie
Activité antérieure : liberal / cadre
Point de départ vers la France Libre : Pacifique/Indien
Engagement dans la France Libre : Nlle Caledonie en aout 1940
Affectation principale : Terre DFL - Moyen Orient / BIMP
A participé à la bataille de Bir Hakeim
Grade atteint pendant la guerre et spécialité : sous-lieutenant
Décès à 90 ans - 17 juin 2001 - Nouméa, Nouvelle CalédonieFrère de René Pêtre
Dossier administratif de résistant : GR 16 P 472465
Dans la liste de Bir Hakeim : ligne 1064
Dans la liste d'Henri Ecochard V40 : ligne 41267 |
Contribuez à son livre ouvert !Ouvert à tous pour exprimer vos sentiments, évoquer vos souvenirs, préciser son parcours, sa vie, poser des questions, citer des livres, des articles, des sites, déposer des documents, photographies, ... | | |
André Pêtre - son Livre ouvert ! Quelques éléments sur la carrière civile
- André Petre est nommé juge suppléant dans le cadre de la magistrature coloniale (Décret du 24 janvier 1945, Bulletin officiel du Ministère des colonies).
- André Petre est nommé juge suppléant dans le ressort de la cour d’appel de l’Afrique équatoriale française (arrêté du garde des sceaux, ministre de la justice et du ministre des colonies du 17 mai 1945, Bulletin officiel du Ministère des colonies).
- Nomination comme substitut à la suite du procureur de la République près le tribunal de 3e classe de Papeete (arrêté du garde des sceaux, ministre de la justice et du ministre des colonies du 18 octobre 1945, Bulletin officiel du Ministère des colonies). RNI le vendredi 20 novembre 2020 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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Extrait du dossier individuel de résistant
Père : Justin Marius Pêtre, chef du service de la censure à Nouméa.
Mère : Léonie Emilia Anna.
Célibataire.
Titulaire d’une licence en droit.
A le permis de conduire.
Langue connue : Anglais.
Magistrat, résidant à Nouméa.
Engagé au titre de l’armée de terre pour la durée de la guerre dans les Forces Françaises Libres (FFL) le 3 mai 1940 à 06:00 à Nouméa.
Son parcours est très parcellaire.
Sa disparition date du 11 juin 1942. André Pêtre est interné en Italie, au camp de Sulmona (Abruzzes) jusqu’au 13 septembre 1943, date de son évasion. André Pêtre rejoint les lignes anglaises sur le « Bieferno » le 29 octobre 1943. Nommé sous-lieutenant à titre temporaire le 21 décembre 1943, il rejoint le BIMP en Afrique du Nord en janvier 1944. Il sert à l’état-major du 2e corps d’armée (CA) jusqu’au 13 mai 1944, date à laquelle il est réaffecté au BIMP comme officier de liaison. Dans ce cadre, il est à nouveau promu sous-lieutenant à titre temporaire (à compter du 21 décembre 1943). RNI le vendredi 20 novembre 2020 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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Le Petre cité dans l'ouvrage de François Broche n'est pas André Pêtre car l'intéressé est sous-lieutenant lors de son engagement. RNI le vendredi 20 novembre 2020 - Demander un contact Recherche sur cette contribution Réponse : Pourtant ci dessus vous écrivez "Nommé sous-lieutenant à titre temporaire le 21 décembre 1943" et comme le récit de Broche concerne probablement 1940 ou 1941, le grade de sergent parait réaliste
La liste des présents à Bir Hakeim lui donne le grade d'aspirant en ce mois de juin 1942
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André PÊTRE
•Né le 12 décembre 1910 (lundi) - Thio - Nouvelle Calédonie, , , ,
•Décédé le 17 juin 2001 (dimanche) - Nouméa - Nouvelle Calédonie, , , ,, à l'âge de 90 ans
•Magistrat Laurent Laloup le jeudi 22 août 2019 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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Source : AVEC LA 1ère DIVISION FRANCAISE LIBRE DU PREMIER AU DERNIER JOUR DANS LES RANGS DU 1er BATAILLON D'INFANTERIE DE MARINE (B.I.M.) ET DU BATAILLON D'INFANTERIE DE MARINE ET DU PACIFIQUE (B.I.M.P.) 1940 – 1945 Récits Souvenirs Témoignages
"... C'est une grande période de réorganisation de la division. Tous les Africains des Bataillons de Marche sont remplacés. N'ayant jamais connu d'hiver, ils ne tiendraient pas le coup avec le froid. Il en est de même des éléments Tahitiens et Calédoniens qui restent du Bataillon du Pacifique et qui étaient avec nous au B.I.M.P. C'est avec regret que nous voyons ces bons camarades de combat nous quitter. Ils ont donné un exemple de fidélité à la France rarement égalé. Une France qu'ils n'avaient jamais connue, sinon par les manuels scolaires et à laquelle rien ne les rattachait. Leurs îles s'étaient ralliées au général de Gaulle dès 1940 et un bataillon de volontaires avait été formé. J'ai connu à ce bataillon le soldat de 1ère classe Offlaville, engagé volontaire à 50 ans, servant avec ses deux fils, l'un caporal, l'autre caporal-chef.
J'y ai connu également les deux frères Petre et tant d'autres. Ils nous quittèrent donc et s'en furent à Paris où ils assurèrent différents services de garnison mais pour eux la guerre était terminée. Quand survint la fin de la guerre, on aurait pu penser, eu égard aux services rendus et aux sacrifices consentis et sur leur demande pressante, qu'une des premières choses à faire aurait été de les rapatrier, de leur permettre de retrouver leurs familles dont ils étaient séparés depuis si longtemps mais, hélas, les choses traînèrent en longueur et tous les prétextes furent bons pour toujours retarder leur embarquement. Ce n'est que de longs mois après la fin de la guerre qu'ils purent retrouver leurs familles et leurs îles.
Il me souvient d'être allé rendre visite, à la caserne de la Tour Maubourg, à l'adjudant-chef Petre qui se morfondait là. Il était amer et il eut des paroles dures ... "Souvenez-vous ! La France peut encore un jour être mal prise, mais ce jour-là, les Calédoniens ne viendront plus." J'en étais peiné et pourtant je le comprenais. Pour les faire venir au casse-pipe, on avait bien trouvé un bateau, mais pour les rapatrier, on n'en trouvait plus... Il fallut attendre 1946 !..." laurent le dimanche 03 janvier 2016 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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Décret du 25 février 1946 portant attribution de la médaille des évadés avec citation à l'ordre de la division entraînant le droit au port de la Croix de guerre (JORF du 26 mars 1946 - )
(Source : Yves MORIEULT) Laurent le dimanche 29 novembre 2009 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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LE BATAILLON DES GUITARISTES , de BROCHE Francois " Les Tahitiens ne prêtèrent pas beaucoup d'attention à cette horrible histoire. Ils étaient bien trop préoccupés par la fête traditionnelle du passage de la ligne qui devait avoir lieu le lendemain après-midi, sur le pont-promenade. Les responsables de la conduite des opérations étaient déjà désignés. Malheureusement, les principaux étaient des Calédoniens : le sergent-chef Pètre (Neptune), le sergent Daumas (Amphitrite), le sergent Bleu (Eole), le soldat Chapdeville (le Notaire), le sergent-chef Griscelli (l'Astrologue)." Laurent Laloup le vendredi 06 mars 2009 - Demander un contact La page d'origine de cette contribution Recherche sur cette contribution | |
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