Alexis Perves - Les Français Libres

Les Français Libres, de juin 1940 à juillet 1943

 
Accueil
 
Presentation
Liste des Français Libres
Recherche même nom
Recherche déces même jour
Ajout d'un Français libre
Liste du SHD
Liste Chaline
Liste Ecochard
 
Contact
 
 

Un Français Libre parmi 62914
 


Cliquez !

Alexis Perves



Naissance : 21 octobre 1922 - Lanildut (29)

Activité antérieure : marin

Point de départ vers la France Libre : Metropole

Engagement dans la France Libre : en juillet 1940

Affectation principale : FNFL / fusiliers marins

1er RFM

Matricules : 10874 FN40

Grade atteint pendant la guerre et spécialité : quartier-maître fusilier

Décès à 22 ans - 24 novembre 1944 - Grosmagny (90)

Mort pour la France

Dossier administratif de résistant : GR 16 P 470400

Dans la liste de l'amiral Chaline : ligne 11496

Dans la liste d'Henri Ecochard V40 : ligne 41115


Contribuez à son livre ouvert !

Ouvert à tous pour exprimer vos sentiments, évoquer vos souvenirs, préciser son parcours, sa vie, poser des questions, citer des livres, des articles, des sites, déposer des documents, photographies, ...

Votre nom Votre e-mail il restera caché

Titre de la contribution

Texte de la contribution

Une image (gif ou jpg) sur votre ordinateur

Et pour prouver que vous n'êtes pas un robot : 9 plus 1 =  ?


Alexis Perves - son Livre ouvert !
 

ekladata.com 



Cliquez pour agrandir

laurent le vendredi 08 janvier 2016 - Demander un contact

Recherche sur cette contribution


Offensive sur la trouée de Belfort
Fusiliers Marins, Commandos de choc et Bataillons de Marche
dans les libérations d’ Ettuefont, Grosmagny et Eloie

"... Il se met en défilement de tourelle derrière celui-ci. COPPENRATH observe longuement les rues du village. Il aperçoit à environ 200m un groupe de Boches qui s'activent pour mettre en place un canon antichar, l'ennemi mortel de son engin. Entièrement occupé par la manoeuvre de positionnement de son blindé pour détruire cette cible détestée, il n'a pas remarqué derrière l'angle d'une maison qu'un Panzerfaust pointait son museau meurtrier.
Son char est atteint par un obus à charge creuse juste au niveau du poste de pilotage faisant un trou rond en pénétrant. C'est le propre de ces obus. Ils sont munis d'une chemise d'un métal qui, au contact brutal du blindage, dégage une chaleur intense, ce qui fait fondre ce dernier en permettant à l'obus lui-même de pénétrer à l'intérieur du char et de tout ravager par ricochets successifs. Une intense chaleur a dû donc se propager instantanément à l'intérieur du char. Le char brûle. On ne peut rien faire pour le pilote (Alexis Perves), il a été carrément coupé en deux. Celui-ci a bien essayé de sortir de son poste mais il n'a eu que le temps d'esquisser un geste de traction de ses deux bras sur les rebords de l'écoutille et la mort l'a rattrapé juste à ce moment-là, momifiant le haut de son corps noirci ne laissant plus apparaître qu'un tronc partiellement calciné, le reste ayant disparu dans la fournaise.C'est un spectacle terrifiant. Le pilote n'a pas dû souffrir longtemps; il n'empêche que l'image de ce tronc d'homme carbonisé, au visage torturé dans un dernier rictus où seules les dents blanches ressortaient, hantera longtemps l'esprit des soutiens-portés du « 132 » et du « 134 » quand, au soir, ils auront rejoint le « 131 » dans le haut du village. ..."

laurent le vendredi 08 janvier 2016 - Demander un contact

Recherche sur cette contribution


JOURNEE DU 24 NOVEMBRE 1944
Résumé des marches et opérations de la 1ère D.F.L.
d'après François LIEBELIN, historien 

"... 15h30 : au fur et à mesure que les libérateurs s'approchent du centre du village, la fusillade s'amplifie.
Les Allemands d'abord surpris réagissent violemment. Tout l'après-midi, on se mitraille de maison en maison. Des obus de 88 tirés depuis une hauteur voisine encadrent les 2 blindés. Soudain en arrivant en vue du carrefour central, le char « 115 » est touché par une fusée tirée depuis le café du « Cheval Blanc ». Un mort chez les fusiliers marins : le pilote du char, le quartier-maître Alexis Pervés et un blessé grave : le matelot Marceau Fontaine. Le chef de char, Coppenrath et le tireur ont pu s'éjecter avant que leur engin ne s'embrase.
16h : l'Aspirant Lucas qui accourt pour voir ce qui se passe est atteint d'une rafale de mitraillette. Le commandant Mirkin n'a pas le temps d'arriver jusqu'au char détruit. Il tombe tué d'une balle en pleine tête...."

laurent le vendredi 08 janvier 2016 - Demander un contact

Recherche sur cette contribution


auxmarins.net 

" Alexis Pervès est né le 21 Octobre 1922 à Lanildut (Finistère (29))

Fils de Jean et de Marie Perchoc, Alexis est né le 21 octobre 1922 à Lanildut.

Il rejoint les Forces Navales Françaises Libres le 3 juillet 1940 et paraphe son engagement pour la durée de la guerre le 25 août 1940. A cette date, il est affecté au 2e bataillon de fusiliers marins (25 août 1940 au 23 août 1942) puis au 1er bataillon de fusiliers marins (23 août 1942).

Il décéde à Giromagny (territoire de Belfort) le 24 novembre 1944, brûlé dans son char atteint par une arme anti-char ennemie.

Il était Quartier-maître de 2e cl. Fusilier.

Son unité : 1er bataillon de fusiliers marins

Son décès est inscrit à la commune de Lanildut"

laurent le vendredi 08 janvier 2016 - Demander un contact

Recherche sur cette contribution


Fusiliers Marins, (1er R.F.M.), de Roger BARBEROT

" Dans cette-situation, nous n'avons guère le choix puisqu'il n'est pas question d'abandonner nos en­gins que l'ennemi incendierait la nuit suivante. Le talus est trop abrupt pour que les chars puissent grimper et appuyer directement l'infanterie.
Celle-ci est en nombre insuffisant. On a demandé par radio des renforts. Une première réponse est venue : « Help yourself ».
Les marins ont compris que cette situation était précaire sans que l'on ait eu besoin de leur faire un grand cours de tactique. Ceux qui ont leurs ma­chines immobilisées descendent pour combattre à terre après avoir démonté leurs mitrailleuses brow­ning. Seul reste à bord un tireur avec son arme.
Les browning et leurs bandes de trois cents cartouches font un vacarme de tous les diables. L'en­nemi risposte de plus belle, fait des tirs de mortiers. Marins et nord-africains lancent des grenades. Une belle mêlée mais que d'hommes qui tombent !
Blessés : Schnitzler, Thierry, Coppenrath, d'une balle en pleine poitrine sous le sein gauche. Blessés le Martelot, le Bras, le Lin, Damiot, Pervès, Carval, .larry, Roger, Landouar...
Sans compter les équipages de Santos et de Tartu qui sont en plein chez l'ennemi..."

Laurent Laloup le lundi 16 mars 2009 - Demander un contact

Recherche sur cette contribution


lanildut 

Cercle d'histoire locale de Lanildut.
Sur les dunes de Lanildut vers 1930
par Olivier MOAL

" La famille Jacob brûle le tali séché pour fabriquer les pains de soude. Le four est probablement situé au Ruludu, à proximité de la grève de Pors an Eis Vinis. On aperçoit sur la gauche de la première photographie les amas de pierres de la carrière du Cléguer. Les 4 plus jeunes, un adolescent et trois adultes, sont équipés d’un “pifoun” pour remuer les algues en combustion. Les plus âgés (autour de 70 ans) approvisionnent le four, à la main ou avec un rateau ( ?). On reconnaît de gauche à droite (sur la deuxième photographie, pendant le brûlage) :
- Marie Anne Minguy, dite Marraine la Dune (1868-1958), mon arrière grand-mère maternelle, doyenne de Lanildut en son temps.
- Jean Jacob, cousin de ma mère, ou Alexis Pervès, un voisin, mort dans les FFL."

Laurent Laloup le dimanche 14 octobre 2007 - Demander un contact

Recherche sur cette contribution

Dernière mise à jour le vendredi 08 janvier 2016

 

Vous pouvez à tout moment obtenir la rectification des données, vous concernant, inscrites dans cette base qui est déclarée sous le n° 1137942 auprès de la Commission Nationale Informatique et Liberté





fiche.php PHPisé et MySQLisé par Jacques Ghémard le 28 1 2024  Hébergé par Nuxit  Temps entre début et fin du script : 0.85 s  8 requêtes