Georges Camille Perrin - Les Français Libres

Les Français Libres, de juin 1940 à juillet 1943

 
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Georges Camille Perrin



Naissance : 5 aout 1917 - Huriel (03)

Point de départ vers la France Libre : Nord Afrique

Engagement dans la France Libre : Londres en juillet 1940

Affectation principale : FAFL /

Grade atteint pendant la guerre et spécialité : lieutenant

Décès à 63 ans - 12 février 1981 - Bourges (18)

matricule 30.619

Dossier administratif de résistant : GR 16 P 468979

Dans la liste d'Henri Ecochard V40 : ligne 41007


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Georges Camille Perrin - son Livre ouvert !
 

interviewé dans le film de Roger Stéphane

à 1 h 48



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Florence Roumeguere le samedi 02 décembre 2023 - Demander un contact

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Nom : PERRIN
Prénom : Georges Camille
Genre : M
Jour naissance : 5
Mois naissance : 8
Année naissance : 1917
Code insee naissance : 03128
Lieu naissance : Huriel
Pays naissance : FRANCE
Jour décès : 12
Mois décès : 2
Année décès : 1981
Code insee décès : 18033
Lieu décès : Bourges
Pays décès : FRANCE
Numéro acte : 196

Relevé effectué par : Insee

Laurent Laloup le jeudi 02 juin 2022 - Demander un contact

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Georges, Camille PERRIN
Né le 5 août 1917 - Huriel, 03128, Allier, Auvergne, France
Décédé le 12 février 1981 - Bourges, 18033, Cher, Centre-Val de Loire, France, à l'âge de 63 ans
Inhumé le 12 février 1981 - Huriel, 03128, Allier, Auvergne, France
Ingénieur radio



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Laurent Laloup le lundi 07 décembre 2020 - Demander un contact

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Evasion du Maroc, par Georges Perrin.

Moniteur de perfectionnement au pilotage à l’école de Meknès, j’assure, jusqu’au 18 mai 1940, le perfectionnement de 12 pilotes. A cette date, les évènements se précipitent en France, mais le Maroc est loin et les informations très contradictoires ne nous permettent pas de comprendre la situation...

Extrait de la Revue de la Fondation de la France Libre, n° 34, 4e trimestre 2009: 

Jacques Brisset le lundi 23 octobre 2017 - Demander un contact

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"Le Berruyer Georges Perrin décoré à titre posthume"

le 4 Novembre 2014 

"Le Berruyer Georges Perrin vient d’être décoré à titre posthume pour ses faits d’arme au cours de la bataille d’Angleterre. Sa fille rentre de Paris avec les médailles. Elle se souvient.

« Ça lui déplaisait beaucoup qu’on parle de lui en héros ! », prévient Christianne Ledard. La fille cache pourtant difficilement toute la fierté qu’elle a pour son père. Georges Perrin (1917-1981) fut un résistant de la première heure. Un vrai. De ces hommes qui avaient « une certaine idée de la France », et autant d’audace que d’humilité.
En passant par Gibraltar
Né dans l’Allier, Georges Perrin grandit à Bourges où sa famille s’installe quand il est enfant. Après un CAP de mécanicien militaire à Vierzon, il devient agent technique chez Hanriot puis monte rapidement dans le cockpit. Il obtient son brevet de pilotage en 1936, puis son brevet de moniteur tous types d’avions et voltige au début de 1940. Il se trouve à Meknès au Maroc quand surviennent la débâcle puis l’armistice en mai-juin 1940. De la période qui va suivre, Christiane Ledard n’a que des lambeaux. « Les rares fois où il en parlait c’était sous la forme d’anecdotes. Et généralement nous n’avions pas la fin », regrette-t-elle. Anecdote donc, quand Georges Perrin, avec un autre pilote, deux élèves et un mécanicien, faussent compagnie à l’armée française à bord d’un Caudron Goéland. Anecdote aussi quand l’équipée arrive à Gibraltar : « il y avait d’un côté les troupes franquistes qui tiraient sur l’avion et de l’autre les Anglais qui l’accueillaient à bras ouverts », relate Christianne Ledard.

Comme d’autres Français ayant fui l’Afrique du Nord, Georges Perrin prend connaissance à Gibraltar de l’appel d’un certain de Gaulle. Il embarque donc sur un bateau pour gagner Londres. En juillet 1940, ils sont treize pilotes français à former l’aviation de la France libre. L’escadrille est incorporée au sein de la Royal Air Force. Tous les treize viennent d’être décorés à titre posthume par l’Ambassade britannique. Un joli retour de l’histoire : « Mon père était considéré comme déserteur et condamné à mort par Vichy, et cette peine n’avait jamais été levée », note Christiane Ledard.

Selon des données récupérées par la fondation de Gaulle, Georges Perrin effectue 120 missions défensives et une douzaine de missions offensives sur le nord de la France. Sur les treize pilotes, il fait partie des deux qui terminent la guerre vivant, non sans avoir été abattu par deux fois par les Messerschmitts allemands.

Après 1941, il ne revolera plus

Suspendu de vol sur avis médical à la fin de 1941, Georges Perrin continue sa guerre à Londres et Alger dans le domaine des radars et de la radio. « Ce qu’il voulait c’est voler. Mais il ne pourra plus jamais le faire », témoigne Christiane Ledard avec amertume.

L’emploi de bureau qu’on lui donne en compensation au ministère de la Défense en 1945 ne lui convient guère. C’est alors qu’il raccroche de l’Armée pour revenir à Bourges monter une affaire d’équipements électriques. Ses souvenirs ressortent parfois dans les pages du Berry républicain – Georges Perrin est un ami du fondateur Pierre Jacquet. Mais aussi lors d’émissions télés ou de cérémonies d’anciens combattants à Paris. Il se déplace une dernière fois en septembre 1980 pour ranimer la flamme du soldat inconnu, avant de s’éteindre à Bourges début 1981.

Floris Bressy"

laurent le jeudi 10 décembre 2015 - Demander un contact

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Fondation de la France Libre N°34

"Georges Perrin (né en 1917). Arrivé à Greenock (Ecosse) à bord de l'Anadyr le 19 juillet 1940, il rejoint l'école de pilotage Old Sarum pour un stage de pilotage (30 juillet-9 août 1940). En OTU (Opération Training Unit) à Sutton Bridge, il est affecté le 1er sep­tembre à l'escadrille 245 à Aldergrove (Irlande), chargée de la protection des convois entre l'Irlande et l'Angleterre, puis le 16 septembre à l'escadrille 615, à Prestwick (Ecosse), chargée de la protection de convois et du pont « Firth of Forth » entre l'Ecosse et l'Angleterre. Envoyé le 30 septembre au 249 Squadron , à Northweald (banlieue nord de Londres), il est muté le 3 décembre, avec Bouquillard, Mouchotte et Lafont, au 615, à Notholt puis, le 11 décembre, à Kenley. Arrêté de vol pour raison médicale le 17 novembre 1941, il est affecté au 32 MU (Parc technique à Henlow) où, breveté electrical officer (le 15 février 1942), il assure un travail technique sur les ins­truments de bord et électriques jusqu'à sa nomination à l'état-major de Londres, dans le Service des recherches techniques, le 1er juillet 1944. Muté à la DAT d'Alger, il embarque le 1er novembre suivant à bord du Tegelberg, qui le conduit à Alger, le 16 novembre. Le 3 mars 1945, il prend le commandement de la DAT, à l'état-major (2e bureau, section étude), avant d'être démobilisé le 12 décembre Son témoignage est conservé dans les archives de l'Amicale des FAFL, qui nous l'a aimablement communiqué"

Laurent le samedi 02 janvier 2010 - Demander un contact

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Yves MORIEULT :

" LES PILOTES DE CHASSE DE LA FRANCE LIBRE DANS LA BATTLE OF BRITAIN

dans l’ordre chronologique de leur première mission de guerre au sein d’un Squadron du Fighter Command de la Royal Air Force entre leur affectation et le 31 octobre 1940, date officielle de la fin de cette bataille.

Effectif : un officier et douze sous-officiers :

Le premier pilote Français engagé dans la bataille d’Angleterre, le sergent-chef Maurice Choron, le sera le 16 septembre 1940, le lendemain de ce qui deviendra le Battle of Britain Day.

... 1 septembre : sergent Georges PERRIN, affecté au 245 Squadron sur Hurricane le 11 septembre 1940. Muté au 615 Squadron, toujours sur Huricane le 19 septembre puis au 249 Squadron le 1er octobre. Abattu en combat aérien le 12 octobre, légèrement blessé, saute en parachute et atterrit sans autre dommage. Il ne volera plus en opération jusqu’à sa mutation au 615 Squadron le 25 novembre. Abattu une seconde fois fin février 1941, il sera retiré des opérations pour raisons de santé et interdit de vol. Décédé en février 1981. ..."

Laurent le dimanche 06 décembre 2009 - Demander un contact

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Dernière mise à jour le samedi 02 décembre 2023

 

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