Théophile Narcisse François Eugène Pelon - Les Français Libres

Les Français Libres, de juin 1940 à juillet 1943

 
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Théophile Narcisse François Eugène Pelon



Naissance : 13 décembre 1883 - Bournezeau (85)

Activité antérieure : ouvrier / artisan

Point de départ vers la France Libre : Metropole

Engagement dans la France Libre : en janvier 1943

Affectation principale : Résistance intérieure / Centurie

Grade atteint pendant la guerre et spécialité : P2

Décès à 87 ans - 20 aout 1971 - Saint-Lambert-des-Levées (49)

Dossier administratif de résistant : GR 16 P 464479

Dans la liste d'Henri Ecochard V40 : ligne 40645

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Théophile Narcisse François Eugène Pelon - son Livre ouvert !
 

" Théophile, Narcisse, François, Eugène Pelon, né le 13 décembre 1883, à Bournezeau en Vendée, fils de François Pelon, domestique, fait la guerre 14-18, dans le service des Poudres.
Ingénieur, il devient constructeur de machines agricoles, à Saint-Lambert-des-Levées, 108 route de Rouen. Il est aussi membre de la loge maçonnique, la Sociale saumuroise, en compagnie de Robert Amy. Il est en relation avec ce dernier et son entreprise assure l'entretien des véhicules de la ville de Saumur.

Quand commence l'Occupation, il est le premier à se déclarer publiquement hostile au régime de Vichy. Il est, en effet, juge au tribunal de commerce de Saumur et, comme tous les élus et fonctionnaires, il est convoqué à la préfecture d'Angers afin de prêter serment au maréchal Pétain. A la suite de son refus notoire, le garde des Sceaux, Joseph Barthélemy, le relève de ses fonctions le 29 septembre 1941 ( A.D.M.L., 97 W 85 ).

D'après ce qu'on peut reconstituer, à l'été 1943, il entre dans le groupe de résistance de ses amis Roussel et Pauger. Il est arrêté dans la seconde grande rafle, le 9 octobre 1943, en compagnie de son fils Jean ( qui est relâché ). Il est transféré à Compiègne, puis déporté au camp de Buchenwald, mais il survit.
A son retour, il anime des associations d'anciens résistants et, le 23 septembre 1945, il est élu conseiller général ( radical-socialiste ) du canton de Saumur-Nord-Ouest, fonction qu'il occupe jusqu'au 1er octobre 1967, à 83 ans. A droite, photo en 1947, aimablement communiquée par Jean-Claude Duchêne, photo A.D.M.L., cliché Eric Jabol ).

Il décède le 20 août 1971, dans sa maison du 108 route de Rouen, sur laquelle ses amis apposent une plaque en son souvenir."

saumur-jadis.pagesperso-orange.fr 



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Laurent Laloup le mardi 17 novembre 2020 - Demander un contact

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Revenu

Transport parti de Compiègne le 17 janvier 1944

www.bddm.org 

laurent le mercredi 06 janvier 2016 - Demander un contact

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"... Une série d'actes constitutionnels impose un serment aux fonctionnaires, ces derniers jurant fidélité à la personne même de Philippe Pétain, par grandes fournées réunies à la préfecture. Il faut bien vivre et le texte reste assez général. Cependant, deux abstentions marquent un premier refus de deux Saumurois. Narcisse-Théophile Pelon, fabricant de machines agricoles, route de Rouen, juge au tribunal de commerce et strict républicain, refuse de prêter ce serment ; le 29 septembre 1941, un arrêté de Joseph Barthélemy, garde des Sceaux, le relève de ses fonctions ( A.D.M.L., 97 W 85 ). [ Surveillé désormais, Pelon est arrêté en octobre 1943 comme membre d'un réseau de résistance. ] Quand les juges du tribunal prêtent serment, le procureur Louis Ancelin est absent ; c'est son substitut qui jure ; on apprend peu après que le procureur a fait valoir ses droits à la retraite. [ Egalement surveillé, il est arrêté en septembre 1943. ] Le maréchalisme, quoiqu'éclatant dans les années 40-42, n'est donc pas unanime. ..."

saumur-jadis.pagesperso-orange.fr 

laurent le mercredi 06 janvier 2016 - Demander un contact

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Dernière mise à jour le mardi 17 novembre 2020

 

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