Claude Eugène Marie Moulin - Les Français Libres

Les Français Libres, de juin 1940 à juillet 1943

 
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Claude Eugène Marie Moulin



Naissance : 11 juillet 1921 - Rennes (35)

Activité antérieure : étudiant / scolaire

Point de départ vers la France Libre : Metropole

Engagement dans la France Libre : Londres en juillet 1940

Affectation principale : Terre DFL - Moyen Orient / BM11

Grade atteint pendant la guerre et spécialité : sous-lieutenant

Décès à 84 ans - 26 septembre 2005 - Saint-Malo (35)

Dossier administratif de résistant : GR 16 P 434051

Dans la liste d'Henri Ecochard V40 : ligne 37582

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Claude Eugène Marie Moulin - son Livre ouvert !
 

Journal officiel de l'Afrique équatoriale française 1941/08/15
Edité en 1941
Source: Gallica



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Laurent Laloup le mercredi 15 février 2023 - Demander un contact

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Résumé de l'ouvrage
15 juin 1940, avant même que le général de Gaulle ne lance son appel demeuré célèbre, deux cousins, Claude Moulin et Jacques Verry, lycéens à Rennes, prennent la décision de prendre la route d'un exil de combat et de continuer à se battre. Tous deux parviennent à rejoindre l'Angleterre où ils s'engagent dans la France Libre en dépit de leur absence d'expérience militaire. S'enchaînent ensuite des opérations souvent fort éloignées du territoire national, jusqu'au retour en France métropolitaine lors du débarquement de Provence d'août 1944. Comment deux jeunes gens que rien ne destinait à une carrière militaire ont-ils pu prendre une telle décision ? Quels sont les facteurs familiaux, scolaires, associatifs, ou encore les éléments de formation politique qui ont pu les conduire à quitter leurs foyers ? Telles sont quelques unes des questions auxquelles tente de répondre ce livre, fondé sur les lettres et photographies laissées à ses descendants par Claude Moulin.

Biographie de l'auteur
Jean-Marie Kowalski est maître de conférences à l'Université de Paris-IV Sorbonne. Il enseigne l'histoire à l'École navale (Lanvéoc-Poulmic), qui forme les futurs officiers de la Marine nationale.

Laurent Laloup le vendredi 29 mars 2019 - Demander un contact

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Récits de Jean TREMEAU du BM XI sur la campagne d'Alsace

Les récits de Jean Tremeau évoquent à plusieurs reprises le Lieutenant MOULIN dans les combats du BM XI en Alsace 

ROUMEGUERE le mardi 16 février 2016 - Demander un contact

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Revue de la France Libre mai 49

Chevalier de la LH

laurent le samedi 26 décembre 2015 - Demander un contact

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J'ai rencontré Claude Moulin!

Il est des festins suprêmes et sublimes auxquels il est donné à des hommes de participer. J'ai connu ce bonheur lorsque j'ai rencontré cet homme merveilleux.
Frêle, fatigué mais tellement accueillant que j'ai vite oublié que je rencontrais un homme malade tant toutes les apparences s'échappaient au fur et à mesure que mon regard se mêlait au sien.
J'ai eu, oui, j'ai eu le bonheur de rencontrer Claude Moulin. Un grand moment d'émotion! Et j'ai eu un autre bonheur: celui d'être si gentiment accueilli par son épouse dont j'ai pu mesurer la belle allure et la tendresse pour son époux.
Ma prière va vers lui.
Édouard Maret.

Maret le samedi 19 décembre 2015 - Demander un contact

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BRAZZAVILLE 27-28 AOUT 1940. GABON 1940. SYRIE 1941. FORCES FRANCAISES LIBRES. HISTOIRES VECUES , de FREITAG JOSEPH :

"Ordre de Bataille du B.M.XI
Le 1er octobre 1941 à Damas à la création
Langlois Xavier : Chef de bataillon
Freitag Joseph  : Chef de section des transmissions,détaché du B.T.N. des Trans de la 1re D.F.L. Hervé Yves : Médecin capitaine
Meneboode Bernard : Commandant la 5e Cie, capitaine Hugo Georges : Commandant la 6e Cie,
capitaine Soule-Susbielle : Commandant la 7e Cie, lieutenant Emond Jean : Commandant la C.L.XI, lieutenant

Les sous-lieutenants du B.M.XI :
Mennecier - Renauld - Hiet - De Glos Nicolas - Soui

Les Aspirants
Arnal - Barbier - Frizza - Moulin

Effectifs
Sous-officiers : 38 Troupes européennes : 26 Sous-officiers indigènes : 54 Tirailleurs : 642 "

Laurent Laloup le samedi 25 avril 2009 - Demander un contact

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Claude Moulin Français libre à 19 ans

Rennes, mardi 01 novembre 2005 www.ouest-france.fr 

"Le Rennais a été inhumé dans la plus grande discrétion

Claude Moulin est décédé à l'âge de 84 ans. Ses obsèques ont été célébrées, dans la plus stricte intimité, à l'église Toussaints, fin septembre. Ce combattant de la première heure est resté discret jusqu'à son dernier souffle. Nous l'avions rencontré cet été. Un moment émouvant.

Cheveux argentés, yeux vifs, voix un peu brisée par le temps, Claude Moulin portait ses 84 ans, doucement. L'homme, affaibli, avait derrière lui une vie, pour le moins, animée. Il a été conseiller municipal de Rennes de 1947 à 1977. « Un bail ! », lançait-t-il avec humour. Mais ce ne fut pas son seul engagement. Alors qu'il n'a que 19 ans, qu'il habite chez ses parents, grossistes en tissus à Rennes, le jeune homme sent le vent de l'Histoire. « Le 15 juin 1940, mon camarade Rondeau m'apprend que les Allemands seront probablement à Rennes dans deux ou trois jours. D'ailleurs, les Anglais déménagent à la hâte. J'en parle à mon père. Il n'hésite pas un instant à me dire oui lorsque je lui fais part de mon intention de partir pour le Sud afin de continuer le combat. » L'après-midi, il retrouve plusieurs camarades. Tout le monde est décidé à partir mais pas par les mêmes moyens.

« Mon cousin et moi choisissons le vélo. Le 16 juin, nous prenons la route jusqu'à Saint Jean de Luz. » Sur la route, ils apprennent que Pétain est devenu président du conseil et que l'on parle d'armistice. « Nous sommes scandalisés quand, parfois, nous entendons des gens s'exclamer : « La guerre est finie ! » C'est aussi sur la route que nous entendons parler de l'appel du général de Gaulle. »

Le 23 juin, au soir, Claude Moulin et son cousin tentent en vain d'embarquer à bord d'un paquebot en se mêlant à des civils britanniques de Pau. « On n'a pas pu. Les fusiliers marins français et anglais nous ont refoulés. » Ils y parviennent le lendemain, grâce à un général polonais qui leur fait donner des uniformes bricolés. Comme eux, 200 garçons bénéficieront de ce subterfuge. « A bord du paquebot Steam-Ship Ettrick, il y avait des Anglais, des Polonais, des Français et même le roi d'Albanie ainsi que la reine Géraldine, avec une minable suite ! »

Quatre jours plus tard, vers midi, le paquebot touche Plymouth et la côte anglaise. Le soir, Claude Moulin et son cousin sont à Londres et dorment à Empress-Hall, une sorte de cirque d'hiver. Ils reçoivent la confirmation de l'appel devenu historique. « Le lendemain matin, des officiers français viennent de la part du général de Gaulle et nous demandent si nous sommes volontaires. Le soir, en colonne par trois, nous partons au pas cadencé, précédés de deux bobbies à cheval et d'une banderole « Volunteers for général de Gaulle army ». Ma vie militaire a ainsi débuté. » Elle a entraîné Claude Moulin en Afrique, au Moyen Orient, dans le Pacifique... Jusqu'au jour où il démissionne pour reprendre l'affaire de ses parents.

Claude Moulin, le Français Libre, vivait doucement sa retraite d'ancien assureur (son dernier métier). De ces nombreuses campagnes, il ne tirait aucune gloire. En témoignent pourtant ses nombreuses décorations (Légion d'honneur, ordre national du Mérite, médaille de la Résistance avec rosette et autres médailles commémoratives) et les citations signées de grands noms de l'armée française de l'époque. « Tout cela, pour moi, n'a rien d'extraordinaire. C'était normal, ce qu'on a fait. »

Édouard MARET. "

Laurent Laloup le vendredi 09 mai 2008 - Demander un contact

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Dernière mise à jour le mercredi 15 février 2023

 

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