| | | | | Un Français Libre parmi 62914 | | | René Miremont | |
Naissance : 21 juillet 1919 - Anglet (64)
Point de départ vers la France Libre : Metropole
Engagement dans la France Libre : en juillet 1940
Affectation principale : FNFL / fusiliers marins1er BFM Matricules : 11151 FN40
A participé à la bataille de Bir Hakeim
Grade atteint pendant la guerre et spécialité : maitre
Décès à 77 ans - 6 février 1997 - Anglet
Dossier administratif de résistant : GR 16 P 421226
Dans la liste de l'amiral Chaline : ligne 10329
Dans la liste de Bir Hakeim : ligne 144
Dans la liste d'Henri Ecochard V40 : ligne 36461 |
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Marinos vascos en las Fuerzas Navales Francesas Libres Juan Pardo San Gil
untzimuseoa.eus
"... 1.2. Vascos en las F.N.F.L.3
Entre los primeros en acudir al llamamiento del general De Gaulle había varios marinos vascos. El 1 de julio de 1940 firmaban su alistamiento los labortanos Pierre Dupin, Max Martín Ibarlucia, Jean Le Gasse, Paul Leremboure y René Miremont y el bajonavarro Armand Mailharin, que entonces servían en la Marina de Guerra o Mercante francesas. En días sucesivos, durante el verano de ese año, una veintena más se incorporaron a las FNFL. Entre ellos estaba una mujer, Marthe Marie Larramendy, de San Juan de Luz, y el primer vasco peninsular alistado, el tolosarra Juan Antonio Castro Izaguirre, teniente de navío de la Marina Republicana, que había sido comandante de los destructores Ciscar y José Luis Díez durante la guerra civil; en las FNFL haría toda la campaña del Pacífico como oficial del Triomphant. ..." laurent le lundi 04 janvier 2016 - Demander un contact La page d'origine de cette contribution Recherche sur cette contribution Réponse : "... 1.2. Les Basques dans la F.N.F.L.3
Parmi les premiers à répondre à l'appel du général de Gaulle figurent plusieurs marins basques. Le 1er juillet 1940, les Ouvriers Pierre Dupin, Max Martín Ibarlucia, Jean Le Gasse, Paul Leremboure et René Miremont et le Bas-Navarrais Armand Mailharin, qui servaient alors dans la Marine Nationale ou Marchande, signèrent leur engagement. Les jours suivants, au cours de l'été de cette année-là, une vingtaine de plus ont rejoint la FNFL. Parmi eux se trouvaient une femme, Marthe Marie Larramedy, de San Juan de Luz, et le premier basque de la péninsule enrôlé, Juan Antonio Castro Izaguirre, lieutenant dans la marine républicaine, qui avait commandé les destroyers Ciscar et José Luis Díez. guerre civile; dans la FNFL, il fera toute la campagne du Pacifique en tant qu'officier du Triomphant. ..."
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"A force de vaincre...de Jacques Bauche " 20 heures : Alerte aérienne. Quatre Messerschmitts 110 piquent sur nous en rase-motte et nous mitraillent. Je saute avec mon chauffeur hors du pick-up pour m'abriter sous les loues. La mitraille crépite autour de nous. Ma voiture est touchée, deux roues tordues et crevées, le moteur atteint. Derrière moi, me première pièce tire sans résultat. Les avions virent et recommencent leur attaque à trente mètres d'altitude loin derrière moi. Quatre avions piquent derrière la falaise, trois réapparaissent, une énorme explosion, un nuage de fumée noire : la première pièce de la deuxième section de ma batterie, commandée par Malesieux, vient d'abattre son premier avion en le covupant en deux.
Il y a maintenant six M. 110 et trois M. 109 qui nous sur-volent de près. Ma deuxième pièce, à huit cents mètres derrière moi, est touchée par la mitraille au moment d'ouvrir le feu. Le chef de pièce, Frémaux, n'a rien, mais Monville, Pouvrasseau et Miremont sont blessés, ainsi que la chienne de la section qui reçoit trois éclats. Personne n'est atteint grièvement. nais le tracteur est transpercé et son moteur démoli.
20 h. 05 : Nouvelle attaque en rase-motte par le même ennemi. Six avions, en deux groupes, piquent pour se croiser au-dessus de la pièce de Rey, avec qui je suis. La mitraille commence; l'armement de la pièce, sans sourciller, continue à tirer. Le bruit des moteurs à vingt mètres, celui des mitrailleuses et du canon qui tire deux coups par seconde, sont noyés dans un tonnerre assourdissant, des flammes, une fumée noire, de l'huile chaude qui gicle partout autour de nous, des explosions dans tous les coins, des morceaux de tôle gros comme une armoire, tombent en sifflant. Nous sommes tous couchés par terre, suffoqués par la fumée... Que s'est-il donc passé?
Lorsqu'on y voit plus clair, je me relève pour constater...personne n'est blessé..." Laurent Laloup le jeudi 25 décembre 2008 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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A force de vaincre...de Jacques Bauche " à notre derniere alerte, trois bombardiers partirent en fumant mais j'ignorerai toujours s'ils sont tombés et si ce sont mes pièces qui les touchèrent. Mais, bien entendu, mes matelots sont fous de joie, Denis, Pouvrasseau, Miremeont et Hattier sautent de bonheur" Laurent Laloup le jeudi 25 décembre 2008 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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