| | | | | Une Française Libre parmi 62924 | | | Hélène Louise Gillot épouse Maugé | |
Naissance : 30 novembre 1899 - Paris 3e
Point de départ vers la France Libre : Metropole
Engagement dans la France Libre : en juillet 1941
Affectation principale : Résistance intérieure / Velite Thermopyles
Grade atteint pendant la guerre et spécialité : P2
Décès à 90 ans - 1er juillet 1990 - Herbeville (78)
Dossier administratif de résistant : GR 16 P 256031
Dans la liste d'Henri Ecochard V40 : ligne 35047 |
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Hélène Louise Gillot épouse Maugé - son Livre ouvert ! Deporter. Politiques de déportation et repression en France occupée. 1940-1944
Thomas Fontaine
"... Le mois de février 1942 est surtout marqué par le procès des responsables du groupe « Vildé » du « Musée de l’homme ». Sept des dix condamnations à mort prononcées le 17 février sont appliquées six jours plus tard avec l’exécution de Jules Andrieu, Georges Ithier, Anatole Lewitzky, Léon-Maurice Nordmann, René Sénéchal, Boris Vildé et Pierre Walter
En mars 1942, outre le procès de la Maison de la Chimie des communistes armés des Bataillons de la Jeunesse, le tribunal du Gross Paris condamne à mort cinq responsables du réseau Alibi, rapidement exécutés.
En avril, le 28, ce même tribunal prononce douze peines de mort contre des résistants du réseau Brutus : cinq sont exécutés au Mont-Valérien dès le 9 mai, alors que Jean Léger, Hippolyte Hardouin, François et Adolphe Morin, Honoré Meunier sont déportés le temps que leurs dossiers de grâce soient instruits : ils sont finalement exécutés à la prison de Cologne le 21 août 1942. Les deux femmes également condamnées à mort, Hélène Mauge et Elisabeth David, sont déportées le 11 mai : elles reviennent en 1945.
En mai 1942 enfin, d’autres membres de la « nébuleuse » du Musée de l’homme sont condamnés à mort, dont le colonel Maurice de la Rochère. Ce dernier est déporté le 8 juin avec Jean Fabre, autre membre du groupe. ..." Laurent Laloup le jeudi 12 décembre 2019 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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