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| Jacqueline Hermine Christiane Lelong | |
Naissance : 7 septembre 1925 - Martigné Briand (49)
Activité antérieure : étudiant / scolaire
Point de départ vers la France Libre : Metropole
Engagement dans la France Libre : en novembre 1941
Affectation principale : Résistance intérieure / CND Castille
Grade atteint pendant la guerre et spécialité : P2
Décès à 45 ou 46 ans - 1971 - Fille de Pierre Lelong et d'Elise Merit
Dossier administratif de résistant : GR 16 P 359179
Dans la liste d'Henri Ecochard V40 : ligne 31369 / ligne 31373 |
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Jacqueline Hermine Christiane Lelong - son Livre ouvert ! "Article écrit par Jacques F
Depuis les années 1998, le parc Lelong accueille plus particulièrement les petits - Il est situé près des écoles Ferdinand Buisson - et, pour les plus anciens - prés de la résidence pour Personnes âgées Robert Vandeville et la Maison de l'Amitié . Agrémenté de jeux d'enfants et de superbes massifs floraux,il est propice au calme loin de la fureur de la ville. On y a même découvert, lors de l'aménagement des plantes rares en voie de disparition, paraît il...
Dans son périmètre la Crèche J-P Langumier, Le restaurant d'enfant et le Centre de Loisirs se sont installés.Lelong .Ce nom, maintenant synonyme de paix, de rire, de jeux et de repos, ne doit pas nous faire oublier qu'il est celui porté par une grande famille montgeronnaise, qui s'est dressée lorsque d'autres se courbaient !
Le Général Pierre Lelong né en 1891, était officier des troupes coloniales.
Après avoir affronté le feu de l'ennemi pendant la première guerre mondiale, il devait participé aux opérations du Levant et du Maroc dans les années 1920 en qualité d'Admnistrateur (ayant reçu délégation de la Société Des Nations).
Il demeurait avec sa famille "Villa Chalandray" rue d'Yerres à Montgeron. Cette partie de voirie se nomme maintenant rue du Général Lelong.
Il était Commandant de régiment en 1939-1940. Ne pouvant accepter les conditions infamantes de l'Armistice signé par Vichy, il tenta vainement de rejoindre à Londres et le Général de Gaulle.
Il se replia alors en 1941 sur l'Afrique du Nord.
Le Général de Gaulle le charge alors, de coordonner les mouvements de Résistance sur ce territoire Le 8 septembre 1942, il s'engage dans les Forces Française Libres. Ainsi, il prépare activement l'Opération Torch : le Débarquement des Alliés en Afrique du Nord . Il se distingue pendant la campagne de Tunisie, à la tête de la 1ère Division France Libre.
Il est nommé par de Gaulle, Commandant Supérieur de Madagascar, puis Gouverneur Militaire de la Corse.
Sur les routes sinueuses de l'Ile, il se tue accidentellement le 22 mai 1947 alors qu'il inspectait les service de santé de l'Armée. Il avait 56 ans.
Grand Officier de la Légion d'Honneur
Mort pour la France
Elise Lelong ,son épouse, née en 1890 , entre dès 1941, dans le réseau de Résistance C.N.D. Elle fait de la demeure familiale, la "Villa Chalandray", un foyer clandestin actif. Cette grande batisse, devient le lieu de passage de nombres de français qui se prépare à partir pour Londres. Elle recueille nombre de parachutistes alliés et, héberge de nombreux juifs .
Elle refuse que sa propriété soit réquisitionnée par les autorités allemandes, et, est traduit devant le Tribunal militaire le 7 novembre 1941.
Capitaine des Forces Française Combattantes, dénoncée, elle est déportée à Ravensbruck.
Elle rentrera en Fance en mai 1945. Elise Lelong est décédée en 1986 à 96 ans.
Officier de la Légion d'Honneur - Croix de Guerre avec palme - Médaille de la Résistance
Jacqueline LELONG est née en 1925.
Dès ses 16 ans, elle s'engage auprès du Colonel Rémy - Membre du réseau CNDCastille - Sous Lieutenant des Forces Françaises Combattantes, elle est arrétée le 22 juin 1944 par la Gestapo, avec 7 autres membres du réseau.
Sous d'affreuses tortures, elle ne parlera pas, alors qu'elle convoyait des aviateurs alliés et établissait de faux papiers. Elle était également chargé de transmettre les messages radio de Londres,et à tout son réseau qu'elle connaissait fort bien . Elle s'est tu.
Déportée à Ravensbruck, c'est une grande Invalide de Guerre qui revint en France en Mai 1945 .
Elle est décédée, à bout de force en 1971, elle avait 46 ans
Officier de la Légion d'honneur - Croix de Guerre avec palme - Médaille de la Résistance -
Morte pour la France"
isabelle.bigand-montgeron.over-blog.fr Laurent Laloup le mercredi 05 août 2020 - Demander un contact La page d'origine de cette contribution Recherche sur cette contribution | |
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"Après un nouveau séjour à Bilma, il revient en métropole en 1935, où il épouse Élise Merit, veuve d’un officier mort de ses blessures de guerre. Il adoptera cinq ans plus tard la fille issue de ce premier mariage, Jacqueline Nonin." Jacques Ghémard le vendredi 25 mars 2016 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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"Mémoire d'un agent secret de la France libre T3", par Remy " Le billet est daté du 22 juin 1944, jour où l'affaire s'est déroulée dans la propriété d'une magnifique famille de résistants, à Montgeron, en Seine-et-Oise. Le général Lelong, qui s'est mis aux ordres du général de Gaulle dès le mois d'août 1940, a d'abord servi clandestinement au Maroc, puis a commandé par intérim la glorieuse 1re Division de la France Libre en Lybie. Il est maintenant à Madagascar. Restées en France, sa femme et sa fille Jacqueline ont suivi son exemple et sont inscrites à notre réseau. Mme Lelong a été arrêtée le 9 mai et est détenue à Fresnes. Au lieu de fuir, Jacqueline Lelong continue le combat. C'est chez elle que notre ami Corret est venu ce 22 juin — assez imprudemment, il faut le dire, mais les « asiles » sont rares — retrouver cinq de ses camarades qui attendent ses instructions.
Informée par un dénonciateur, la Gestapo surprend les conjurés tous ensemble et les aligne dans la cour d'honneur du château sous la menace des mitraillettes après leur avoir passé les menottes. Les interrogatoires commencent, entremêlés de violences, de flatteries, de menaces, de promesses, et aussi de beuveries jusqu'à épuisement des bouteilles découvertes dans la cave. A grand peine, Mme Lelong avait amassé des vivres pour l'état-major du Conseil National de la Résistance qui devait s'installer chez elle le jour même de son arrestation. Bien entendu, ces réserves sont pillées, tandis que les Allemands déménagent méthodiquement le mobilier qui les a séduits." Laurent Laloup le vendredi 26 septembre 2008 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
Dernière mise à jour le mercredi 05 août 2020 Vous pouvez à tout moment obtenir la rectification des données, vous concernant, inscrites dans cette base qui est déclarée sous le n° 1137942 auprès de la Commission Nationale Informatique et Liberté |
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