Arlette Lejeune épouse Manier - Les Français Libres

Les Français Libres, de juin 1940 à juillet 1943

 
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Arlette Lejeune épouse Manier



Naissance : 15 avril 1910 - Paris 17e

Activité antérieure : fonctionnaire

Point de départ vers la France Libre : Metropole

Engagement dans la France Libre : en mai 1942

Affectation principale : Résistance intérieure / Cohors-Asturie

Grade atteint pendant la guerre et spécialité : P2

Décès à 95 ans - 9 février 2006 - Paris 5e

Dossier administratif de résistant : GR 16 P 358357

Dans la liste d'Henri Ecochard V40 : ligne 31324

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Arlette Lejeune épouse Manier - son Livre ouvert !
 

Ancien elève de primaire

J’ai fait tout mon primaire à Jean-Cavailles à Sevres. Beaucoup de bons souvenirs… Lorsque je dépassais les bornes au niveau de la discipline, elle me convoquait dans son bureau et je devais appeler ma mère pour lui annoncer moi-même mes fautes. Merci pour cette bonne leçon de courage qui m’a permis plus tard de regarder les vérités en face, assumer et ne pas me mentir à moi même.

Benjamin Delahaye le vendredi 24 juin 2022 - Demander un contact

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LA RECHERCHE

Suite de mon message vous ne précisez pas qu'à Londres elle fut la secrétaire de Maurice Shoumann
Michel Lair à Honfleur

LAIR MICHEL le lundi 05 juillet 2021 - Demander un contact

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Ancien élève reconnaissant

J'ai fait mes études de la 10e à 6e à la Petite École Nouvelle, d'abord au 68 rue Chardon Lagache, puis bd Exelmans. Ma famille a été très impliquée dans l'histoire de cette école. Ma soeur Colette y était jardinière d'enfants. Ensuite, Bambi acheta la maison de famille de ma mère, la villa Beauregard, rue Brancas à Sèvre pour y créer l'École Jean Cavaillès.
Dès 1950, l'École organise des « sports d'hiver », à Argentières près de Chamonix. J'ai eu le plaisir d'y participer.
L'École organisait également des visites guidées culturelles passionnantes : les principaux musées de Paris, les grandes cathédrales, les châteaux de la Loire,...
Merci Bambi pour cette excellente base de mon éducation et tous ces excellents souvenirs.

Claude Schnéegans le dimanche 04 juillet 2021 - Demander un contact

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LA RECHERCHE

Je suis à la recherche de livres qui relatent sa vie de résistante entre 1940-1945, afin de me rafraîchir la mémoire. J'avais passé de bons moments à écouter Arlette surtout sur l’événement ... la libération de Paris. Sa mémoire n'est pas suffisamment connue
Michel Lair né en 1931

LAIR MICHEL le vendredi 15 mai 2020 - Demander un contact

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Quelques temps avant sa mort, j'avais eu le bonheur de la recevoir. Elle était venue fleurir la tombe de son frère, Jean Effel, tous deux à leur manière ont servi la France

LAIR MICHEL le jeudi 14 mai 2020 - Demander un contact

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Réponse :

Jean Effel sur Wikipedia 


Souvenirs de prof de maths

J'ai fait mes débuts de prof de maths à l'Ecole Nouvelle Jean Cavaillès en 1985 sous la direction de Bambi alias Claire Manier Lejeune. Que de bons souvenirs, et quelle super équipe dans ce collège. Je n'oublierai pas cette époque !

Yrag vorapsak le jeudi 19 décembre 2019 - Demander un contact

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Des bribes de mes souvenirs !

Rien de plus à ajouter, seulement je crois qu’elle avait remplacé le garçon qui me donnais des cours, lui même réfractaire au STO étant parti pour s’engager dans un maquis.
NB : il s’agit de Lucien Jeanbrun fils du charcutier de Montaigut en Combrailles qui alors était étudiant
Bien à vous
Alain Leray .

Leray alain le lundi 17 juin 2019 - Demander un contact

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La Petite École Nouvelle de la rue Chardon Lagache

Les souvenirs me reviennent "à la pelle" après être tombé par hasard sur ce site. Après la libération, Bambi avait créé une "petite école nouvelle" au 36 rue Chardon Lagache, école qui occupait une partie du Rez-de chaussée et du 7e étage de l'immeuble, où d'après ce que j'ai lu sur ce site, elle habitait. J'y ai fait mes classes de 9e, 8e et 7e comme on disait à l'époque, de 1946 à 1950, je pense. J'habitais 13 rue Molitor, et je n'avais pas à traverser de rue pour aller à l'école ce qui fait que j'y allais seul. C'était une école "nouvelle" qui appliquait les principes pédagogiques de Célestin Freinet : valorisation de l'initiative des élèves, travail en petits groupes, pas de cours magistral, découverte par soi même, etc. Je m'y suis épanoui, et plus tard, ayant trouvé une "École Freinet" à côté de chez moi à Marseille, j'y ai inscrit mes enfants.
La petite école nouvelle était mixte, et ça, je ne l'ai pas apprécié, je ne me souviens plus pourquoi. Quoiqu'il en soit, à la fin de la 7e, j'ai fait une rédaction dans laquelle je vitupérais contre les filles, ce qui m'a valu de me faire remonter les bretelles publiquement par Bambi lors de la sortie de fin d'année au Zoo de Vincennes.
Avant tout cela, je me souviens un peu d'Arlette Lejeune en uniforme au moment de la Libération, mais je n'en garde qu'une vision fugitive.

Jean-François SOULAS le mardi 11 juin 2019 - Demander un contact

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Activité antérieure

Peut-être a-t-elle été à un moment fonctionnaire, mais son activité principale a été l'enseignement dans de petites écoles privées laïques qu'elle a créées : d'abord rue Erlanger (Paris 16ème) en 1937-38, puis l'École Jean Cavaillès à Sèvres.
Trois de mes enfants l'ont fréquentée dans les années 1960.

MARBOTTE le jeudi 14 juin 2018 - Demander un contact

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Des bribes de mes souvenirs

Monsieur,
Je suis né en 1931 la mémoire me revient ! En 1943 caché des nazis et donc privé d’école, Madame Arlette Lejeune m’a donné des cours, je ne sais plus en quelle matière et bien sûr plus personne ne peut me venir en aide !
Peut-être ces cours étaient ils pluri disciplinaires ? Tout ceci se passait à Montaigut en Combrailles..... et il y a bien longtemps ! Admiratif après la guerre des dessins politiques de Jean Effel et des albums de sa création de l’homme, de la terre, du monde... j’ai appris sa parenté avec Arlette, l’ai rencontré lors de dédicaces, mais n’ais jamais revu celle qui fût un temps mon professeur !
Cordialement,
Alain Leray

Alain Leray le mercredi 13 juin 2018 - Demander un contact

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" Elle allait avoir 96 ans le 15 avril 2006, Claire ce petit bout de femme, qui par le passé avait connu les joies et les peines, nous avait habituée à ne jamais se plaindre. Elle avait une expérience de la vie si riche en évènements, que rien ne lui semblait insurmontable.
Pour moi qui la connaissais depuis environ 4 ans, j’avais appris à l’observer et je me rendais quelques fois chez elle à Boulogne Billancourt dans son appartement ou les pièces ressemblaient à un petit musée, un mannequin dans le salon était habillé de l’uniforme de Claire, des livres, des tableaux, des photos, vraiment l’histoire de sa vie tenait dans cet appartement.
Par la suite je me suis pris au jeu de la photo lors de cérémonies auxquelles Claire participait, je faisais mes clichés et ce petit bout de femme était souvent dessus, je pris contact avec Simone DANIEL, Présidente de l’association des éditions Marie Clairin, pour lui faire voir ces photos, je suis devenu par la suite le photographe de Claire. Du Mont Valérien à l’Arc de Triomphe en passant par la cour des Invalides lors de la remise de médaille d’officier de la Légion d’honneur par le Président de la République le 6 octobre 2005, je suivais l’évènement lorsqu’il avait lieu.
Par la suite, Claire résistante de la première heure, résistait à sa maladie comme elle le pouvait jusqu’au jour ou mon téléphone sonna c'était le 09 février 2006, Simone m’annonçant le décès de cette femme, qui était pour moi devenu un symbole des années noires ainsi qu’une femme au grand cœur pour tout ce qu’elle avait donnée et apporté aux enfants comme aux adultes durant toute sa vie.
Adieu Claire………… je ne t’oublierais pas." 

Laurent Laloup le dimanche 10 septembre 2017 - Demander un contact

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Je suis très touchée de tomber par hasard sur ce blog..

Les trois aînés de mes enfants sont allés à l'Ecole Jean Cavaillés à Sèvres... Frédéric, Hélène et Nicolas.
Moi-même j'ai été "maman infirmière" pendant les classes de neige à Rekingen en Suisse : Quand nous débarquions du train au petit matin, Bambi émergeait péniblement de sa léthargie car elle devait prendre de somnifères chaque nuit, depuis ce qu'elle avait vécu pendant la guerre.
Mon rôle consistait, entre autre, à passer dans les chambres le soir et m'assurer que tout allait bien. Je distribuais de l'eau de fleur d'oranger aux petits qui ne s'endormaient pas facilement. C'était un rituel tout à fait charmant.
L'école, (rue Ernest Renan ?) était un modèle de propreté et d'organisation. La pédagogie était très classique et mes enfants ont échappé à la folie de 68 qui, pour certains, avait supprimé le calcul, l'orthographe, les cahiers, les devoirs....
Le repas à la cantine se déroulait dans le calme : Silence complet pendant le hors d'oeuvre, chuchotements autorisés pendant le plat principal, conversation normale au dessert....

Liliane JARROUSSE le dimanche 10 septembre 2017 - Demander un contact

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Ancien élève

Lors de ma première rencontre avec ma mère dans le bureau de Bambi, j'ai cru m'évanouir !

Elle m’impressionnait par sa prestance et son cote autoritaire moi qui venait d'une zone défavorisée! J'ai pleuré tout le long du chemin pour rejoindre la gare et puis le jour de la rentrée a été terrible, pas habitué à porter une blouse et des chaussons ou interdit de mâcher un chewing-gum sinon elle le collait dans les cheveux et je sais de quoi je parle !!

Les premiers mois ont été difficiles (maison de redressement !) je la trouvais sévère avec moi et puis un jour il y avait une sortie pour aller voir Cyrano de Bergerac. Mes parents n'avaient les moyens de me payer la sortie c'était déjà un sacrifice pour eux de payer l'école et bien elle a pris de sa poche elle est venue me voir le jour de la sortie et m'a dit "prends tes affaires on va tous partir" je lui ai rappelé que je n'étais pas inscrit elle m'a répondu habille toi vite et à partir de cet instant j'ai compris qui était cette femme au grand cœur et elle a réussie à me sortir de mon "milieu" et appris les bonnes manières la politesse et bien d'autres choses ! Je n'oublie pas non plus sa secrétaire et Micelle la prof de travaux manuels qui elle aussi a tout fait pour m'aider. Je ne serais jamais assez reconnaissant... sans oublier le chant des partisans que je connais encore !!

Arias José.

arias le samedi 27 mai 2017

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"36 rue Chardon-Lagache

Quartier : Auteuil - Village - Arrondissement : 16 - Lieu : Demeure d’Arlette Lejeune (Organisation civile et militaire, Confrérie Notre-Dame, Cohors, secrétaire du colonel Rémy) - Personnages : Arlette Lejeune/Olivier Courtaud (alias Jacot, chef radio de la Confrérie Notre-Dame)/Mme Cazelles - Événement : Le studio d’Arlette Lejeune devient une plaque tournante de la Résistance à Paris - Date : automne 1940 – 1943 - Guerre de 39-45"

www.parisrevolutionnaire.com 



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Laurent Laloup le mercredi 17 août 2016 - Demander un contact

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"On m’a envoyé le faire-part de décès le 9 février 2006 à 95 ans d’Arlette Claire Lejeune, soeur du caricaturiste Jean Effel - François Lejeune 1908/1982 - celui qui représentait De Gaulle en forme de Tour Eiffel ! Arlette Lejeune, en résistance Claire Descartes, fut professeur dans de nombreuses institutions spécialisées comme la Petite Ecole Nouvelle, l’Ecole en marche, l’Ecole Exelmans, l’Ecole de Pédagogie, l’Ecole Jean Cavaillès, elle travailla comme auteur pour les éditions et association Marie-Clairin (nom de sa mère), elle était titulaire d’une quinzaine d’ordres militaires français et étrangers. Elle était la petite-fille du calicot Xavier-Edouard Lejeune qui s’était converti au judaïsme vers 1870 pour épouser sa femme d’origine hollandaise. Un calicot au XIXème siècle était l’employé d’un marchand de nouveautés.

Une messe a été célébrée pour elle au Val-de-Grâce le vendredi 17 février. Elle a été inhumée à Athis-Mons."

pierre.driout.perso.sfr.fr 

Laurent Laloup le mercredi 17 août 2016 - Demander un contact

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Dernière mise à jour le vendredi 24 juin 2022

 

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