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| Marie René Gaston Louis Faurichon de la Bardonnie | |
Naissance : 16 octobre 1902 - Saint-Antoine-de-Breuilh (24)
Activité antérieure : liberal / cadre
Point de départ vers la France Libre : Metropole
Engagement dans la France Libre : en novembre 1940
Affectation principale : Résistance intérieure / CND Castille
Grade atteint pendant la guerre et spécialité : P2
Décès à 84 ans - 2 juillet 1987 - Saint-Antoine-de-BreuilhFrère de Marc Faurichon de la Bardonnie
Epoux de Denise Potier
Dossier administratif de résistant : GR 16 P 166599
Dans la liste d'Henri Ecochard V40 : ligne 27817 |
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Généalogie " Louis FAURICHON de LA BARDONNIE
Né en octobre 1902 - Saint-Antoine-de-Breuilh,24370,Dordogne,Aquitaine,FRANCE
Décédé le 2 juillet 1987 , à l’âge de 84 ans
Parents
René FAURICHON de LA BARDONNIE 1875-1923
Marie BENOIT 1876-1960
Union(s) et enfant(s)
Marié avec Denise POTIER ca 1905 dont
F Geneviève FAURICHON de LA BARDONNIE ca 1925
H Guy FAURICHON de LA BARDONNIE ca 1927
F Isabelle FAURICHON de LA BARDONNIE ca 1929
F France FAURICHON de LA BARDONNIE ca 1931
Frères et sœurs
H Marc FAURICHON de LA BARDONNIE 1913-1948" Jacques Ghémard le jeudi 20 juillet 2017 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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Denise et Louis de la Bardonnie, premiers résistants périgourdins ou les passeurs de la ligne de démarcation.
Par Jean-Claude Bonnal, p. 18-21.
Numéro 17. Janvier 2005.
Mémoire de la Dordogne Laurent le vendredi 11 décembre 2009 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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"La Résistance au pays Foyen.
Renseignements français et britanniques.
Ceux qui sont en rapport avec les services de renseignements français de Londres ou les services de renseignements britanniques (France combattante). La disparition des témoins ne permet pas d'en dresser un historique précis.
C'est le cas de René Barat, imprimeur, arrêté à Ste Foy le 8 novembre 1943, du capitaine Norbert Perrot, arrêté le 11 novembre, de Borderie de Riocaud. arrêté le 17 novembre, du capitaine Chapuizet, arrêté le 28 novembre. Tous seront déportés. Le capitaine Perrot meurt à Bergen-Belsen le 29 avril 194?. René Barat décèdera peu de temps après son retour de déportation. Son fils Jeha Barat, après avoir participé à la Résistance aux côtés de son père, rejoindra l'Afrique du Nord par l'Espagne et terminera la guerre dans "Rhin et Danube".
Toujours en novembre 1943, Pierre Beausoleil et Louis de la Bardonnie échappent de peu à l'arrestation. "
www.ffi33.org Laloup Laurent le vendredi 22 mai 2009 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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www.cndp.fr/
" Le 18 juin 1940 Gilbert Renault prend la décision de rejoindre l’Angleterre avec son frère pour continuer la guerre. Il débarque à Falmouth le 22 juin et s’engage dans les Forces Françaises Libres. Le 2e Bureau le charge d’une mission de renseignement en France. Il reçoit un premier pseudonyme : Raymond (il sera plus connu sous son dernier pseudo de Rémy).
Novembre 1940. L’abbé de Dartein, engagé lui aussi dans les FFL* a donné à Raymond l’adresse d’un contact dans un petit village du Périgord. Il s’agit de Louis de la Bardonnie, propriétaire du domaine agricole du Château La Roque à St Antoine de Breuilh. Il s’y rend en novembre 1940 pour passer de la zone contrôlée par Vichy à la zone occupée.
Quelques jours après leur première rencontre, Louis de la Bardonnie explique à Raymond comment il a organisé son passage (1) : «Tout est prêt,…j’ai vu le docteur (2), on nous attend ce soir chez lui pour dîner. Voici le plan : nous partons d’ici à vélo avec le drôle (3). Nous nous arrêtons à la Mothe-Montravel chez Pierrot Beaussoleil. C’est juste à côté de la ligne, du côté français. Après, il y a environ cinq cents mètres de route, et c’est le poste allemand. Je vous laisse chez Pierrot avec le drôle.
Moi je continue à vélo et je passe le contrôle boche avec mon permis frontalier. Pierrot et le drôle vous conduisent par une grande prairie qui longe la route en contrebas sur la gauche. Elle est visible du poste mais ce soir, avec la pluie, et sans lune, ça ira bien. Vous arriverez à la Lidoire ; c’est un ruisseau qui va se jeter dans la Dordogne. Il n’y a pas encore eu beaucoup de pluies, donc il vous suffira de vous déchausser et de retrousser votre pantalon jusqu’aux genoux.
Ce ruisseau marque la ligne frontière entre la zone occupée et la zone libre. De l’autre côté, tout de suite en face de vous, il y a une petite prairie, puis une ferme qui est juste en bas de la route. Il n’y a pas à vous tromper. D’ailleurs je serai à vous attendre de l’autre côté de la Lidoire. Nous retrouverons l’auto du docteur un peu plus loin.»
Par la suite deux fermes de ce secteur ont servi de lieux de passage à Raymond et à ses agents pour circuler entre les deux zones (Pierre Brossolette et sa famille furent de ceux-là). Il s’agit des fermes de Jean Rambaud (dont il est question ici) et d’Édouard Etourneaud.
(1) Rémy, Mémoires d’un agent secret de la France Libre juin 1940-juin 1941, Éd. Aux Trois Couleurs, Paris, 1945, pp 99 et 100.
(2) Le docteur Gaston Pailloux est médecin de campagne à Puisseguin (Gironde).
(3) Expression familière dans le Sud-Ouest pour un jeune garçon. " Laurent Laloup le jeudi 19 juillet 2007 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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