| | | | | Un Français Libre parmi 62906 | | | Joseph Marie Antoine René Kolb Bernard | |
Naissance : 9 janvier 1896 - Angoulême (16)
Point de départ vers la France Libre : Metropole
Engagement dans la France Libre : en juillet 1940
Affectation principale : FNFL / marine de guerreCourbet, CH41 Audierne, marine Levant, Roselys
Grade atteint pendant la guerre et spécialité : Capitaine de frégate
Décès à 69 ans - 28 décembre 1965 - Las Palmas, Canaries, Espagne
Dossier administratif de résistant : GR 16 P 321877
Dans la liste de l'amiral Chaline : ligne 7541
Dans la liste d'Henri Ecochard V40 : ligne 27506 |
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Joseph Marie Antoine René Kolb Bernard - son Livre ouvert ! Commandant du CH 41 Audierne. Le 03/03/1941 Yves Le Goff débarquait du cuirassé Courbet et rejoignait la 1ére division de chasseurs de sous-marins FNFL à Cowes Ile de Wight.
Son premier embarquement fut sur le CH 41 Audierne dont le Cdt était René Kolb-Bernard.
Patrouilles,convois,combats en Manche,un avion abattu.
Le 10/07/1941,Yves Le Goff quittait le Cdt René Kolb-Bernard et changeait d'embarquement pour le CH 43 Lavandou.
Yves Le Goff QM de manœuvre né en 1923 à Lanildut figure dans la liste des Français Libres. Le Goff François le jeudi 03 décembre 2015 Recherche sur cette contribution | |
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Les Forces navales françaises libres, de Michel Bertrand " 5. FUSILIERS MARINS DE DÉFENSE CÔTIÈRE ET MARINS CAVALIERS GARDES-CÔTES
Lorsque l'État-Major F.N.F.L. de Londres confia, au mois d'août
1941. le commandement de la marine du Levant (Syrie et Liban) au capitaine de frégate Kolb-Bernard, l'une des missions de ce dernier fut d'assurer la défense côtière sur la façade méditerranéenne de ce vaste territoire, situé entre la Turquie, l'Irak et la Palestine. Les effectifs de la marine étant fort réduits, on fit appel au recrutement local.
C'est dans ces conditions que furent organisés les "fusiliers marins de défense côtière" dont l'effectif atteignit 3 000 hommes, fin
1942.
Quatre secteurs de défense furent créés. A savoir du Nord au sud :
- le secteur de Lattaquié, confié, en janvier 1942, au commandant H. Langlois;
- le secteur de Tripoli, confié, dès novembre 1941, au commandant Franchot ;
- le secteur de Beyrouth, confié, en janvier 1942, au 2e Bataillon de fusiliers marins ;
- le secteur de Saïda, confié, en janvier 1942, au commandant Sauvaget." Laurent Laloup le mardi 23 décembre 2008 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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brading.shalfleet.net
"Admiral Muselier, Commander of the FNFL, considered that the chasseurs were not a priority for re-arming, preferring to concentrate on the motor torpedo boats (MTBs). Lieutenant de Vaisseau (LV) Koib Bernard, the Commanding Officer of the chasseurs, persuaded Muselier that it would be of great psychological importance to re-arm the ships. It was important to show the British that the ships’ crews wished to return to combat as soon as possible, as it was harmful for the men’s morale and discipline to be inactive for too long. They also felt resentful at their inactivity. The Commander in Chief at Portsmouth, Admiral Sir William James, had reservations but Kolb Bernard managed to persuade him otherwise. The British had no confidence in the French crews. This could be because the crews were put together with no great thought and were a hotch potch of men and abilities. (Chaline, l994, p3l1)" Laurent Laloup le vendredi 19 septembre 2008 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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" Conformément à une décision de l’état-major suprême des forces alliées et après une visite du site par le capitaine de frégate KolbBernard, les Britanniques laissèrent enfin, le 18 mai 1945, la Marine nationale prendre en charge le port de Dunkerque. Les hommes du commandant Aclocque, qui dressèrent un inventaire des lieux et du matériel du port, et en assurèrent la surveillance, récupérèrent peu de choses. Ils prirent en compte toutefois quatre des curieux engins qu’étaient les sous-marins de poche. Deux de ceux-ci étaient rentrés à la base quelques jours avant la capitulation. Quant à la base sous-marine, elle ne présentait pas d’intérêt pour la Marine nationale."
www.sous-mama.org Laurent Laloup le lundi 05 mai 2008 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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" Au cœur de l'été de 1941, la nouvelle flotte française prouva à un tel point sa va'eur que l'Angleterre demanda son assistance pour la défense du Moyen-Orient. L'homme tout désigné pour cette tâche était le commandant Kolb-Bernard, qui avait commandé en Angleterre un groupe de huit patrouilleurs et en avait fait une formidable arme défensive. En arrivant en Egypte, il trouva quelque deux cent ^ cinquante marins français désœuvrés, mais pleins d'ardeur, bien que manquant de navires — et, d'autre part, dans le Canal de Suez, des remorqueurs qui attendaient les bombardements sans la moindre défense aérienne. Logique, Kolb-Bernard mit les marins sur les bateaux, leur donna des pièces de D. C. A. et poussa l'entraînement de cette minuscule marine dont les unités jaugeaient de 3 à 600 tonnes.Le travail d'organisation, en Syrie et au Liban, fut infiniment plus difficile. A l'exemple de l'armée qui, pauvre comme un rat en 1940-1941, s'était construit un excellent matériel de guerre avec des pièces récupérées sur des machines abandonnées, Kolb-Bernard construisit sa marine de tous les éléments humains capables de servir qu'il put trouver. Ses appels aux volontaires lui amenèrent des officiers de réserve du Canal de Suez, des marins marchands qui refusaient d'obéir à Vichy, une partie du second régiment des fusiliers marins et quantité de gens de mer qui, en l'absence de navires, avaient pris du service dans l'Armée ou l'Aviation, et ne demandaient pas mieux que d'embarquer à nouveau.
Mais il fallait encore des hommes et, en l'absence de spécialistes européens, Kolb-Bernard négocia avec les gouvernements du Liban et de la Syrie, pour leur emprunter des indigènes volontaires. Il ne s'attendait certes pas à l'afflux qu'allait déclencher sa demande. Des pêcheurs Sunnites arrivèrent de l'île de Rouad, des Alaouites qui adorent un Dieu-vivant, montèrent à l'assaut des bureaux de recrutement en nombre tel que l'on dut en renvoyer des milliers. Ils ne venaient pas comme des mercenaires. Ils pensaient défendre ainsi leur propre territoire. Ce n'est pas l'argent qui les attirait — deux shillings par jour, — la paie du simple matelot anglais et français. Ils gardaient leur nationalité, bien que portant l'uniforme français, mais avec un béret alpin au lieu du bonnet à pompon rouge.
Kolb-Bernard créa des centres d'instruction, pour dresser cette masse disparate et en faire quelque chose d'à peu près homogène. Ils s'y mirent de tout cœur, et leur bonne volonté et leurs espérances, sous leurs peaux plus ou moins sombres, étaient égales. Un entraînement intensif en a fait le personnel expert que je vois aujourd'hui, un corps de marins combattants que les marins de l'Axe et ceux de la flotte de Vichy," qui pourrit à Alexandrie, peuvent regarder avec respect, et avec qui l'on doit compter." Laurent Laloup le jeudi 19 juillet 2007 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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