André Etienne Albert Jacob - Les Français Libres

Les Français Libres, de juin 1940 à juillet 1943

 
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André Etienne Albert Jacob



Naissance : 14 avril 1909 - Corenc (38)

Activité antérieure : liberal / cadre

Point de départ vers la France Libre : Metropole

Engagement dans la France Libre : en juillet 1940

Affectation principale : FAFL /

Matricules : 30.254

Grade atteint pendant la guerre et spécialité : lieutenant

Décès à 31 ans - 9 novembre 1940 - probablement en mer près de Libreville, Gabon

Mort pour la France

Disparu avec Jacques Le Guyader  et Maurice Tazzer 

Dossier administratif de résistant : GR 16 P 303041

Dans la liste d'Henri Ecochard V40 : ligne 25671




André Etienne Albert Jacob - son Livre ouvert !
 

Erreur de personne

Ce n’est certainement pas André JACOB, lieutenant navigateur dans l’équipage du sergent-chef pilote Jacques LE GUYADER et de l’adjudant radio-mitrailleur Maurice TAZZER, qui figure sur la première photo prise, selon la légende italienne, en mars 1941.
Les trois hommes sont portés disparus depuis le 9 novembre 1940, lors d’une opération aérienne à destination de Libreville et les corps n’ont jamais été retrouvés.
En outre, en mars 1941, le 253 Squadron était stationné en Grande-Bretagne et volait sur Hurricane.
Or il me semble bien que l’avion qui figure sur les photographies est un Spitfire, type d’appareil qui équipa le 253 seulement en mars 1943 alors qu’il était stationné à Alger-Maison-Blanche.

En ce qui me concerne, sauf plus amples informations, j’estime que ces deux photographies n’ont rien à faire sur la fiche du lieutenant André JACOB.

MORIEULT Yves le mardi 19 avril 2016

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Servizio nella Raf...

Non è morto, ha solo dovuto fare un atterraggio di fortuna... è rimasto gravemente ferito ed è risalito su un aereo solo ad inizio '42 risulta dalle foto e dai registri dell'archivio del museo degli ausiliari della Raf... nel 1945 faceva parte dello squadrone 347 degli ausiliari, è persino nella foto della Guardia d'onore alla veglia funebre della pilota Maryse Hilsz del 4 febbraio 1946... Nella foto sull'ala i capitani Suzanne Melk (1908-1951), Agnes De La Barre De Nanteuil (1922-1944), Paulette Bray-Bouquet Weber (1901-1954), Oscar Jeanne De Leydet Sigoyer De Jarjayes (1907-1964?), Claude Raoul Duval (1919-?), in prima fila André Jacob Colette De Lauriston , Genevieve Lefevbre-Sellier e forse anche Marcel Lefevbre...

Cristina Contilli le dimanche 21 février 2016

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Réponse :

Traduction Googolesque : "Il n'est pas mort, il a juste eu à faire un atterrissage en catastrophe ... il est sérieusement blessé et déplacé vers le haut sur un plan juste pour '42 début clair sur les photos et les archives du musée enregistre la RAF auxiliaire en 1945 ... il faisait partie de l'escadron 347 de l'auxiliaire, est encore dans l'image de la Garde d'honneur à la suite du projet pilote Maryse Hilsz du 4 Février, 1946 ... dans l'image sur les capitaines d'aile Suzanne Melk (1908-1951), Agnes de la Barre de Nanteuil (1922-1944), Paulette Bray-Bouquet Weber (1901-1954), Oscar de Jeanne Leydet Sigoyer de Jarjayes (1907-1964?), Claude Raoul Duval (1919-?), dans la première rangée André Jacob Colette de Lauriston Geneviève Lefevbre-Sellier et peut-être Marcel Lefevbre ..."

Suzanne Melk  , Claude Raoul-Duval 

Agnes de la Barre de Nanteuil  , morte en 1944, photographiée en 1946 ... ???

J'ai retrouvé cette photo avec un commentaire en italien dont la traduction serait "Squadron 2 "Versailles" du 340 e Escadron de la RAF ATA au printemps 1942: le capitaine, commandant de la formation et photographe qui a fait ce plan: Jacques Henri Schloesing, sur l'aile de droite à gauche Claude Raoul Duval, Oscar De Jeanne Leydet Sigoyer de Jarjayes (commandant adjoint), Paulette Bray-Weber Bouquet, Agnès de la Barre de Nanteuil, Suzanne Melk, debout de gauche à droite ou Emile Jean Tulasne Falloye, Marcel Lefevbre, Geneviève Lefevbre, Jacqueline Domergue, Marcel Albert, André Élie Jacob. Photos provenant de ma collection personnelle de photos d'époque."

Donc si c'est en 1942, ça ne peut pas être cette Suzanne Melk qui est en France

Et d'autres y voient plutôt Joy Lofthouse  . Fermez le banc !


Evasions en juin 1940

Un grand bravo pour ce site qui est un véritable travail de bénédictin. En qualité de membre d’honneur et du comité historique de l’amicale des F.A.F.L., je voudrais apporter quelques informations supplémentaires concernant l’intervention signée - Steph - transmise par monsieur Laurent Laloup, le mardi 16 octobre 2007, car le détail des évasions recencées n’est pas correct. Voici ce qu’il en fut en réalité :

22 juin 1940 : décollage de Toulouse à destination de l’Angleterre, d’un bimoteur Caudron Goéland. Pilote : sergent Didier BEGUIN (+). Passagers : capitaine Raymond ROQUES (+), polytechnicien, accompagné de trois ou quatre sous-officiers réservistes observateurs élèves de l’école de l’air dont l’aspirant René CASPARIUS (+), l’aspirant Louis RICARD-CORDINGLEY (+) et l’aspirant Jacques SCHLOESING (+). Malgré mes recherches je n’ai pu identifier le quatrième sous-officier observateur au point que je doute parfois de son existence.

24 juin 1940 : décollage de Bergerac à destination de l’Angleterre, du bimoteur Potez 63-11 n° 838 du groupe de reconnaissance I/14. Equipage : pilote : sous-lieutenant Daniel NEUMANN (+), école de l’air, active, observateur : lieutenant André JACOB (+), polytechnicien puis séminariste et radio-mitrailleur : sergent Marcel MOREL.

25 juin 1940 : décollage de Toulouse de trois Dewoitine D520 du groupe de chasse III/7 avec aux commandes le sous-lieutenant André FEUILLERAT (+), l’adjudant Albert LITTOLF (+) et le sergent-chef Adonis MOULENES.

CHORON (+) et REILHAC (+) ont embarqué sur le cargo Apappa à Port-Vendres le 24 juin et SANDRé (+) est parti d’Oran à destination de Gibraltar le 28 juin, à bord d’un Glenn Martin 167, en compagnie de plusieurs camarades. Sa biographie dans « Aviateurs de la liberté » est malheureusement erronée en ce qui concerne son évasion. Voir la biographie de son camarade Guy BECQUART, tué le 19 juin 1941.
(+) : tués pendant la guerre.

Après leur arrivée en Angleterre :
JACOB, MOREL et ROQUES furent affectés en opération au 149 Bomber Squadron, du 15 juillet au 15 août 1940, unité avec laquelle ils effectuèrent chacun une demi-douzaine de missions de nuit sur l’Allemagne, en qualité de mitrailleur. Cf. mon article publié dans le numéro 20 de juin 2006 de la revue de la Fondation de la France libre.

FEUILLERAT et NEUMANN furent affectés avec quelques camarades officiers au 7 OTU à Hawarden du 27 juillet au 7 août 1940 pour un stage sur Spitfire.
LITTOLF et MOULENES furent mutés avec quelques camarades sous-officiers au 6 OTU à Sutton-Bridge, du 21 juillet au 10 août 1940.
CHORON rejoignit aussi le 6 OTU mais pour un stage qui commencera dans la deuxième quinzaine d’août.
BEGUIN, après un stage sur Hurricane à partir de la fin septembre 1940, encore au 6 OTU, est envoyé au 245 Squadron qu’il rejoint le 16 octobre. Il n’aura pas le temps de voler en opération pendant la fameuse Battle of Britain. Cf. mon article LES FRANÇAIS DANS LA BATAILLE D’ANGLETERRE in Aéro-Journal n° 48 - avril-mai 2006.

Je lis avec surprise que « Huit sur dix des Compagnons de la libération aviateurs le furent à titre posthume » Ces chiffres sont complètement fantaisistes et je me demande qui en est l’auteur ?
J’apporte depuis plusieurs années mon aide au conservateur du musée de l’Ordre de la libération pour modifier ou compléter les biographies des Compagnons de la libération appartenant aux FAFL. Je n’ai pas mes chiffres exacts sous la main mais, en gros, les FAFL furent environ 140 à être nommés Compagnon dont une soixantaine furent tués ou disparurent pendant la guerre. Parmi ceux-ci, seuls 37 furent nommés après leur mort, à titre posthume, ce qui n’est pas la même chose.
Bien cordialement et encore bravo, très sincèrement.
Yves MORIEULT
Metz, le 27 juillet 2009

Yves MORIEULT le lundi 27 juillet 2009

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"Quelques très belles pages sur les FAFL dans ce dernier livre de PH Clostermann. Et puis aussi quelques chiffres au milieu de ses belles phrases qui donnent froid dans le dos:
le 22 juin un Goeland décolle de Toulouse vers la Grande Bretagne avec 6 pilotes à bord:
Beguin aux commandes tué le 26 novembre 1944
le sous-lieutenant Ricard, tué le 26 janvier 1942
le capitaine Casparius, tué le 26 novembre 1942
le capitaine Roque, tué le 23 avril 1943
le commandant Schloesing, tué le 26 aout 1944
Ce même 22 juin, toujours à partir de Toulouse, trois dewoitine 520 partent vers Londres, pilotés par
le lieutenant Feuillerat, tué le 9 novembre 1940
le lieutenant Littof, tué le 16 juillet 1943 et
le lieutenant Reilhac, tué le 14 mars 1943.
Encore de Toulouse ce même 22 juin, deux potez 63, avec les lieutenants Neumann, tué le 22 octobre 1941; Jacob, tué le 8 novembre 1940; Choron, le 10 avril 1942 et Sandré le 9 décembre 1941. CE qui signifie que sur les 13 évadés de Toulouse, 12 n'ont pas vu le jour de la victoire.

Huit sur dix des Compagnons de la Libération aviateurs le furent à titre posthume.

Steph"

www.livresdeguerre.net 

Laurent Laloup le mardi 16 octobre 2007 - Demander un contact

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Dernière mise à jour le jeudi 30 mars 2023

 

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