Un Français Libre parmi 62924
 

Max Martin Ibarlucia

Naissance : 30 mai 1917 - Hanoi, Viet Nam Engagement dans la France Libre : en juillet 1940 Affectation principale : FNFL / marine de guerre Courbet, Théodore Tissier, CH10 Bayonne, Amiens Grade atteint pendant la guerre et spécialité : officier des équipages Décès à 82 ans - 25 janvier 2000 - Bayonne (64) Dossier administratif de résistant : GR 16 P 300374 Dans la liste de l'amiral Chaline : ligne 6963 Dans la liste d'Henri Ecochard V40 : ligne 25396

Max Martin Ibarlucia - son Livre ouvert !
 

Décorations

Max Ibarlucia était :
* Officier LH
* Commandeur ONM
* Croix de Guerre 1939-45 (6 citations)
* Médaille de la Résistance avec rosette (Décret du 29/11/1946, du JO 5/12/1946)
* Chevalier du Mérite maritime,
* Distinguished Service Cross (G-B, Royal Navy)
* Mentioned in despatch (citation avec palme, G-B)

Une promotion 2004 de l'Ecole de Maistrance de Brest portait le nom : "OCE Max Ibarlucia"

LE BRETON Thierry le jeudi 03 octobre 2019 - Demander un contact

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Lien web. Récit du raid de Dieppe du 19 août 1942

Max Ibarlucia commandait le Chasseur 10 lors du raid de Dieppe le 19 août 1942.
Voici son récit : 

LE BRETON Thierry le jeudi 03 octobre 2019 - Demander un contact

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Biographie publiée dans le magazine Cols Bleus 961 du 15 octobre 1966

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LE BRETON Thierry le jeudi 03 octobre 2019 - Demander un contact

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Précision années 1955/1956

Matelot Transifiliste sorti du stage, j'ai rejoins l'Unité Marine BONE (Algérie) le 1 décembre 1955- L'O.E. IBARLUCIA était Officier adjoint (un peu trop souvent rabroué par le Commandant en Second le fameux POPOFF!) - J'ai le souvenir d'un Officier des Equipages très sympathique, très près de l'équipage, n'ayant certainement pas oublié qu'il sortait du petit monde des simples matelots. Ayant été instructeur au centre de préparations Marine de ANGERS et faisant des sorties à LORIENT, j'ai eu le plaisir de le saluer et de parler de Marine Bône, au Cercle Officiers de LORIENT, suite à une invitation du chef de la PMM ANGERS, en 1973 ou 1974 je crois. Un plaisir d'avoir vu une photo de lui sur la revue n° 98 Navires et Histoire au sujet de l'article sur les chasseurs de sous-marins français sous le titre "ces petits navires devenus grands. Il avait été remplacé à Bône par l'O.E. LE SCANF;

Michel MORDELET (2112T55) le lundi 10 octobre 2016 - Demander un contact

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Marinos vascos en las Fuerzas Navales Francesas Libres

Juan Pardo San Gil

untzimuseoa.eus 

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laurent le lundi 04 janvier 2016 - Demander un contact

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Marinos vascos en las Fuerzas Navales Francesas Libres

Juan Pardo San Gil

untzimuseoa.eus 

"... 1.2. Vascos en las F.N.F.L.3
Entre los primeros en acudir al llamamiento del general De Gaulle había varios marinos vascos. El 1 de julio de 1940 firmaban su alistamiento los labortanos Pierre Dupin, Max Martín Ibarlucia, Jean Le Gasse, Paul Leremboure y René Miremont y el bajonavarro Armand Mailharin, que entonces servían en la Marina de Guerra o Mercante francesas. En días sucesivos, durante el verano de ese año, una veintena más se incorporaron a las FNFL. Entre ellos estaba una mujer, Marthe Marie Larramendy, de San Juan de Luz, y el primer vasco peninsular alistado, el tolosarra Juan Antonio Castro Izaguirre, teniente de navío de la Marina Republicana, que había sido comandante de los destructores Ciscar y José Luis Díez durante la guerra civil; en las FNFL haría toda la campaña del Pacífico como oficial del Triomphant. ..."

laurent le lundi 04 janvier 2016 - Demander un contact

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Réponse :

"... 1.2. Les Basques dans la F.N.F.L.3
Parmi les premiers à répondre à l'appel du général de Gaulle figurent plusieurs marins basques. Le 1er juillet 1940, les Ouvriers Pierre Dupin, Max Martín Ibarlucia, Jean Le Gasse, Paul Leremboure et René Miremont et le Bas-Navarrais Armand Mailharin, qui servaient alors dans la Marine Nationale ou Marchande, signèrent leur engagement. Les jours suivants, au cours de l'été de cette année-là, une vingtaine de plus ont rejoint la FNFL. Parmi eux se trouvaient une femme, Marthe Marie Larramedy, de San Juan de Luz, et le premier basque de la péninsule enrôlé, Juan Antonio Castro Izaguirre, lieutenant dans la marine républicaine, qui avait commandé les destroyers Ciscar et José Luis Díez. guerre civile; dans la FNFL, il fera toute la campagne du Pacifique en tant qu'officier du Triomphant. ..."

Souvenir

Quartier-Maître Fourrier à bord de l'Alphée sous son commandement en 1951-1952 j'ai le souvenir d'un officier de marine ouvert, prés de ses hommes et soucieux de leur bien-être. Dans mon album de photos j'ai encore une photo où nous sommes tous les deux sur une plage de Tunisie, avec le chien du bord Napoléon. J'ai failli le retrouver à la DBFM où je suis arrivé peu aprés son départ.

Paul BERNARDIN le samedi 14 juillet 2012 - Demander un contact

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mon grand père

Mon grand père était un homme sage qui a contribué a l'achevement de la guerre d'indochine. Je le respecte comme il a respectez les siens. J'espère que nous pouvont tous respectons ce qui ont était pour la France dans cette guerre.

je t'aime papy
mami paul papa et maman et tes trois petits enfants t'aiment fort

capucine ibarlucia le jeudi 19 août 2010 - Demander un contact

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précisions sur l'homme

J'ai bien connu Max Ibarlucia, né à Hanoï mais ayant passé son enfance à Bayonne (raison pour laquelle le chasseur qu'il commandait dans les FNFL portait le nom de BAYONNE), il était un copain d'enfance et d'école de mon père. Authentique héros, sa modestie faisait qu'il ne parlait, comme d'autres de sa trempe, jamais de ses actes d'héroïsme. Perdu de vue dans les années 50, je garde de lui le souvenir extraordinaire
d'un enfant envers un grand homme.

DESCLAUX le samedi 27 février 2010 - Demander un contact

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Historique des FNFL

" IBARLUCIA Max, Martin
Né le 30 mai 1917 à Hanoi (Tonkin)

Entré à l'Ecole de maistrance à Brest le 1eroctobre 1934. Second maître de manœuvre (1938). Breveté supérieur. Chef de quart (février!940).
En avril 1940, il est nommé officier en second du Chasseur 6 (défense des ports du nord, Walcheren, Dunkerque). Il rejoint Portsmouth le 19 juin après la chute de Cherbourg.
Après l'opération Catapult du 3 juillet, il rallie la France Libre. Promu premier maître le 15 septembre et nommé au commandement Chasseur 10 Bayonne du 15 octobre 1940 au 23 mai 1943 (patrouilles en Manche, raids de Bruneval et Dieppe). Nommé officier des équipages de 2e cl. le 15 septembre 1941.
Affecté à la base des chasseurs de Cowes de mai à septembre 1943, embarqué sur l'aviso navire école Amiens, comme instructeur, de septembre 1943 à février 1944.
Après un stage de dragage, commande le dragueur André et Louis de mars 1944 à février 45 (dragages sur les côtes de France). Promu officier des équipages de lère cl. le 3 juillet 1944. Commande le dragueur D345 de février 1945 à février 1946.
Il fait campagne en Indochine de janvier 1947 à janvier 1949, à marine Tourane et au GBR2 la Flottille amphibie d'Indochine Sud (FAIS). Il est promu officier principal en décembre 1949.
Il commande le transport Alphée ( 1951 -52), le Lac Tonlé Sap ( 1956-57), le port de Nemours (DBFM) (1958-59). Il est commandant adjoint à la direction du port de Brest, commandant l'Issole (1960 -62). Il est promu officier en chef le 1er mars 1963.
Il commande le centre de défense fixe de marine La Pallice (1966-69) puis la direction du de Diégo-Suarez (1969-71)
Après avoir rempli les fonctions de commandant en second de la direction du port de Lorient (1971-75), il quitte le service actif le 1er juin 1975.
De 1975 à 1985, il assure les fonctions de contrôleur du chargement des navires de la Société générale de Surveillance au Boucau.
L'Officier en chef des équipages (H) Ibarlucia est officier de la Légion d'honneur (1953), commandeur de l'ordre national du Mérite, titulaire de la croix de guerre 1939-45 avec 6 citations, médaille de la Résistance avec rosette, chevalier du Mérite maritime, DSC, mention in dispatch."

L. Laloup le mardi 20 mai 2008 - Demander un contact

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Extrait de "Sans tambour ni trompette", mémoires de guerre de Georges Desmarais 

" Le Commandant Ibarlucia était un de ces vrais marins qu'on trouve tout le long de la côte française depuis le Havre jusqu'à Bordeaux. Il sortait des rangs et c'était un officier des équipages. II me reçut ai­mablement dans sa cabine et je fus immédiatement affecté a la bordée tribor. Le Chasseur 11 avait un équipage d'une vingtaine d'hommes et d'un seul officier. Je fus installé dans la batterie avant avec la mitrailleuse bâbord comme poste de combat. Le même soir nous partîmes en pa­trouille dans la Manche dans un secteur de cinquante milles de long sur quinze milles de large. "

L. Laloup le mardi 20 mai 2008 - Demander un contact

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Extrait de objectifdieppe.ifrance.com 

" Les navires de soutien de la flotte destinée à Dieppe sont les 8 Destroyers HMS Calpe (lieutenant-commander J.H.Wallace), PC embarqué du général Roberts, HMS Fernie (lieutenant-commander W.P.Willett) , canons de 102 mm, PC de secours si nécessité, HMS Berkeley (lieutenant J.S.Yorke), HMS Garth (lieutenant-commander J.P. Scatchard), HMS Bleasdale (lieutenant P.B.North-Lewis), HMS Albrighton (lieutenant-commander R.J.Hanson), HMS Brocklesby (lieutenant-commander E.N. Pumphrey), Destroyer Slazak (Kmdr-Ppov. R.Tyminski, navire Polonais) , les 4 canonnières, les 28 vedettes, destinés à la protection tant navale qu'aérienne de la flotte pendant la traversée aller mais aussi celle de retour et à l'appui des troupes débarquées. Les combats montreront que leur puissance de feu est insuffisante. Il y a aussi la Canonnière fluviale Locust (lieutenant-commander W.J.Stride) avec 2 canons de 102 mm et un obusier de 3,7 pouces, le Sloop Alresford (commander E.C.Dunbar) et 7 navires français : sous le commandement du capitaine du lieutenant de vaisseau Thibaudeau, le chasseur 5 Carentan (lieutenant J.E. Syms), le chasseur 10 Bayonne (officier des équipages Ibarluccia), le chasseur 13 Calais (lieutenant E.G.Egerton), le chasseur 14 Dielette (lieutenant W.P.H.Loftie), le chasseur 41 Audierne (enseigne de vaisseau Chanliau), le chasseur 42 Larmor (officier des équipages Parc), le chasseur 43 Lavandou (lieutenant de vaisseau Boju), sont chargés d'enlever les péniches de débarquement capturées et d'appuyer du feu de leurs canons les hommes débarqués. Pour ces navires également la puissance de feu est insuffisante face aux canons de la défense côtière allemande. D'autres navires plus légers sont destinés à appuyer au plus près les troupes débarquées : 8 L.C.S. de soutien appui-feu, 6 L.C.F. chargés de la D.C.A. (L 6, 2, 3, 5, 4, ?), 12 M.G.B. d'appui-feu. Comme prévu il n'y a aucun croiseur, cuirassé ou autre navire de fort tonnage."

Laurent Laloup le dimanche 10 février 2008 - Demander un contact

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