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| Jacques Edmond Georges Paul Hébert | |
Naissance : 8 aout 1920 - Falaise (14)
Activité antérieure : étudiant / scolaire
Point de départ vers la France Libre : Metropole
Engagement dans la France Libre : Londres en juillet 1940
Affectation principale : Terre DFL - Moyen Orient / chars
Grade atteint pendant la guerre et spécialité : lieutenant
Décès à 97 ans - 15 février 2018 - FalaiseFrère de Bernard Hébert
Cousin de Louis Koenig
Dossier administratif de résistant : GR 16 P 287815
Dans la liste d'Henri Ecochard V40 : ligne 24252 |
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Décès de Jacques HEBERT L’Ordre de la Libération a la grande tristesse de vous faire part de la disparition de monsieur Jacques Hébert, Compagnon de la Libération, survenue le jeudi 15 février 2018 à Falaise (Calvados), à l’âge de 97 ans.
Selon sa volonté, ses obsèques auront lieu dans l’intimité.
Hommage du Blog DFL:
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roumeguere le vendredi 16 février 2018 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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Les combats du GT4 de la 2e DB aux portes de Paris et dans Paris (RHA 3-1974) :
"c) Détachement Sammarcelli (à droite) :
Le capitaine Julien, du 501e R.C.C., réglera l'action des chars.
Une section de 3 chars de la 3/501 (aspirant Christen) ; Deux sections réduites de la 11/3 R.M.T. (Hébert et Bachy)." Laurent Laloup le dimanche 01 mars 2009 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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Dans "1061 Compagnons" Page 298 -15 juin 1941
" Au pied du djebel Abu Atriz, à l'extrême droite de l'avancée française, Collet, fort de dix chars, subit également un très gros revers. A Nehja, en effet, spahis et Tcherkesses trouvent face à eux leurs anciens camarades de régiment. L'imbroglio est tel que, quelques jours auparavant, les patrouilles des deux camps se sont rencontrées, ont déjeuné ensemble et se sont rendu compte, à leurs rations (britannique pour les Free French), qu'elles appartenaient à deux camps opposés ! La bataille sera très violente. Appuyé d'automitrailleuses britanniques, un premier assaut coûte cinq chars aux Free French. Celui du carabin Jacques Hébert encaisse plusieurs coups au but. Deux obus arrachent sa tourelle, un troisième le culbute. Hébert tire son camarade Robédat jusque dans un fossé. Mais des tireurs les ont en joue. Un obus achève Robédat et blesse sérieusement à l'épaule Hébert qui parvient quand même à regagner ses lignes. Le char de son cousin, Louis Koenig, avec lequel il a fui la France, a également été frappé, ses deux occupants tués. Collet redonne l'assaut trois heures plus tard. Bien que trois blindés de Volvey soient à nouveau allumés, les spahis s'infiltrent dans les vergers et prennent Nehja que l'artillerie adverse noie sous les bombes. Cette fois, Collet doit ordonner le repli. Huit chars sur dix détruits, les spahis décimés, deux de leurs chefs de peloton tués. Le lieutenant de Villoutreys est porté disparu (Fait prisonnier, il est envoyé en prison en France. Aprés la convention d'armistice de Saint-Jean-d'Acre, il sera libéré et parviendra à rejoindre les unités FFL à Damas). Le bilan est catastrophique pour l'escadron des spahis constitué de quelques dizaines d'hommes : sept morts, deux disparus, vingt-quatre blessés dont le fougueux Ballarin." Laurent Laloup le mercredi 24 septembre 2008 - Demander un contact La page d'origine de cette contribution Recherche sur cette contribution | |
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Carnets de route d'un Croisé de la France Libre de Raymond Dronne "...Une camionnette glissa dans un ravin. Un jeune échappé de France, Jacques Hébert, fut blessé. Les cadres et la troupe étaient des « bleus », ils ignoraient tout de l'Afrique, des précautions à prendre. Ils étaient partis sans quinine et sans filtres à eau. Le lieutenant qui commandait le détachement était un officier plein d'ardeur. Mais par méconnaissance du milieu et de ses servitudes, il commit des bévues, par exemple celle d'imposer à ses hommes des corvées que les Européens n'effectuent pas sans risques sous ces climats. Beaucoup de jeunes attrapèrent du paludisme, des parasites. Heureusement, les gars des chars bénéficièrent de l'hospitalité coloniale qui était de règle à l'époque. Ils furent accueillis, hébergés, soignés, par exemple par les frères Eon, planteurs à Ebolowa, puis à la mission et à l'hôpital d'Oyem..." Laurent Laloup le dimanche 14 septembre 2008 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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