| | | | | Un Français Libre parmi 63204 | | | Jacques Guéguen | |
Naissance : 4 novembre 1876 - Henvic (29)
Point de départ vers la France Libre : Metropole
Engagement dans la France Libre : en septembre 1942
Affectation principale : FNFL / marine de guerreCourbet, Maison de repos de Beaconsfield Matricules : 641 FN42
Grade atteint pendant la guerre et spécialité : quartier-maître de manœuvre
Décès à 80 ans - 28 octobre 1957 - Henvic Père de François Guéguen
Dossier administratif de résistant : GR 16 P 273770 / GR 16 P 273771
Dans la liste de l'amiral Chaline : ligne 6198
Dans la liste d'Henri Ecochard V40 : ligne 22946 |
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wikipedia.org
"... Au départ, Jacques Gueguen, un pêcheur du Pont de la Corde, avait déjà convoyé de nombreux volontaires FFL et des soldats anglais à bord de son sablier de 8 mètres, le Pourquoi Pas.
À partir de juin 1940, le chantier de construction navale Sibiril, à l'embouchure de la Penzé, organisait l'évasion vers la Grande-Bretagne de résistants traqués par la Gestapo, d'agents de liaison spécialisés dans le renseignement, de prisonniers évadés de prisons françaises ou espagnoles, d'aviateurs alliés tombés en Bretagne...
Les activités clandestines de la famille sont dénoncées ; le 18 juillet 1943, Louise et Ernest Sibiril quittent Carantec et se font héberger par des parents et des amis. Le père d'Ernest, demeuré à Carantec, construit un bateau en onze jours, avec quelques ouvriers du chantier, pour faire passer son fils en Angleterre. Le 31 octobre, le Requin quitte Carantec en pleine nuit avec à son bord, Ernest Sibiril, bien résolu à s'engager dans les Forces françaises libres, son frère Léon, cinq autres passagers et un équipage réduit. Louise et son fils Alain restent cachés en Bretagne jusqu'à la Libération. ..."
GR 16 P 547527| SIBIRIL (Louise)| 1904-11-19|||| FFc
GR 16 P 547519 | SIBIRIL (Alain Louis Yves Marie) | 1930-06-28 | Morlaix | Finistère | FRANCE | FFc Laurent Laloup le dimanche 19 mars 2023 - Demander un contact La page d'origine de cette contribution Recherche sur cette contribution | |
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ÉVASION PAR MER DE CARANTEC (29 - Finistère) Jacques GUÉGUEN a rejoint la Grande-Bretagne à bord de "L'ANDRÉ".
Ce bateau parti de CARANTEC (29 - Finistère) le 10 février 1942 transportait 4 personnes : Jacques GUÉGUEN (d'HENVIC, commune limitrophe de celle de CARANTEC), François GUÉGUEN (fils de Jacques GUÉGUEN, d'HENVIC lui aussi), Monique BRULEY DES VARANNES (de CHOLET), Eugène VAN ACKERE (de nationalité belge). Pascal MESSAGER - Musée maritime de CARANTEC (29) le dimanche 03 octobre 2010 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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www.france-libre.net
"... On connaît le nom des passagers des 15 bateaux qui quittèrent Carantec entre le 4 juillet 1940 et le 6 février 1944.
En voici la liste :
Le POURQUOI PAS, sablier de 8,50 mètres, parti le 4 juillet 1940, avec 32 évadés, arrivé à Plymouth après 31 heures de navigation. Il transportait des documents et du courrier pour les services secrets alliés. Le bateau était commandé par Jacques Gueguen : François Colin, Joseph Tous, Jean Morvan, Jean Daniélou, Michel Le Saout, François Laurent, Jean Erlan, Maurice Guegant, André Le Roux, Jean Le Saout, Jean Moal, François Queguiner, Robert Deniel, Jean Gallou, Jean Crenn, Fernand Simon, Louis Le Saout, Francis Moysan, Yves Marzin, Louis Queau, Louis Créach, Jean Cabioch, Pierre Le Fer, Auguste Coarec, Joseph Quéré, Pierre Faucon, Yves L Guellec, Mathurin Abejean, Georges Daniélou, Jacques Malgorin, Alain Quéré et Marcel Le Fur en étaient les passagers. ..." Laurent le mercredi 16 décembre 2009 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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Jacques Gueguen ? " Individuellement, pour ne pas attirer l’attention des Allemands, déjà confortablement, installés à CARANTEC et à ROSCOFF, nous nous sommes glissés, au fond de la barque. (Un sablier de 8 m 40, tel que je l’ai su, en l’an 2 000 !)
Nous étions huit, à vouloir partir. Dont mon cousin Jean LE DLUZ (16 ans à peine !)
A midi, l’équipage est monté à bord, comprenant : JACQUES (Prononcez : JAQUESSE !) GUEGUEN (65 ans !), et deux jeunes de sa famille.
Moteur auxiliaire mis en route, et départ, direction la mer, comme si nous allions à la pêche, en descendant la PENZEE. C’est, probablement, ce qu’ont dû penser les Allemands, ne voyant qu’un équipage de trois, et LOIN D’IMAGINER, qu’il pouvait y avoir une cargaison humaine clandestine, à bord. (Qui ? OSERAIT, FAIRE UNE CHOSE PAREILLE !)
Après avoir quitté la PENZEE, qui connaît des différences de marée de sept mètres, nous avons commencé à connaître, les joies du roulis et du tangage, en pleine mer. La MANCHE, au mois de juin, est souvent agitée !
Lorsque la côte n’a plus été en vue, nous nous sommes sentis, de nouveaux êtres humains. LIBRES, pour tout dire, et nous avons, enfin, pu discuter, en toute tranquillité.
D’abord, le nom du bateau : Le POURQUOI PAS. Un nom prédestiné ?! JACQUES GUEGUEN avait navigué, pendant 15 ans, sur le POURQUOI PAS du Dr CHARCOT. Rentré au pays, c’est le nom qu’il a choisi, pour son « Sablier » de 8 m 40. Voiles et moteur auxiliaire. La bonne et robuste coquille de noix bretonne, ne craignant pas la mer.
Parmi les huit fugitifs, il y avait trois marins confirmés. Quant aux cinq autres, nous étions plutôt jeunes, et le plus jeune, était mon cousin, Jean LE DLUZ.
Aucun bateau en vue. Le soir, nous nous sommes réfugiés, entre deux rochers, près de l’Ile de BREHAT.
A quatre heures du matin, nous avons été réveillés, par les pêcheurs de l’île, qui reprenaient la mer. Et ils nous ont dit, en breton, que les Allemands étaient déjà là. "
labarakadunffl40.over-blog.com Laurent le jeudi 05 novembre 2009 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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Pourquoi Pas? François GUEGUEN est le fils de Jacques GUEGUEN, patron du POURQUOI PAS?, qui effectua, dès juillet 40, plusieurs transferts d'évadés vers la Grande Bretagne. Sous la pression de l'occupant, François et son père sont contraints de s'enfuir. Le départ se fera à bord du cotre ANDRE, avec l'aide d'Ernest SIBIRIL, le 10 Février 42. Ce sera le 1er des 15 départs de ce qui deviendra le "Réseau Ernest SIBIRIL". Saliou Pierre le dimanche 27 septembre 2009 - Demander un contact La page d'origine de cette contribution Recherche sur cette contribution | |
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