| | | | | Un Français Libre parmi 62924 | | | Jean Raymond Paul Guégan | |
Naissance : 9 mars 1921 - Saint-Servan-sur-Mer (35)
Point de départ vers la France Libre : Moyen Orient
Engagement dans la France Libre : en juillet 1941
Affectation principale : FNFL / marine de guerreMimosa, marine St-Pierre Matricules : 144 B41, 5688 FN41
Grade atteint pendant la guerre et spécialité : matelot gabier
Décès à 75 ans - 6 novembre 1996 - Saint-Malo (35)
Dossier administratif de résistant : GR 16 P 273650 / GR 16 P 273651
Dans la liste de l'amiral Chaline : ligne 6187
Dans la liste d'Henri Ecochard V40 : ligne 22931 |
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Jean Raymond Paul Guégan - son Livre ouvert ! Matricule de Jean Guégan : 5688FN41 Cf. sa demande d'admission dans l'Association des Français libres après la guerre conservée par la Fondation de la France libre.
Je viens de rédiger une première version de sa page pour la base de données FNFL de la fondation :
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Jacques OMNÈS le vendredi 23 septembre 2022 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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Le matricule 5656 FN41 serait partagé par 3 Français Libres apparemment bien différents, Issalamo Moavilly, matelot sans spécialité, Roger Devarieux, maître mécanicien mort en 1942 et Yves Coadou, quartier-maître canonnier Jacques Ghémard le vendredi 24 janvier 2020 - Demander un contact La page d'origine de cette contribution Recherche sur cette contribution Réponse : mais Moavilly est peut être Mroavilly avec le matricule 5658 FN41 qui est aussi celui de Jean Guégan matelot gabier sur la corvette Mimosa dont il fut l'un des rescapés contrairement à Roger Devarieux !!!
Erreur dans la liste Chaline pour Jean Guégan dont le matricule est 5688 FN41
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"Les escorteurs de la France libre" BERTRAND Michel " Un peu plus loin, le quartier-maître radio Bracher et le matelot gabier Guégan trouvent qu'ils ont eu de la chance. Cramponnés à des épaves, se soutenant mutuellement et s'encourageant de la voix, ils ont réussi à flotter et à trouver un radeau, parvenant à se hisser dessus en s'aidant l'un l'autre. Claquant des dents, haletants, frissonnants, ils se sentent sauvés. Quelques instants encore et Guégan saisit la bouteille de rhum que contient la petite caisse à provisions de l'embarcation. Il en boit une longue rasade et passe la bouteille à Bracher qui boit à son tour. L'alcool réchauffe leur corps transis et ranime leur énergie.
A 5 heures du matin, dans l'aube naissante, les deux hommes découvrent l'aspirant Lamy toujours pendu à son filin, blanc comme un linge, les lèvres bleuies par le froid. De sa bouche tuméfiée sort un râle qui ressemble à des paroles.
Des mains se tendent, agrippant Lamy sous les épaules, hissent le corps presque rigide de l'officier qui ne peut faire aucun geste pour les aider.
— Ne vous fatiguez pas monsieur, lui dit Bracher. Maintenant vous êtes sauvé.
Soutenu par le quartier-maître, Lamy sent qu'on le roule dans une couverture. On cale sa tête contre le bord du radeau tandis que le parfum du rhum parvient à ses narines en même temps que le goulot s'approche de ses lèvres. ..." L. Laloup le mardi 15 avril 2008 - Demander un contact La page d'origine de cette contribution Recherche sur cette contribution | |
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