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Roger Louis Jacques Gatounes

Roger Louis Jacques Gatounes - son Livre ouvert !
 

Date de décès

Décédé à Port Vendres le 19 avril 2013

Roumeguère le dimanche 14 février 2016 - Demander un contact

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Revue de la FL Mars 2013 • N° 47

"Le lendemain c’était une nouvelle attaque, celle d’ailleurs où Gatounés fut blessé par une balle qui, c’est incroyable, rentra par le périscope, y zigzagua et lui déchira la peau du crâne en se plantant dans son front. Il s’extrait en hurlant de douleur. J’étais juste derrière son char et Gatounés se jette à l’abri derrière le mien : il n’a qu’une blessure superficielle, mais quelle trouille il a eue ! Le char de Gatounés est immobilisé au milieu de la piste, je pars lui donner une mitrailleuse de 30, la sienne étant enrayée."

laurent le samedi 13 février 2016 - Demander un contact

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Roger, Louis, Jacques Gatounes

Laurent le lundi 07 décembre 2015 - Demander un contact

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www.lindependant.fr

Ancien combattant, il a reçu notamment de la part du général de Gaulle la fameuse "Décoration des Français libres". Une distinction rare, en reconnaissance à son engagement (il a même été blessé 15 jours avant la libération) pour un homme qui a tout donné au nom de la Liberté.

Roger Gatounes, cers 1948 équipe premiere de l'USAP (Perpignan)

Laurent le lundi 07 décembre 2015 - Demander un contact

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Fusiliers Marins,(1er R.F.M.), de Roger BARBEROT

"L'ennemi domine la situation. Son tir s'ajuste sur tout ce qui bouge, sur la main qui tient l'appareil de radio portatif qui dépasse les créneaux, sur les périscopes des chars qui brillent au soleil.
Gatounes revient en rampant et en courant, l'air égaré. Une balle vient de passer à travers son péris­cope de haut en bas, et s'est arrêtée, en bout de course, sur l'os frontal. Gatounes en est tout hébété. Carpentier va voir la situation. Quelques minutes après, il est touché d'une balle au ventre en sortant de son char.
Les chars tournent bien leurs tourelles, les obusiers prennent bien à partie tous les coins et recoins suspects, la situation n'en reste pas moins em­brouillée.
Le Père Duhautoy et le toubib ont réussi, en se masquant de fumigènes, à évacuer Carpentier et à ramener son corps à l'arrière.
On décide de recommencer l'attaque à 4 heures avec la compagnie fraîche de Geoffrey, car celle qui vient d'attaquer est épuisée et la moitié de ses hommes sont hors de combat.
Geoffrey est un jeune sous-lieutenant autrichien qui commande la compagnie par intérim. Il a un sourire narquois. On lui demande son plan. Il est très simple. Il va passer sur la gauche de Ventabrien puis attaquer tout droit. Voilà tout !
La compagnie se met en place, les Légionnaires attaquent, reçoivent des grenades, reculent, repartent..."

Laurent Laloup le mercredi 18 mars 2009 - Demander un contact

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