| |  | | | | Un Français Libre parmi 62914
| | | Joseph Marie Eon | |
Naissance : 29 janvier 1879 - Ajaccio, Corse
Activité antérieure : militaire
Point de départ vers la France Libre : Metropole
Engagement dans la France Libre : Londres en septembre 1940
Affectation principale : Terre - Londres / affectation spéciale
Grade atteint pendant la guerre et spécialité : general
Décès à 80 ans - 11 décembre 1959 - Nantes (44)
Dossier administratif de résistant : GR 16 P 209970
Dans la liste d'Henri Ecochard V40 : ligne 17705
Dossier Légion d'Honneur |
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Joseph Marie Eon - son Livre ouvert !
Il y a confusion entre deux généraux du nom de Eon
Le général Eon qui a sauté en Bretagne en 44 n’est pas FFL ( plutôt Giraudiste)
« …. Né le 29 novembre 1894 à Versailles (Seine-et-Oise) d’un père lieutenant d’infanterie, Albert-Marie Eon fait ses études au Prytanée militaire de La Flèche puis intègre l’École spéciale militaire le 23 septembre 1913 (promotion Croix du Drapeau). Après à peine un an d'école, il en sort le 6 août 1914 avec le galon de sous-lieutenant. Il est affecté de 1920 à 1921 dans les troupes d’occupation de Haute-Silésie. Promu capitaine le 30 juin 1921, il effectue des temps de commandement et d’instruction à l’École d’artillerie. Le 31 octobre 1926, il rejoint l’École supérieure de guerre pour en suivre les cours jusqu’en novembre 1928. Il y obtient le brevet d’état-major. Affecté ensuite à l’état-major du commandement supérieur des troupes du Maroc, il y reste cinq ans. De 1934 à 1936, il effectue un temps de commandement avant d’enchaîner sur un important stage de deux mois auprès de l’armée rouge en Russie en juillet-août 1936. Diplômé de langues orientales, il est alors l’un des rares officiers français à parler le russe. A l’automne 1936, il est versé comme instructeur à l’état-major de l’École de liaison et des transmissions. En septembre 1939, à la mobilisation, il rejoint l’état-major de l’armée. Il sert en 1940 à l'état-major de la 8e armée. Fait prisonnier le 22 juin 1940, il s'évade le 22 juillet 1940.
En décembre 1940, il est affecté en Afrique du Nord. Chef de corps du 64e régiment d’artillerie, il est promu au grade de lieutenant-colonel le 25 mars 1941 puis à celui de colonel le 25 décembre 1942. Albert-Marie Éon reprend le combat en Tunisie de 1942 à 1943 à la tête du 68e régiment d’artillerie. En parallèle à ces activités militaires, il est agent de renseignement pour le compte du réseau polonais PSW-AFR. Par les renseignements qu’il fournit au Haut commandement allié sur l’organisation du plan de défense des côtes atlantiques du Maroc, il contribue activement au débarquement américain au Maroc du 8 novembre 1942. A la fin de la campagne de Tunisie, il est affecté au commandement du Centre d’organisation d’artillerie du Maroc à Fès. Ce poste sédentaire ne lui convenant pas, il se fait rayer des cadres de l’Armée d’Afrique du Nord pour rejoindre Londres.
Le 8 avril 1944, il est dirigé sur le Bureau central de renseignement et d’action (BCRA) à Londres et incorporé le 21 avril. Il suit alors les stages « paramilitaire » à Guely et « sécurité » à Beaulieu. Il est affecté dans le Corps des Parachutistes de missions Spéciales avec un grade d’assimilation de lieutenant-colonel. Le 5 juillet 1944, le général Koenig, commandant en chef des Forces françaises de l'intérieur (FFI), le nomme commandant des FFI de Bretagne. L’objectif fixé au colonel Éon, dans le cadre de la mission Aloès, est « de placer sous son autorité l’ensemble des forces résistantes de la Bretagne ». Selon l’historien Christian Bougeard : « le colonel Éon doit prendre le commandement des FFI bretons et coordonner leurs actions avec les Américains, ainsi que le colonel Passy. Les Américains qui se méfient des FFI et surtout des communistes voudraient que la mission Aloès obtienne le désarmement des combattants dès l’arrivée de leurs troupes. » Dans la nuit du 4 au 5 août 1944, la mission Aloès est parachutée sur le terrain Bonaparte à 15 km au sud de Guingamp, près de Kérien. Trente officiers en tout. Le colonel Éon établit la liaison avec la 3e armée du général américain Patton puis participe à la libération des Côtes-du-Nord et de la poche de Brest.…… »
museedelaresistanceenligne.org 
Photo de Joseph Marie EON 
Laurent Laloup le jeudi 19 octobre 2023 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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Général Français - Michel Thoroval - "Eon dans la Résistace" Bonjour,
Francisco PONZAN-VIDAL de Toulouse, Républicain espagnol fut à la tête d'un groupe de guides qui fit passer en Espagne de nombreux citoyens français, belges et des soldats de l'armée anglaise et des aviateurs de toutes nationalités. Dans l'un des deux carnets (position 297) où il avait noté de nombreux noms des personnes qu'il a exfiltrées (parfois avec photos), on trouve Michel THOROVAL, Général français, "Eon" dans la Résistance. Ce passage a du être fait dans les six premiers mois de 1942. En position 293, on trouve Jean Annet D'ASTIER DE LA VIGERIE. Michel THOROVAL pourrait-il être le Général cité sur cette page ?
Très cordialement
Jean Michel Dozier Jean Michel Dozier le dimanche 27 décembre 2020 - Demander un contact Recherche sur cette contribution Réponse : GR 16 P 486051 | PONZAN VIDAL ( François ) | 1911-03-30 | Oviedo | | ESPAGNE | FFc DIR
Pas de THOROVAL mais GR 16 P 570357 | THORAVAL ( Michel Marie Victor ) | 1920-11-12 | Nantes | Loire-Inférieure | FRANCE | FFc
Fonds du général Michel Thoraval
Présentation du contenu. Série K (archives orales), sous-série 3 K, cote 3 K 54. Michel Thoraval, né à Nantes en 1920, ...
THORAVAL Michel Marie Victor Naissance 12/11/1920 Nantes, Décès 25/09/2006 Paris 16e Arrondissement
Et la description de son parcours qui montre qu'il était plutôt du coté Giraud que de Gaulle (donc je ne sais pas pourquoi il est homologué FFC ???)
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action du colonel EON en 08/1944 Le colonel EON Joseph [Albert Marie] sera parachuté en Bretagne en 08/1944 pour aider les FTP et les FFI à coordonner leurs actions contre la colonne allemande qui se dirigeait sur Brest
Le plan « Bigot » prévoyait l’envoi de neuf nouvelles missions Jedburgh et un très important programme de parachutage d’armes et de munitions avant que le colonel Eon lui-même n’arrive sur place avec son état-major (Mission Aloès). Le 27 juillet, il a été décidé que toutes les unités françaises de Bretagne, y compris le bataillon de Bourgoin, seraient placées sous les ordres du colonel EON, et celui-ci obtient le 31 que quatre équipes Jedburgh soient envoyées auprès des quatre commandants départementaux des FFI pour assurer la liaison entre eux et lui. Le 2 août, la compagnie de choc « Bretagne » du capitaine Dampierre est parachutée à Guern où elle prend immédiatement contact avec le maquis de Déplante. Dans la nuit du 4 au 5, la mission Aloès est parachutée sur le terrain Bonaparte à 15 km au sud de Guingamp, près de Kérien. Trente officiers en tout. Le 5 août, vers 18h00, le major Broussard, de l’état-major de Patton, se présente à Kérien au colonel EON, et devient auprès de celui-ci l’officier de liaison de l’armée américaine. Rassuré sur l’encadrement et la combativité des résistants, Patton laisse maintenant aux formations des maquis la tâche de nettoyer la Bretagne, avec le soutien de trois divisions de son armée, et il se porte vers l’Est. Conformément à des instructions antérieures de l’OKW*, les Allemands se replient sur les trois ports de Brest, Lorient et Saint-Nazaire. 
Cliquez pour agrandir
Jean Quinquis le lundi 14 janvier 2019 Recherche sur cette contribution Réponse : GR 16 P 209959 | EON ( Albert Marie ) | 1894-11-29 | Versailles | Seine-et-Oise | FRANCE | FFc FFi PSW-AFR, ACTION MISSION ALOES
Et son dossier Légion d'Honneur
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Les éditions imprimées du procès Pétain Réponse à la réponse de Jacques Ghémard.
Il existe au moins trois sources imprimées du procès Pétain in extenso :
Le Journal Officiel de 1945 en vingt fascicules (uniquement sur le marché de l’occasion) ;
Celle des éditions du Trident en trois volumes (le tome est une subdivision voulue par l’auteur, le volume est une subdivision voulue par l’éditeur) ;
Celle (septembre 2015 et enrichie de très nombreuses fautes d’orthographe) de l’édition des Balustres en un volume.
Ma dactylographie a été réalisé depuis le texte du JO et non pas au travers d’un document intermédiaire plus ou moins sûr (ce qui ne l’empêche pas de receler sans doute de nombreuses fautes, personne n’est parfait). C’est le seul document disponible en version électronique.
Bien à vous tous
Michel Courty Michel Courty le dimanche 28 février 2016 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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D Day Je recommande un excellent ouvrage paru aux USA en 2010 et réimprimé chez Penguin Group:
D-DAY,The battle for Normandy", par Antonny Beevor.
Le Colonel y est mentionné à propos de l'opération "Bluecoat" et on y trouve des details que je ne connaissais pas.
Cordialement,
G De Sorne G De Sorne le samedi 27 février 2016 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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Libérateur de la Bretagne ? Bonjour
Le 14 octobre 1948, le général Eon a inauguré une Exposition au Musée de Castres, intitulée : Oeuvres de captivité de Peintres et de Graveurs déportés et prisonniers (Source, le Musée de Castres - Tarn). Il est noté que le Général Eon a été libérateur de la Bretagne (date ?), commandant la subdivision militaire (laquelle et quelle année ?). Qui pourrait me donner plus de précisions ?
Par avance, merci
Catherine POULAIN Catherine POULAIN le mercredi 10 février 2016 - Demander un contact Recherche sur cette contribution Réponse : Concerne l'homonyme né en 1894
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Joseph Eon (ou Éon ?) Bonjour Messieurs
Je viens de terminer une dactylographie complète du procès Pétain selon le texte du Journal officiel de 1945.
J’ai choisi d’enrichir ce texte d’une courte biographie des témoins et plusieurs questions se posent quand à ce brave Joseph Eon, à commencer par l’orthographe exacte de son nom (Eon ou Éon ?) et la date de sa mort.
Concernant la contribution de Laurent Laloup du 23 février 2009, on peut en lire deux autres récits : celui de de Gaulle : Mémoires de guerre – L’unité (page 45-46) et celui de Passy : Mémoires du chef des services secrets de la France libre (chez Odile Jacob), pages 111-112, d’où il ressort que ce brave Joseph Eon (ou Éon) était bien allumé…
Je voudrais, puisque je suis parmi vous, signaler à Jacques Ghémard (02 janvier 2010), que je Journal officiel n’a pas publié le procès Pétain en trois tomes mais en vingt fascicules et qu’il ne dispose donc pas du texte original.
Michel Courty
Paris
09/01/2016 Michel Courty le samedi 09 janvier 2016 - Demander un contact Recherche sur cette contribution Réponse : Je crois comprendre que c'est la publication qui reprend de nos jours les textes du journal officiel sur ce sujet, qui est proposé en 3 tomes, mais bon ...
Cordialement
Jacques Ghémard
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Les généraux Eon Bonjour
Je vous ai envoyé déjà un message il y a quelques jours.
Il y a eu 3 généraux Eon:
Auguste, né en 1857, mort en 1934
Joseph, dont vous avez parlé
Albert, né en 1894, fils d'Auguste
Je suis un petit-fils d'Auguste. Laloë le vendredi 16 septembre 2011 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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