Suzanne Duboué épouse Léglise - Les Français Libres

Les Français Libres, de juin 1940 à juillet 1943

 
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Suzanne Duboué épouse Léglise



Naissance : 21 octobre 1924 - Bordeaux (33)

Activité antérieure : étudiant / scolaire

Point de départ vers la France Libre : Metropole

Engagement dans la France Libre : en novembre 1941

Affectation principale : Résistance intérieure / CND Castille

Grade atteint pendant la guerre et spécialité : P2

Fille de Jean Duboué 

Dossier administratif de résistant : GR 16 P 194891

Dans la liste d'Henri Ecochard V40 : ligne 16524


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Suzanne Duboué épouse Léglise - son Livre ouvert !
 

Message de Jean leglise le jeudi 14 décembre 2017 à 20h13 

" RECHERCHE suzanne duboué

Bonjour je suis déjà venu sur votre site qui parle de ma grand mère paternelle que j'ai eu la chance de connaitre jusqu'au décès de mon père dans sa propriété.
J'ai eu des nouvelles d'elle en 2011 suite au fait divers paru dans Nice Matin de sa première puis seconde disparition.
En effet depuis la mort de mon père elle s'était renfermée chez elle et je n'avais plus de contacts ....
Je me souviens des anecdotes qu'elle me racontait avec une brillante mémoire... je suis content de voir que ses mémoires ne sont pas sombrer dans l’oubli. merci de lui faire honneur par vos récits. Aujourd’hui je m'interroge sur sa seconde disparition qui a eu lieu dans sa propriété.. Pas de traces d'elle depuis c'est très étrange... Son passé l'a rattrapé? meurtre? enlèvement? Tant de questions me tourmentent."

Jacques Ghémard le mercredi 21 juillet 2021 - Demander un contact

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Merci à tous ceux qui contribuent faire vivre leurs noms

Merci à tous ceux qui contribuent à faire vivre les noms de ces héros ordinaires. Les circonstances ont fait que ma mère, Suzanne Duboué, n'a jamais pu communiquer avec le colonel Ashdown qui aurait pu lui apporter des réponses grâce à ses remarquables recherches bibliographiques.
Je voudrais citer ici deux des ouvrages de Lord Ashdown qui retracent minutieusement le quotidien des résistants de la région bordelaise, à partir des archives des services britanniques (SOE notamment) : "A brilliant little operation" et "Game of Spies"
Suzanne Duboué a disparu le 6 mars 2011 dans des circonstances étranges. Elle avait donné de sa personne pour (disait-elle) que son pays retrouve sa dignité. Il est désolant que ce même pays n'ait consacré que quelques heures à sa recherche...

Yves Léglise le mercredi 21 juillet 2021 - Demander un contact

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Admiration

Je n'ai, malheureusement, aucune contribution à apporter au Livre d'Or de mon homonyme. Je suis moi-même né à Bordeaux en 1940 et je me pose simplement la question de savoir si j'ai l'honneur d'appartenir, de près ou de loin, à la famille de cette valeureuse personne. S'engager, à 17 ans, dans la résistance me paraît tout à fait admirable.

Duboué Claude le mardi 07 janvier 2020 - Demander un contact

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Une épopée de la Résistance Le colonel Remy raconte

GR 16 P 427721| MONTEIL épouse DUBOUE ( Marie Louise )| 1898-05-11| Preignac| Gironde| FRANCE| FFc

MONTEIL Marie Louise Naissance 11/05/1898 Preignac, Gironde, Décès 30/07/1986 Podensac, Gironde



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Laurent Laloup le dimanche 08 décembre 2019 - Demander un contact

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Suzanne Duboué fut déportée à Ravenbrück où elle arriva le 3 février 1944. Elle y eut le matricule 27675; après plus de 4 mois de quarantaine, elle fut envoyée à Leipzig le 20 juillet (usine HASAG) où elle fut immatriculée 3220. Le 30 juillet elle est transférée à Schlieben où elle est immatriculée 15046. Elle y restera jusqu'au 20 avril 1945.

Elle travailla à l'usine de Panzerfaust.

Elle y fut compagne de ma grand-mère, Croquette, elle-même résistante.

J'ai pu m'entretenir avec Suzanne Duboué en 2007: voici ce que j'ai noté de notre conversation:

J’aurais voulu être dans la salle des filles de Croquette. C’était des filles actives qui cherchaient à se libérer. C’était des intellectuelles. Moi, j’étais avec l’équipe de Juliette Ambs, il y avait trois équipes, celle de Croquette, la mienne et une autre dont je ne sais plus qui était le chef. Je transportais les seaux de poudre avec ma copine Antoinette. On travaillait avec des Allemandes dont une Frau Richter qui était correcte. On essayait de saboter comme on pouvait. En faisant tomber au sol les seaux de poudre on rendait celle-ci inutilisable. Mais il fallait faire attention. Le Meister aussi était correct. Lorsqu’on tombait exprès avec la poudre on disait qu’on était épuisée mais il fallait faire attention pour qu’on ne nous renvoie pas.

"Antoinette" est Antoinette Gout, d'Epinal. Elle fut honorée du Titre de Juste parmi les Nations par l'Etat d'Israël.

rey jean-louis le dimanche 27 novembre 2016 - Demander un contact

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JOURNAL FRANCE SOIR

4 février 2011

L’incroyable vie de Suzanne Leglise

Après avoir vu sa photo dans les médias, un lord anglais retrouve une Française de 86 ans, agent de renseignement de l’armée britannique pendant la Seconde Guerre mondiale.

« Je viendrai, juste pour voir Suzanne. » De la part de lord Ashdown, éminent sujet de Sa Grâcieuse Majesté, l’attention est flatteuse. L’homme n’est pas n’importe qui : Jeremy John Durham Ashdown, dit Paddy, ancien officier de la Royal Navy, haut représentant des Nations unies en Bosnie, homme politique et linguiste reconnu. Et sans doute ancien du MI6, les services secrets britanniques, ce qu’il n’a jamais reconnu.
Le pedigree de la femme qu’il vient voir, Suzanne Leglise, n’est pas mal non plus : ancienne résistante et agent de renseignement de l’armée britannique pendant la Seconde Guerre mondiale. Dimanche dernier, lord Ashdown s’est donc rendu jusqu’à Nice pour rencontrer cette femme de 86 ans, unique survivante d’un réseau de résistants franco-britanniques qui a participé à une opération militaire d’envergure : la mission « Frankton ». C’est le hasard qui lui a permis de la retrouver. L’été dernier, Suzanne, installée dans l’arrière-pays niçois, a été victime d’un accident pendant une promenade (voir encadré). Elle a passé trois jours au fond d’un ravin, sans eau ni nourriture. Son aventure lui vaudra la une du quotidien Nice-Matin, ce qui permettra à Paddy de retrouver sa trace. L’aboutissement de nombreux mois de recherches. Dimanche, il est venu lui parler du temps où son nom de code était « Mouton ». 

A cette époque, en 1940, Suzanne Leglise s’appelle encore Suzanne dEboué. Elle est institutrice dans le Bordelais et vient d’entrer dans le réseau de résistants fondé par son père. Elle a 16 ans. Dans la famille, on connaît le sens du mot patriotisme : figure emblématique de la Résistance, Jean, le père, a fait ses armes à 16 ans au Chemin des Dames et aux Dardanelles, où il s’est fait enrôlé en mentant sur son âge. En 1939, hôtelier à Bordeaux, il monte l’Armée secrète (AS), un réseau de résistants. Bon sang ne sachant mentir, Suzanne découvre rapidement les activités de son père et exige d’y participer. Malgré son âge et le fait qu’elle soit une femme, Jean accepte. Elle commence comme « courrier », puis devient agent de renseignement. Marie-Louise, sa mère, les rejoint bientôt. Le réseau familial s’étend et, en 1941, l’armée britannique contacte Jean Eboué pour lui proposer d’intégrer l’Armée secrète aux Special Operation Executive, le bras armé de la résistance britannique. L’AS devient le réseau « Scientist », Suzanne continue son action et prend du grade. En 1942, un agent anglais, Victor Hayes, dit Charles le Démolisseur en hommage à sa qualité de spécialiste ès explosifs, est envoyé à Bordeaux, vraisemblablement pour mettre en place une « cellule action ». Suzanne tombe amoureuse et entre dans le dur du combat en participant à des sabotages. Avec la cellule française, elle aurait même participé en 1942 à l’opération « Frankton » : l’attaque des navires de l’Axe amarrés dans le port de Bordeaux et remplis de marchandises « anti-blocus ». L’opération est un succès mais décime les rangs des soldats anglais. Suzanne et « Charles » en réchappent et poursuivent leur combat et leur histoire d’amour.

En octobre 1943, la menace les rattrape. Jean Eboué soupçonne Desbouillons, un des membres de son réseau, d’être un agent double à la solde de l’occupant. Il a raison. Desbouillons parle, donne l’adresse de la famille Eboué à Lestiac. Jean, Marie-Louise, Suzanne et Charles sont encerclés par près de 80 membres de la Gestapo. A quatre ils leur tiennent tête toute la nuit, mais finissent par se rendre au matin. Le chef de la Gestapo leur accorde le statut de « prisonniers de guerre ». Marie-Louise est envoyée à l’hôpital militaire dont elle s’évade très vite. Jean est déporté à Buchenwald. Suzanne part au camp de Ravensbruck, où elle continue ses opérations de sabotage sur les obus qu’on lui demande de ranger. Elle s’en évade une semaine avant la Libération et repart à Bordeaux où ses parents la retrouvent. De Charles, elle n’aura plus aucune nouvelle.

« C’était une femme de guerre »

« C’était une femme incroyable, elle a vécu trente ans de guerre », témoigne son fils, Yves. Dimanche dernier, c’est une photo de Charles que Paddy Ashdown lui a montrée, espérant qu’elle l’aiderait à se souvenir. Mais Suzanne n’a pas voulu partager ses fantômes et le lord n’aura pas eu de détails. « J’étais venu pour la voir, je suis content », a-t-il dit en partant.

Trois jours perdus dans la forêt

« Pendant son accident, elle a basculé dans la guerre. Elle y est restée. » Yves Leglise est le fils de Suzanne. C’est lui qui raconte aujourd’hui l’histoire de sa mère puisqu’elle n’est plus capable de le faire. En août 2010, Suzanne, qui vit seule dans l’arrière-pays niçois, part faire une promenade. Mais ne revient pas. Inquiet, son fils prévient la gendarmerie, qui ne lui laisse que peu d’espoir. Yves ne se décourage pas. Il organise des battues avec des voisins et quelques chiens. Au bout de trois jours, sa mère est finalement retrouvée, cachée dans un roncier. A 86 ans, ce sont ses réflexes qui lui ont sauvé la vie : sans eau ni nourriture, elle survit en léchant la rosée sur les feuilles qui l’entourent. Et malgré des griffures sur le corps, elle est indemne. Physiquement, en tout cas. Car psychologiquement, la rémission est plus compliquée. « Elle a cru être de nouveau à la guerre, explique Yves. Quand elle a entendu les gendarmes, elle a cru que c’était la Gestapo. C’est pour ça qu’on a mis autant de temps à la retrouver. Depuis, elle est très affaiblie. Quand lord Ashdown lui a montré la photo de Charles le Démolisseur, elle lui a affirmé qu’elle ne le reconnaissait pas. Pourtant, dès que nous avons eu le dos tourné, elle a confié à une de mes filles : “Surtout, il ne faut rien dire”. »

Laurent le dimanche 06 décembre 2015 - Demander un contact

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Suzanne DUBOUE a été déportée à RAVENSBRUCK, elle était entre autre avec la nièce du Général De Gaulle.

carbonniere patrick le mardi 10 mai 2011 - Demander un contact

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Lord Ashdown retrouve une résistante française grâce à un fait divers

L'homme politique britannique Paddy Ashdown, qui écrit actuellement un livre sur un épisode de la Seconde Guerre mondiale, a retrouvé par le plus grand des hasards une ancienne résistante française qui avait fait parler d'elle en août en restant trois jours au fond d'un ravin.
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L'homme politique britannique Paddy Ashdown, qui écrit actuellement un livre sur un épisode de la Seconde Guerre mondiale, a retrouvé par le plus grand des hasards une ancienne résistante française qui avait fait involontairement parler d'elle en août en restant trois jours au fond d'un ravin.

"Je cherchais Mme Duboué dans les pages blanches de l'annuaire. Et je suis tombé sur un M. Duboué qui m'a dit que l'on parlait d'elle dans Nice-Matin", le journal des Alpes-Maritimes, a expliqué Lord Ashdown.

Début août, Suzanne Léglise, 86 ans, de son nom de jeune fille Suzanne Duboué, tombe dans un ravin à Levens (Alpes-Maritimes). Elle y reste trois jours avant qu'une promeneuse et son chien labrador ne passent par là. Le chien s'immobilise devant le ravin en aboyant. La promeneuse entend alors des gémissements et prévient les gendarmes.

Un réseau de résistance pour détruire les navires allemands

Lord Ashdown, qui cherchait à recueillir le témoignage de Mme Léglise pour son ouvrage, s'est ainsi rendu dimanche dernier à Nice où il l'a rencontrée.

Durant la guerre, Suzanne Eboué avait participé avec son père à un réseau de résistance qui avait projeté de détruire des navires allemands amarrés dans le port de Bordeaux. Ce sera finalement un commando britannique qui mènera, en canoë, l'opération --baptisée "opération Frankton"-- en décembre 1942. Sur les dix membres du commando ayant participé à l'action, deux ont survécu. Les autres se sont noyés ou ont été exécutés par les Allemands.

Lord Ashdown, 69 ans, ancien leader du parti libéral-démocrate et ancien diplomate, a servi entre 1959 et 1972 dans les Royal Marines. Il projette de publier son livre, dont il n'a pas encore trouvé le titre, pour le 70e anniversaire de l'opération Frankton, en 2012.

carbonniere patrick le mardi 10 mai 2011 - Demander un contact

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La miraculée de Levens rattrapée par un agent du MI6
Publié le mardi 01 février 2011 à 08H56 - 2
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Après des années de recherche, Lord Ashdown a rencontré Suzanne Léglise, dimanche matin, à Nice. Frantz Bouton
Il y a six mois, Suzanne Léglise, 86 ans, avait survécu après trois jours et trois nuits passés au fond d’un ravin. Aujourd’hui resurgit son incroyable passé d’espionne

11 h 30, dimanche matin dans une ruelle discrète du quartier des Baumettes à Nice. Des nuages sombres obscurcissent le ciel métallique. Sale temps pour un agent. Il tâte machinalement son attaché-case : tous les documents sont là. Suzanne. Il y a si longtemps qu’il est sur sa trace. Elle a bien failli filer...

L’agent de sa très gracieuse Majesté s’approche à pas lents de la petite maison niçoise. Suzanne. Cette fois, il la tient. Il presse la sonnette. Des murmures. Des pas précipités. Il jette son clope. Une light qui s’écrase sur le bitume. Ce soir, il sera loin. On ouvre...

Il entre. Et dégaine sa boîte rouge : des chocolats fins de la prestigieuse « Chambre des Lords », London. Suzanne est là. Dans le salon. La vieille dame, affaiblie, regarde avancer son mystérieux visiteur. Des rides profondes sillonnent le visage de l’espionne qui avait autrefois la beauté du diable. La voix est moins sûre. Les pensées parfois s’égarent. Mais les ans n’ont pas blanchi ses cheveux. Lord Ashdown lui présente ses hommages. Sort des photos jaunies et oubliées. Et alors resurgit le passé top-secret de la vieille dame rétirée des affaires depuis près d’un demi-siècle.

Suzanne. Il y a si longtemps qu’il la cherche pour écrire son histoire : l’incroyable histoire de l’opération Frankton.



Sa mission
Il la cherchait depuis des années pour écrire son histoire. Il l’a retrouvée par le plus grand des hasards. Pourtant, jusqu’il y a peu, Paddy Ashdown, 70 ans, a bien cru qu’il était tombé sur un os. Impossible de trouver trace de Suzanne Duboué. Même le généalogiste qu’il avait embauché dans le Sud-Ouest de la France s’y était cassé les dents. Le baron de Norton Sud-Hamdon, lord, ex-agent secret de Sa Très Gracieuse Majesté (MI6), ex-patron du Parti libéral en Angleterre, ancien haut représentant des Nations Unies, écrivain et j’en passe, commençait à désespérer... Et puis, l’été dernier, le fait-divers. Suzanne survit à sa chute dans un ravin. Elle fait la Une de Nice-Matin. Par une coïncidence improbable, notre article atterrit entre les mains de Paddy Ashdown. Qui saute dans l’avion. Et rencontre Suzanne. Son livre sortira à l’automne prochain. Et Lord Ashdown est en pourparlers avec Canal + pour une adaptation télévisée de cette aventure rocambolesque.

carbonniere patrick le mardi 10 mai 2011 - Demander un contact

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précision

J'ai eu la chance d'avoir connu ses parents, vivant à Lestiac. Enfant, ils m'avaient réinstallé le portique, avec la corde à nœud et le le trapèze, j'aimais beaucoup les voir jouer au backgammon et voir les pigeons et toutes les plantes du jardin.

Il m'ont beaucoup appris sur les Français.

Pourtant il me semble que leur fille Suzanne avait pu fuir, puis malheureusement a été rattrapée.

Malgré les atrocités, ils savaient beaucoup sur la personne humaine, n'oubliant pas la tendresse et la beauté des choses.

carbonniere patrick le lundi 07 février 2011 - Demander un contact

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"Le 12 octobre 1943, le Commandant Léo Paillère apprend que l’ordre a été donné de l'arrêter avec quatre de ses fils. Il se réfugie chez Jean-Albert Furt (Fortage), à Lormont.

Le 14 octobre 1943, après un combat héroïque à Lestiac, Jean Duboué, Charles HAYES, Suzanne Duboué sont arrêtés. Madame Duboué blessée peut s'échapper de l’hôpital Saint-André.

Dès lors, tout le travail, tout l'effort de plusieurs années se trouvaient anéantis par la trahison de Grandclément."

www.ffi33.org 

Laurent Laloup le mercredi 07 novembre 2007 - Demander un contact

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Dernière mise à jour le mercredi 21 juillet 2021

 

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